Adultère et pilule du lendemain
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Adultère et pilule du lendemain
Bonsoir à tous,
Malheureusement, les bêtises consécutives au divorce se poursuivent. Je me crois à nouveau enceinte, avec peu de risques de me tromper cette fois (mais j'aimerais bien ! ), de mon "amant" - avec lequel je n'ai d'ailleurs pas de relation vraiment officielle. A la bêtise d'être dans la fornication et d'avoir eu un rapport non protégé au moment le plus critique, s'ajoute l'envie de prendre la pilule du lendemain.
Cependant, elle me pose un problème au niveau éthique, puisqu'elle a aussi un effet potentiellement abortif, comme vous le savez. Je l'ai déjà prise 2 fois dans ma jeunesse, mais n'avais pas conscience de ce que cela représentait.
Je ne me définis plus du tout comme catholique, au vu de la vie que je mène mais préférerais éviter d'ajouter le meurtre à cette longue liste de péchés. D'un autre côté, la situation est complexe autant pour moi que pour le potentiel père de cet enfant (notamment parce qu'il est criblé de dettes et ne vit pas dans la même ville).
La pilule du lendemain est-elle réellement considérée comme une forme d'avortement ? Que choisiriez-vous ? Je me doute qu'il vaudrait mieux "garder" un enfant issu d'un adultère plutôt que de s'en "débarrasser" avec la PDL - si enfant il y a - mais crains de regretter cette décision (oui, c'est malsain).
Merci, en tout cas !
Malheureusement, les bêtises consécutives au divorce se poursuivent. Je me crois à nouveau enceinte, avec peu de risques de me tromper cette fois (mais j'aimerais bien ! ), de mon "amant" - avec lequel je n'ai d'ailleurs pas de relation vraiment officielle. A la bêtise d'être dans la fornication et d'avoir eu un rapport non protégé au moment le plus critique, s'ajoute l'envie de prendre la pilule du lendemain.
Cependant, elle me pose un problème au niveau éthique, puisqu'elle a aussi un effet potentiellement abortif, comme vous le savez. Je l'ai déjà prise 2 fois dans ma jeunesse, mais n'avais pas conscience de ce que cela représentait.
Je ne me définis plus du tout comme catholique, au vu de la vie que je mène mais préférerais éviter d'ajouter le meurtre à cette longue liste de péchés. D'un autre côté, la situation est complexe autant pour moi que pour le potentiel père de cet enfant (notamment parce qu'il est criblé de dettes et ne vit pas dans la même ville).
La pilule du lendemain est-elle réellement considérée comme une forme d'avortement ? Que choisiriez-vous ? Je me doute qu'il vaudrait mieux "garder" un enfant issu d'un adultère plutôt que de s'en "débarrasser" avec la PDL - si enfant il y a - mais crains de regretter cette décision (oui, c'est malsain).
Merci, en tout cas !
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- Tribunus plebis
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Bonjoiur,
Ayez le courage de suivre la voix de votre conscience ! Repentie ? Alors il faut changer de vie. Vous n'aurez pas une meilleure occasion.
Oui. La pilule du lendemain est bien abortive.Repentie75 a écrit : ↑mer. 09 août 2023, 19:56
La pilule du lendemain est-elle réellement considérée comme une forme d'avortement ?
Chère consoeur, le choix ne peut être qu'un seul. J'espère bien que vous ne choisirez pas de vous débarrasser de votre enfant comme d'un déchet dans la toilette. Selon des statistiques que j'ai récemment lues, la plupart des nouveaux nés de nos jours proviennent des relations extraconjugales ou en tout cas non conjugales. Bien sûr, l'adultère est un péché, mais il est un péché "selon la nature", un péché qui ne crie pas vengeance au ciel. L'avortement, au contraire, c'est bien plus grave. Le monsieur a des dettes ? C'est la dernière chose qui doit vous embêter, pas tous les enfants sortent des parents riches. Mais ce sont les enfants qui font la vraie richesse. Oui, c'est vrai aussi que l'arrivée d'un enfant complique la vie, mais ce sont eux qui rendent la vie heureuse et lui donnent un sens.Je me doute qu'il vaudrait mieux "garder" un enfant issu d'un adultère plutôt que de s'en "débarrasser" avec la PDL
Ayez le courage de suivre la voix de votre conscience ! Repentie ? Alors il faut changer de vie. Vous n'aurez pas une meilleure occasion.
- nicolas-p
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Altior à bien nommé les choses.
Oui la pilule abortive dite du lendemain est un avortement très précoce .
Je comprends votre désarroi et la volonté d'avoir ici des réponses qui pourraient si possible vous réconforter dans le choix que vous vous apprêtez à faire.
C'est très délicat de répondre.
Pourriez-vous rapidement voir et parler à un prêtre ?
N'étant pas dans votre situation c'est bien plus facile de répondre que de le vivre.
Malgré l'angoisse Malgré la peur, si vous étés bien enceinte c'est déjà un enfant que vous attendez. Donc vous connaissez la réponse.
Vous avez plusieurs sites dont ivg.net : https://ivg.net/
Ce sont des personnes qui pourront à toute heure répondre et vous aider. Vraiment aller voir et appelez les ils sont bien plus compétents et confrontés à ces situations qui sont leur quotidien. Ils sauront vous aider.
Avec toute mon amitié (même si virtuelle) et je prierai pour vous.
Oui la pilule abortive dite du lendemain est un avortement très précoce .
Je comprends votre désarroi et la volonté d'avoir ici des réponses qui pourraient si possible vous réconforter dans le choix que vous vous apprêtez à faire.
C'est très délicat de répondre.
Pourriez-vous rapidement voir et parler à un prêtre ?
N'étant pas dans votre situation c'est bien plus facile de répondre que de le vivre.
Malgré l'angoisse Malgré la peur, si vous étés bien enceinte c'est déjà un enfant que vous attendez. Donc vous connaissez la réponse.
Vous avez plusieurs sites dont ivg.net : https://ivg.net/
Ce sont des personnes qui pourront à toute heure répondre et vous aider. Vraiment aller voir et appelez les ils sont bien plus compétents et confrontés à ces situations qui sont leur quotidien. Ils sauront vous aider.
Avec toute mon amitié (même si virtuelle) et je prierai pour vous.
Dernière modification par nicolas-p le mer. 09 août 2023, 22:55, modifié 1 fois.
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Bonjour Altior,
Merci pour votre intervention !
Oui, je suis d'accord avec vous : il faut effectivement occulter les difficultés - déjà inhérentes à l'adultère, au fait d'être encore légalement mariée - personnelles, sociales ou financières ; il y aura toujours moyen de s'en sortir et de voir "au jour le jour", comme le dit d'ailleurs le père potentiel. Non, j'assumerai et ne prendrai vraiment pas cette pilule du lendemain, car ce serait en effet gravissime, pire que la situation actuelle, et que cet enfant (s'il existe bien) serait totalement innocent. Je ne me verrais pas tuer mon propre enfant et suis d'accord pour reconnaître le caractère épouvantable de l'avortement, qu'il se présente sous la forme d'une pilule ou d'une IVG chirurgicale. D'ailleurs, mon ami est également opposé à la PDL.
Vous avez raison : il n'y a pas à tergiverser, mieux vaut un enfant né dans des circonstances très imparfaites plutôt que de l'abandonner ou de le tuer par cette pilule. J'ai été incapable de la prendre aujourd'hui - sur le chemin de la pharmacie, l'Esprit Saint consulté a dû me rattraper - justement en me disant que s'il y avait eu fécondation, je ne voulais pas que ce pauvre petit soit "expulsé". Il n'y a pas à regretter une telle décision, mais plutôt déplorer le recours à l'avortement, presque banalisé - et j'en ai honte puisque j'y participe en quelque sorte, par mes réflexions.
Bonne soirée à vous.
Merci pour votre intervention !
Oui, je suis d'accord avec vous : il faut effectivement occulter les difficultés - déjà inhérentes à l'adultère, au fait d'être encore légalement mariée - personnelles, sociales ou financières ; il y aura toujours moyen de s'en sortir et de voir "au jour le jour", comme le dit d'ailleurs le père potentiel. Non, j'assumerai et ne prendrai vraiment pas cette pilule du lendemain, car ce serait en effet gravissime, pire que la situation actuelle, et que cet enfant (s'il existe bien) serait totalement innocent. Je ne me verrais pas tuer mon propre enfant et suis d'accord pour reconnaître le caractère épouvantable de l'avortement, qu'il se présente sous la forme d'une pilule ou d'une IVG chirurgicale. D'ailleurs, mon ami est également opposé à la PDL.
Vous avez raison : il n'y a pas à tergiverser, mieux vaut un enfant né dans des circonstances très imparfaites plutôt que de l'abandonner ou de le tuer par cette pilule. J'ai été incapable de la prendre aujourd'hui - sur le chemin de la pharmacie, l'Esprit Saint consulté a dû me rattraper - justement en me disant que s'il y avait eu fécondation, je ne voulais pas que ce pauvre petit soit "expulsé". Il n'y a pas à regretter une telle décision, mais plutôt déplorer le recours à l'avortement, presque banalisé - et j'en ai honte puisque j'y participe en quelque sorte, par mes réflexions.
Bonne soirée à vous.
- nicolas-p
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Non n'ayez pas honte. Vous venez avec courage de prendre la décision qu'il faut .
Re: Adultère et pilule du lendemain
Bonjour Repentie75,
Je ne vais rien ajouter à ce qui a été dit précédemment par Altior et Nicolas_p mais je souhaiterais vous apporter mon soutien, bien que virtuel.
Bien que n'étant pas à votre place et que par conséquent j'ignore les tribulations par lesquelles vous passez, je ne peux m'empêcher de vous dire que peut-être cette grossesse (si grossesse il y a) peut être vue comme un signe, une sorte de "clin d'oeil", de " coup de pouce" de la Providence d'un point de vue spirituel... Bien sûr c'est facile à dire cachée derrière mon écran car cette potentielle grossesse entraînerait d'un point de vue psychologique, conjugal et matériel beaucoup de changements mais peut-être est-ce cela vous permettrait de donner une nouvelle orientation à votre vie d'une certaine manière.
J'espère que mon message ne vous heurtera pas. Le cas échéant ce n'était pas du tout mon intention car je vous trouve très honnête et lucide.
Bon courage et bonne journée à vous.
Marie.
Je ne vais rien ajouter à ce qui a été dit précédemment par Altior et Nicolas_p mais je souhaiterais vous apporter mon soutien, bien que virtuel.
Bien que n'étant pas à votre place et que par conséquent j'ignore les tribulations par lesquelles vous passez, je ne peux m'empêcher de vous dire que peut-être cette grossesse (si grossesse il y a) peut être vue comme un signe, une sorte de "clin d'oeil", de " coup de pouce" de la Providence d'un point de vue spirituel... Bien sûr c'est facile à dire cachée derrière mon écran car cette potentielle grossesse entraînerait d'un point de vue psychologique, conjugal et matériel beaucoup de changements mais peut-être est-ce cela vous permettrait de donner une nouvelle orientation à votre vie d'une certaine manière.
J'espère que mon message ne vous heurtera pas. Le cas échéant ce n'était pas du tout mon intention car je vous trouve très honnête et lucide.
Bon courage et bonne journée à vous.
Marie.
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Bonjour Marie et Nicolas,
@ Marie : merci pour votre jugement, votre soutien et rassurez-vous : je ne vois pas comment vos propos pourraient me heurter. Vous avez raison : même d'un péché objectif, Dieu peut tirer quelque chose de plus positif - même si bien sûr, Il doit penser le plus grand mal de cet acte - même en l'absence de grossesse - et être meurtri qu'on se soit autant détourné de lui (mon ami étant, lui, catholique ET pratiquant)
Prendre la pilule du lendemain serait hypocrite de ma part, en plus : dans le collège où je travaille, il y a une salle de classe portant le nom de Simone Veil et j'ai toujours été choquée qu'on donne son nom à une salle de classe - destinée, de surcroît, à accueillir des enfants / adolescents. A chaque fois que je passe devant cette salle, je suis agacée. Et malgré tout, j'ai envisagé d'avoir recours à la PDL ; comme quoi, il faut être humble en ne pensant pas que l'on saura toujours rester ferme dans ses convictions, face à certaines difficultés. Oui, c'est une leçon d'humilité, finalement. Rien n'est jamais acquis.
@Nicolas : merci à vous aussi, oui c'est la seule bonne décision. En parler à un prêtre - enfin, de l'adultère surtout, pour en sortir un jour - est une bonne idée.
@ Marie : merci pour votre jugement, votre soutien et rassurez-vous : je ne vois pas comment vos propos pourraient me heurter. Vous avez raison : même d'un péché objectif, Dieu peut tirer quelque chose de plus positif - même si bien sûr, Il doit penser le plus grand mal de cet acte - même en l'absence de grossesse - et être meurtri qu'on se soit autant détourné de lui (mon ami étant, lui, catholique ET pratiquant)
Prendre la pilule du lendemain serait hypocrite de ma part, en plus : dans le collège où je travaille, il y a une salle de classe portant le nom de Simone Veil et j'ai toujours été choquée qu'on donne son nom à une salle de classe - destinée, de surcroît, à accueillir des enfants / adolescents. A chaque fois que je passe devant cette salle, je suis agacée. Et malgré tout, j'ai envisagé d'avoir recours à la PDL ; comme quoi, il faut être humble en ne pensant pas que l'on saura toujours rester ferme dans ses convictions, face à certaines difficultés. Oui, c'est une leçon d'humilité, finalement. Rien n'est jamais acquis.
@Nicolas : merci à vous aussi, oui c'est la seule bonne décision. En parler à un prêtre - enfin, de l'adultère surtout, pour en sortir un jour - est une bonne idée.
- Fleur de Lys
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Bonjour Repentie,
Je lis que vous avez pris votre décision - ne rien faire que vous puissiez regretter, et je m'en réjouis.
Mais maintenant que ce qui est fait est fait, il ne faut plus vous stresser avec ça! Les grossesses n'arrivent pas toujours aussi facilement, vous verrez bien.
Il faut vous concentrer sur votre situation déjà fort complexe.
Personne ne peut vous blâmer vu tout ce qui vous tombe sur la tête! Alors ne vous blâmez pas parce que vous avez songé à la pilule du lendemain.
D'ailleurs elle semble peu de chose comparée à un avortement à 12 semaines! Et vous évoquiez très justement à quel point l'avortement lui-même est banalisé! Ce n'est donc pas étonnant de comparer la pilule du lendemain à une simple contraception d'urgence, elle est présentée comme telle.
Et vous dites ne plus vous sentir catholique. L'Eglise devrait rester comme un phare pour éclairer votre route dans la tempête.
Ce n'est pas parce que vous ne vivez plus en catholique que vous n'êtes plus catholique, seulement on est tous pécheur!
Je prie pour que la tempête s'éloigne de vous....
Et que vous retrouviez la sérénité.
Je lis que vous avez pris votre décision - ne rien faire que vous puissiez regretter, et je m'en réjouis.
Mais maintenant que ce qui est fait est fait, il ne faut plus vous stresser avec ça! Les grossesses n'arrivent pas toujours aussi facilement, vous verrez bien.
Il faut vous concentrer sur votre situation déjà fort complexe.
Personne ne peut vous blâmer vu tout ce qui vous tombe sur la tête! Alors ne vous blâmez pas parce que vous avez songé à la pilule du lendemain.
D'ailleurs elle semble peu de chose comparée à un avortement à 12 semaines! Et vous évoquiez très justement à quel point l'avortement lui-même est banalisé! Ce n'est donc pas étonnant de comparer la pilule du lendemain à une simple contraception d'urgence, elle est présentée comme telle.
Et vous dites ne plus vous sentir catholique. L'Eglise devrait rester comme un phare pour éclairer votre route dans la tempête.
Ce n'est pas parce que vous ne vivez plus en catholique que vous n'êtes plus catholique, seulement on est tous pécheur!
Je prie pour que la tempête s'éloigne de vous....
Et que vous retrouviez la sérénité.
Dernière modification par Fleur de Lys le ven. 11 août 2023, 2:04, modifié 1 fois.
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- Tribunus plebis
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Bonsoir
Vous avez fait le bon choix "Repentie"
Je notais ceci sur Wilképédia, relatif à la "pilule du lendemain";
La contraception d'urgence par le lévonorgestrel retarde l'ovulation (ou la perturbe lorsqu'elle est sur le point de se produire), mais elle ne la stoppe pas lorsqu'elle est commencée
En fait, cela n'empêcherait pas le processus de grossesse , si l'ovulation est en route. ce serait vraisemblablement , comme une pilule tardive...
Ce qui n'en ferait pas un avortement...
Ce n'est pas une raison pour la prendre "chère Repentie"
Qu'en pensez vous messieurs les médecins...
Vous avez fait le bon choix "Repentie"
Je notais ceci sur Wilképédia, relatif à la "pilule du lendemain";
La contraception d'urgence par le lévonorgestrel retarde l'ovulation (ou la perturbe lorsqu'elle est sur le point de se produire), mais elle ne la stoppe pas lorsqu'elle est commencée
En fait, cela n'empêcherait pas le processus de grossesse , si l'ovulation est en route. ce serait vraisemblablement , comme une pilule tardive...
Ce qui n'en ferait pas un avortement...
Ce n'est pas une raison pour la prendre "chère Repentie"
Qu'en pensez vous messieurs les médecins...
Dernière modification par Trinité le jeu. 10 août 2023, 22:03, modifié 1 fois.
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Bonsoir Trinité et merci pour votre message !
Je ne suis pas du tout médecin, mais il me semble que la pilule du lendemain a aussi un effet sur l'endomètre pour empêcher la nidation.
Je ne suis pas du tout médecin, mais il me semble que la pilule du lendemain a aussi un effet sur l'endomètre pour empêcher la nidation.
- nicolas-p
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Oui il y un effet sur la nidation. C'est le mécanisme abortif effet qui arrive si l'ovulation n'est pas bloquée ou les spermatozoïdes empêché de féconder. Donc elle peut être contraceptive simple si prise précocement ou abortive si plus tardive.
https://www.vidal.fr/medicaments/substa ... -2086.html
https://www.vidal.fr/medicaments/substa ... -2086.html
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- Tribunus plebis
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Bonsoir Nicolas p
Je ne comprends pas trop le sens de cet effet abortif.
Je suis concerné également par ce sujet, car dans ma triste vie sexuelle antérieure, 'j'ai préconisé cette pilule à une personne avec qui j'avais eu des rapports...
Je m'en suis confessé , il y a plusieurs années, mais j'avais un tel passif que je ne me souviens plus trop si j'ai parlé au prêtre de cet évènement...
En tout état de cause, j'en parlerai à ma prochaine confession...
Je ne comprends pas trop le sens de cet effet abortif.
Je suis concerné également par ce sujet, car dans ma triste vie sexuelle antérieure, 'j'ai préconisé cette pilule à une personne avec qui j'avais eu des rapports...
Je m'en suis confessé , il y a plusieurs années, mais j'avais un tel passif que je ne me souviens plus trop si j'ai parlé au prêtre de cet évènement...
En tout état de cause, j'en parlerai à ma prochaine confession...
Dernière modification par Trinité le jeu. 10 août 2023, 22:59, modifié 2 fois.
- nicolas-p
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Re: Adultère et pilule du lendemain
En l'absence d'efficacité précoce pour bloquer l'ovulation, L'ovule (si il est fécondé) migre dans les trompes et ne peut pas s'implanter : c'est donc bien un avortement très précoce a ce moment là par élimination de cet embryon nouvellement créé.
Néanmoins la fécondation est aléatoire est souvent un échec: donc toute prise de ce médicament n'aboutit pas à un avortement. Probablement dans une minorité de cas.
Néanmoins la fécondation est aléatoire est souvent un échec: donc toute prise de ce médicament n'aboutit pas à un avortement. Probablement dans une minorité de cas.
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Merci de vos précisions Nicolas.nicolas-p a écrit : ↑jeu. 10 août 2023, 22:39 En l'absence d'efficacité précoce pour bloquer l'ovulation, L'ovule (si il est fécondé) migre dans les trompes et ne peut pas s'implanter : c'est donc bien un avortement très précoce a ce moment là par élimination de cet embryon nouvellement créé.
Néanmoins la fécondation est aléatoire est souvent un échec: donc toute prise de ce médicament n'aboutit pas à un avortement. Probablement dans une minorité de cas.
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Re: Adultère et pilule du lendemain
Au moins, Trinité, cela vous a rappelé un péché et vous voulez vous en confesser, c'est déjà bien ! souvent on pèche sans même s'en rendre compte
Pour les nouvelles - et encore merci pour tous vos messages, souvent réconfortants - je ne suis finalement pas enceinte et ai récemment mis fin à cet adultère (bien que nous nous rencontrions encore, pour le moment).
Pour les nouvelles - et encore merci pour tous vos messages, souvent réconfortants - je ne suis finalement pas enceinte et ai récemment mis fin à cet adultère (bien que nous nous rencontrions encore, pour le moment).
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