Message non lu
par zelie » jeu. 05 déc. 2019, 12:15
de Premier Cahier d'Amour, (pourquoi vous éloigner de Mes douceurs?), éditions RAS, Monique-Marie, p 10 :
Jésus parle à Monique-Marie, c'est le début de la révélation :
Laisse-Moi faire et écris.
Car pour beaucoup de Mes enfants,
le fait de seulement se réveiller le matin leur est insupportable.
Oui, si l’on ne Me connaît pas,
Si l’on ne se jette pas tout de suite en Moi
Comme le navire à l’ancre d’un petit port,
Le réveil est une véritable angoisse !
Quelle douleur, si tu ne prends pas tout de suite le livre de Vie,
La Parole éclatante qui te parle de Mon Amour !
Quel déchirement si tu n’as pas entre les lèvres
Cette Parole,
Si personne ne te l’a apprise !
Et la plupart de Mes enfants souffrent de cette souffrance-là
Et cherchent par tous les moyens à s’en arracher,
Car la plupart de Mes enfants ne connaissent pas Mon Nom.
Ils n’ont entendu parler que d’une affabulation.
Ils ne connaissent qu’une caricature de ce que Je Suis et n’en veulent pas.
Ils ont raison.
Mais toi,
Qui a appris qui J’étais, toi qui a senti Mon Amour par toutes les marques, attentions, douceurs dont Je t’ai gratifiée,
Par les miracles que J’ai fait pour toi,
Car n’est-ce pas un miracle que de restaurer une âme,
De la rendre à son état premier, alors qu’elle était sombre,
Toute écorchée, méconnaissable sous son manteau d’opprobres ?
Pauvre âme !
Comme J’ai eu pitié d’elle lorsque tu t’es présentée à Mon prêtre, et comme Je le soutenais pour qu’il t’écoute jusqu’au bout,
Qu’il ne soit pas choqué de ta colère, de tes sarcasmes !
Comme J’avais pitié !
Mais Mon Cœur était dans une telle joie
Que J’ai couvert de tapis invisible le chemin qui te conduisait à cette église !
Que de fleurs ont jonché la rue ce jour-là !
Que les passants étaient choisis !
Que toute chose était réglée sans que tu le saches,
Pour t’accueillir.
Toi, tu ne le voyais pas.
Les hommes ne voient pas les cadeaux de Mon Amour.
Ils n’en soupçonnent qu’une infime partie.
S’ils savaient, ils ne pourraient Le contenir et mourraient sans avoir fait une partie du chemin qui leur est imparti.
Ô petite âme,
Le temps est passé, il te faut maintenant aller.
Reviens demain.
LE SEIGNEUR.
J'ai connu autrefois trois jeunes garçons formidables, trois frères, des amis d'enfance. Sensibles et courageux, doux innocents. Ils étaient nés pour être des enfants de la douceur, de la bonté, de l'Amour. La vie en a décidé autrement. Tous trois devenus alcooliques, un s'est suicidé, un est mort du cancer, le troisième survit tellement atteint qu'il est sous tutelle. Le fils de ce troisième est gravement atteint dans sa santé.
Ils sont les archétypes des personnes décrites dans les lignes ci-dessus, qui ressentent une souffrance diffuse mais sans limite et sans fin, qui ne savent plus vers qui se tourner ; et à travers eux, on prend conscience de l'importance de nos choix, de nos rencontres, de ce que l'on va cultiver en nous, ou plutôt qu'on va permettre à Dieu de cultiver en nous. De l'importance de ce pas d'abandon à Dieu plutôt qu'à nos soucis, qu'à notre quotidien. De l'importance de déposer nos colères, nos peurs, nos morosités, nos rancunes, notre orgueil, même si nous ne voyons aucune lumière au bout de nos tunnels, car sinon tout ce sera tout cela qui nous tiendra chaud au lieu que ce soit l'action de Dieu dans nos vies...
J'aurais tant aimé que le message de Dieu arrive jusqu'à ce genre de personnes, car je vois beaucoup de gens autour de moi qui ne valent pas cher au départ, mais qui reviennent à Dieu; le catéchiste de mes enfants était un peu voyou jeune, faisait beaucoup de grosses bêtises, et pourtant aujourd'hui beaucoup d'âmes envierait le chemin de sainteté et de grands efforts sur lui-même qu'il est devenu capable de faire. La différence entre ce catéchiste et les trois frères tient à peu de choses : il a rencontré Dieu parce qu'il est parti à sa recherche et a bien voulu suivre les amis qui l'invitaient à le faire, contrairement aux frères, qui, l'enfance révolue, se sont tournés vers d'autres objectifs.
Comme quoi, rien n'est joué, jamais, et il est toujours temps de commencer à faire confiance à Dieu... partir à sa recherche, se laisser toucher par Lui, L'inviter dans nos vies.
Ne dites pas "mais pour moi ça ne sert à rien, car je n'ai plus ceci ou cela (j'ai perdu un mari, un enfant, une situation, de l'argent) et rien ne me le rendra"... Non... Juste parlez à Dieu, mettez une Croix dans votre maison et parlez-Lui.
(je vous renvoie à la page 2 du fil "La prière des pères", à deux messages : celui du 29 mai et celui du 30 mai ; je les copie ici pour faciliter leur lecture)
le message publié le 29 mai :
Parle pour les adultes, mes enfants fatigués, les hommes et les femmes.
Ô mes fatigués,
ne voyez-vous pas,
ne sentez-vous pas,
que vous êtes fatigués ?
Vous allez, vous venez,
vous faites, vous agissez,
vous êtes sans repos.
Le dimanche, qui devrait vous reposer est le moment de toutes les distractions possibles.
Vos corps sont épuisés,
vos cœurs sont épuisés,
votre psychisme est épuisé,
votre âme est misérable, abandonnée, désespérée.
Ô mes enfants fatigués, venez vous reposer devant Moi, dans Mon Cœur !
Partout, on vous demande d’agir,
d’être performants,
de démontrer vos capacités,
tandis que Moi, votre Dieu, je ne vous demande RIEN,
sinon de vous reposer devant Mon Saint Tabernacle.
Là,
vous n’avez besoin d’aucune parole,
d’aucun raisonnement,
d’aucun livre savant.
Il vous suffit d’être devant Moi,
et Je vous soigne,
Je vous guéris,
Je vous console,
Je vous repose,
Je restaure
tout votre être
qui est délabré,
car vous allez et venez sans cesse,
fuyant votre propre cœur.
Les femmes après leur travail ont tant à faire à la maison,
et la tâche à peine achevée,
si fatiguées,
elles ouvrent le menteur, le voleur d’âmes, le poste de télévision (ou tout écran, ordi, tablette, smartphone, note de moi).
L’homme fait de même.
Et vos cerveaux doivent encore enregistrer image sur image,
impureté sur impureté,
souvent bêtises sur bêtise,
parole sur parole,
bavardages incessants,
si bien que vous ne dormez plus.
Combien d’entre vous ne dorment plus d’un véritable sommeil réparateur !
Et c’est alors la course vers les médecins et les médicaments nocifs.
Les médecins ne soignent pas l’âme,
si bien que vous ne guérissez pas vraiment !
Car dans cette course au faire, à l’agir, à la culture, aux spectacles, aux vacances, aux activités,
c’est votre âme qui souffre,
c’est votre âme qui crie,
c’est votre âme qui ne peut vivre, qui étouffe.
C’est elle qu’il faut soigner, c’est à elle qu’il faut donner de la place,
c’est elle qu’il faut écouter, c’est elle qui a absolument besoin de vivre, parce que vous n’êtes sur terre que pour cela : la faire vivre en son Dieu. (…)
Et tant que vous ne le savez pas,
vous n’êtes pas coupables.
Seulement vous souffrez sans cesse et vous vivez dans un tourbillon épuisant.
Mais maintenant, aujourd’hui, Je vous le dis.
Ecoutez-Moi.
Vous n’êtes sur la terre que pour Me connaître et M’aimer,
pour dilater votre âme où Je suis, pour vivre avec Moi,
pour vous reposer et agir en Moi ; vous n’êtes sur la terre que pour cela.
Or vous négligez cette ultime nécessité, cette unique nécessité.
D’où votre souffrance, vos insomnies,
vos courses à l’argent, au pouvoir,
à l’amour, aux relations.
D’où votre soif mille fois déçue d’être reconnu, d’être considéré.
D’où le goût déséquilibré de collectionner des objets,
et quelquefois des personnes
(…) d’où l’avarice, la peur de donner, le besoin d’accumuler.
D’où la course (…) aux aventures sans lendemains. (…)
(...)Toutes ces recherches éperdues cachent en réalité la seule recherche pour laquelle vous êtes faits
et qui vous rendrait heureux :
la recherche de votre Dieu amoureux,
la rencontre avec Moi qui vous attends et qui donne tout bien, aussi bien matériel que spirituel.
Moi,
en qui vous trouveriez le repos et l’épanouissement,
l’équilibre et la véritable entreprise,
car Je suis l’entrepreneur de toute chose et de toute nouveauté.
Je suis le nouveau par excellence, le Jamais-vu, le Jamais-entendu, le Jamais-imaginé.
Je suis TOUT et Je donne TOUT à celui qui m’ouvre la porte de son âme.
Ô mes chers enfants fatigués, Je vous vois dans les gares, dans les villes, dans les supermarchés ;
Je vous vois sur les pistes de ski, dans les soirées mondaines, dans les pubs, dans les boîtes de nuits !
Je vous vois dans les bars, les usines, les bureaux,
Je vous vois sur les routes, dans les trains, les métros, les bus,
JE vous vois.
Mon Cœur saigne, car vous êtes sans nourriture, sans joie, sans raison d’exister.
Vous courez vers des biens éphémères, vous mourez à vous-mêmes,
vous êtes souvent l’ombre de vous-mêmes,
vos bouches parlent, vos membres bougent,
mais votre âme meurt, vos cœurs meurent.
Vos solitudes sont extrêmes.
Je vous vois le dimanche, seuls, dans les appartements,
devant les télévisions, sans amour,
dans les squares, cherchant désespérément à qui parler.
Je vois les couples seuls chez eux, car ils ne se parlent plus.
Je vois ceux qui meurent seuls,
Je vous vois, errant dans les villes, de bar en bar, de rue en rue, de magasin en magasin, d’achats en achats,
pour essayer de chasser l’ennemi qui est en vous,
le vide, l’absence, la terrible solitude.
Je vous vois, cherchant sur internet d’autres relations,
pour combler l’ennui de votre vie de famille et de couple,
l’ennui de votre vie tout court.
Je vous vois cherchant de toutes les façons
à oublier
l’immense tristesse, l’immense solitude, l’angoisse insupportable qui vous taraude.
Et beaucoup d’entre vous ne savent pas que Je suis Celui qui vous en guérirait.
Je suis le seul qui peut vous en guérir. (…)
Je vous vois, ô mes souffrants, toutes vos luttes pour sortir de l’horrible désespoir qui vous habite.
Car il est, ce désespoir, insupportable, inhumain.
Mais vous vous trompez de route, on vous induit en erreur :
plus vous ferez, plus vous aurez d’activités, de sorties, de relations,
plus votre âme se consumera et souffrira,
et à sa suite votre corps engendrera maladie sur maladie
pour vous obliger à vous arrêter et à réfléchir.
Ces maladies seront l’ultime espoir pour vous obliger à retourner vers vous-mêmes.
Mais pourquoi tant d’années de tristesse,
Mes souffrants, Mes fatigués ?
Pourquoi ?
Alors que votre Dieu veut vous donner toute guérison, si vous l’écoutez.
Je vous offre aujourd’hui de commencer à guérir,
sans médicaments,
sans souffrance,
sans besoin d’argent, gratuitement.
Venez simplement devant Mon Saint Tabernacle,
rentrez dans mes églises.
Asseyez-vous y
et restez devant Moi.
Vous n’aurez rien à faire
sinon à vous y reposer
et à recevoir Mon Amour qui va soigner votre âme
si malheureuse
et votre corps déjà atteint.
Beaucoup d’entre vous vont chez les bouddhistes
ou s’inscrivent à des cours zen ou à des arts martiaux
qui semblent enfin apaiser leur âme.
Ils s’astreignent alors à quantités d’exercices,
des poses compliquées, longues, douloureuses, des heures de méditation.
Tout cela parce que votre âme n’en peut plus
et que vous Me cherchez et que vous ne savez pas où Je suis et qu’on ne vous le dit pas.
Je ne suis pas dans les postures zen,
Je suis dans le Tabernacle de toutes les églises
et je guéris toutes les maladies,
plus vite
et sans astreintes compliquées.
L’unique nécessité est de vous
asseoir
et de vous reposer
devant Mon Cœur ouvert et brûlant d’amour pour vous.
Ô mes chers fatigués,
que Je vous aime !
Que Je vous cherche !
Combien Je souffre de ne pouvoir vous guérir
parce que vous ne me le demandez pas.
Vous cherchez partout ailleurs ce que Je suis le seul à pouvoir donner.
Je vous vois vous épuiser,
Je vous vois sans abri véritable,
sans caresses,
et Je suis toutes les caresses, tous les abris.
Oh ! Combien Je souffre.
Je suis le Roi des rois,
mais Je ne peux que proposer mes trésors.
Car Mes sujets sont libres.
Ils sont libres de venir jusqu’à mon palais, de s’y promener, d’en ouvrir toutes les portes et de se servir à leur gré.
Mais je ne peux le leur imposer, Je ne peux les obliger à venir jusqu’à moi,
Je ne peux que les implorer, car moi qui les ai créés,
Je les ai faits à Mon Image et à Ma ressemblance ;
Je les ai faits libres.
Quitte à en souffrir sans cesse.
Car Mes biens
ne sont que pour être donnés,
Ma joie
n’est que pour être donnée,
Mon Coeur
n’est que pour être donné.
Ô Mes chers enfants,
encore enfants bien qu’adultes,
souffrant de mille blessures non exprimées,
de mille ressentiments,
de milliers de manque d’amour,
ô Mes tout petits,
bien qu’apparemment grands,
mais si souffrants,
si douloureux,
si secrètement humiliés
ou déçus
ou désespérés,
Mes enfants,
Mes fatigués,
Mes épuisés,
venez vous reposer en mon Cœur.
Venez vite,
votre Dieu vous en supplie,
votre Dieu est à genoux pour vous le demander.
Sauvez vos âmes si malheureuses, si horriblement mutilées.
Je vous donnerai toutes grâces.
En ces temps qui se raccourcissent,
Je vous donnerai toutes grâces,
pour que vous compreniez,
que vous croyiez,
que vous sachiez,
que tout ce que Je dis,
est Vérité.
Que ce Je dis, se fait.
Que Je suis Dieu.
Que Ma parole est acte.
Que Ma passion pour vous est sans faille jusqu’à la fin des temps.
Votre Dieu.
et le message du 30 mai :
Parle d’abord aux papas et aux mamans séparés, divorcés, remariés !
Ne croyez pas que je vous oublie (…) car vous êtes au cœur de mes souffrances. Vous êtes Mes souffrants, car lorsque vous étiez jeunes, on ne vous a pas appris ce qu’est vraiment l’amour, en comment on choisit un époux ou une épouse pour la vie. Si bien que vous cherchez cet époux ou cette épouse UNIQUE en passant de l’un à l’autre ou de l’une à l’autre, non par légèreté ou goût du changement. Au contraire ! Parce que vous cherchez véritablement cet(te) unique, et que vous sentez d’une certaine manière que vous y avez droit.
Vous avez raison. Vous avez droit à ce bonheur et vous cherchez ce que j’ai promis, Moi Votre Dieu, que vous ne connaissez pas. Vous cherchez à vivre ce qui existe au plus profond de vous-même : l’Amour.
Hélas, on ne vous a pas donné le bon chemin pour le rencontrer et vous expérimentez cette tromperie à travers toutes les souffrances qui accompagnent les séparations ! Souffrances pour vous-mêmes tout d’abord, car aucun lien ne se dénoue sans souffrances et votre corps y étant impliqué, c’est tout votre être qui les subit. Souffrances ensuite pour vos enfants que vous ressentez profondément, même si vous n’en parlez pas. Car vous faites tout pour que « tout se passe pour le mieux ». Mais ce tout, vous le voyez, vous le savez, n’empêche en RIEN leur souffrance, et la vôtre qui redouble obligatoirement, car vos cœurs de parents ayant été ouverts à la maternité et la paternité, plus rien ne peut atteindre vos enfants sans vous atteindre, même si vous ne l’avouez pas !
Je viens à vous, ô parents avides d’amour. Je viens à vous ! Je viens vous consoler. Quand vous trouverez mes MOTS sur cette page, vous en serez peut-être au premier ou au deuxième divorce, sans être parvenus à la JOIE que vous cherchez et, regardant au fond de vous-mêmes, vous saurez que ce que Je dis vrai.
Où est donc le bonheur ? Je l’ai cherché et je ne l’ai pas trouvé ! Non, vous ne l’avez pas trouvé, mais Je peux vous le donner, Moi, Votre DIEU AIMANT ! Venez à Ma Source, écoutez ce que Je vais murmurer à vos oreilles, à tout votre être blessé.
Ecoutez, oh, écoutez ! Je viens vous aimer, vous reconduire vers les sources d’eau vive que vous cherchez. Aujourd’hui vous pouvez tout recommencer. Voyez-vous, sur la Croix que vous n’avez pas comprise, que vous ne regardez jamais, car elle vous fait peur, sur la Croix, J’ai pris toutes vos blessures. Je ne les ai pas jugées. Je Me suis laissé frapper et flageller et crucifier pour REPARER vos corps eux-mêmes flagellés, blessés, défigurés. J’ai pris toutes vos souffrances ! Je les ai brûlées à l’AMOUR. Si bien que vous pouvez tout recommencer tout de suite et revivre !
Comment revivre ? Votre famille est disloquée, les enfants désespérés. Comment vivre ?
Allez chercher MA CROIX. METTEZ-LA DANS VOTRE MAISON, au milieu de votre famille, telle qu’elle est, avec ses souffrances, ses péchés, ses colères, ses disputes, ses hargnes, ses déceptions, ses amertumes, ses regrets. N’attendez pas d’être devenus meilleurs pour commencer avec MOI, le TOUT-PUISSANT, une nouvelle vie.
METTEZ MA CROIX et pour l’instant, ne faites qu’une seule chose : REGARDEZ-MOI SUR CETTE CROIX et dites-Moi :
Ô Dieu que je ne connais pas,
Qui mourez sur la Croix, alors que vous étiez innocent de tout mal,
Délivrez-moi de la souffrance, délivrez-moi du mal !
Je ne sais pas comment faire,
Je ne sais pas où chercher de l’aide !
J’ai fait ce que vous m’avez demandé de faire,
J’ai mis Votre Croix sur le mur de ma maison.
Je Vous en supplie, guidez-moi.
Vous avez promis ! Vous tenez toujours vos promesses !
Je viens à Vous, je Vous en supplie
Donnez-moi de vivre !
Parents blessés, si vous faites ce que Je vous demande aujourd’hui, vous verrez que peu à peu, votre âme Me connaîtra et vous trouverez l’Amour que vous cherchez et le repos.
N’ayez pas peur de Moi, car je ne suis que l’Amour. Je vous enverrai des frères et sœurs qui vous ramèneront au berceau de Ma tendresse, car Ma Croix les attirera à vous. Ils vous conduiront peu à peu sur les chemins odorants de fleurs et de douceurs que je vous ai réservés pour ces temps de détresse.
Ayez confiance !
MA CROIX SEULEMENT REGARDEE, MEME SANS LA COMPRENDRE OU SIMPLEMENT EN LA QUESTIONNANT, répond TOUJOURS, donne et donne encore et ne cessera de vous donner. JE SUIS LE VIVANT. JE SUIS CELUI QUI VOUS AIME ET QUI VOUS CHERCHE !
Ecoutez bien. Je ne vous demande qu’une chose, qu’une seule, mais je vous la demande. Je vous ai tout promis, si vous obéissez à mon imploration :
Ma croix, allez la chercher.
Qu’elle bénisse vos maisons,
Qu’elle console vos détresses,
Qu’elle éloigne les querelles, les incompréhensions, les haines.
Regardez-la chaque jour, questionnez-la, implorez-la, importunez-la.
Parlez-lui de tout, pleurez près d’elle, et METTEZ A COTE D’ELLE LE VISAGE DE MA SAINTE MERE.
Alors tout se fera peu à peu.
Je promets, je fais.
Je suis Votre Dieu qui vous cherche, Jésus-Christ, Fils Unique du Père dans l’Unité de l’Esprit-Saint.
L’intégrisme est un refuge pour la misère parce qu’il offre un sursaut d’espérance à ceux qui n’ont rien.
Que leur mal disparaisse, et l’intégrisme perdra ses troupes. L'Abbé Pierre
Vis vraiment chaque instant. Fais-le meilleur. Aime-le. Chéris-le. Fais-le beau, bon pour toi-même et pour Ton DIEU. Ne néglige pas les petites choses. Fais-les avec Moi, doucement. Fais de ta maison un Carmel où Je puisse Me reposer. Jésus, Premier Cahier d'Amour