Rupture amoureuse et humeur chagrine

« Heureux vous qui pleurez maintenant, car vous serez dans la joie ! » (Lc 6.21)
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Liberatus
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Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par Liberatus » mer. 04 mars 2015, 17:22

Bonjour, je jette un pavé dans la mare, parce que j’ai besoin de conseils, ou plutôt d’être consolé, d’avoir une oreille qui me comprenne.

J’ai le sentiment d’avoir sacrifié mon bonheur pour suivre Jésus Christ. Je souffre beaucoup, car j'ai fait le choix de suivre le chemin que Jésus et l’Eglise son épouse m’indiquent, car j’ai compris, grâce à (ou à cause de) Dieu, le sens de l’amour voulu par Dieu pour les hommes. Le problème c’est que même si rationnellement, j’y adhère, et même si dans mon cœur, je trouve cela admirable, en revanche, je souffre, car la passion amoureuse s’est trouvée, dans ma vie, en contradiction avec ce que professent les Ecritures et l’enseignement de l’Eglise en matière de sexualité. Si mon amie m’a quitté, c’est en partie à cause de cela. Rationnellement, je sais que c’est une bonne chose pour moi, mais j’ai une grosse boule au ventre, je revois tous les souvenirs heureux qu’on a passé ensemble et je pleure parce que je suis encore très amoureux. Tous les souvenirs rejaillissent et mon esprit les cultive. Je crois pouvoir dire que je l’aimais en vérité, hélas, ce n’était pas réciproque. Et maintenant, je ne l’aime plus en vérité, parce que je la convoite, j’espère qu’elle reviendra vers moi, alors même que je sais que je ne dois pas penser ainsi. Je sais qu’on ne peut pas contraindre les gens à nous aimer, mais je ne l’accepte pas. Je n’ai aucune rancune contre elle, seulement un grand sentiment d’injustice, mais aussi j’ai pris conscience d’erreurs que j’ai commis à son égard, et qu’elle ne m’a pas pardonné. Elle m’a dit que je manquais de légèreté et que j’avais besoin de l’Eglise comme d’une béquille. Je vois le décalage entre l’amour tel que saint Paul le décrit au chapitre 13 de son Epitre aux Corinthiens, et mon ressenti personnel.
Au fond, j’en veux parfois à Dieu de m’avoir révélé une partie de sa sagesse. Je lui en veux parce que je crois que je n’ai pas la force d’accomplir sa parole, de vivre ma vie en conformité avec Jésus. J’aimerai être comme avant, quand je ne croyais pas, parce que la vie alors était plus simple. Mais je sais que si je me détourne de Jésus, je le trahirai, pécherai mortellement en accomplissant le mal en conscience, et me condamnerai aux flammes de l'enfer, qui se réjouiront de me réchauffer les fesses.
J’ai aussi parfois l’impression que ma foi n’est que purement rationnelle, et que je vais finir par devenir fou à essayer de gravir une telle montagne. Ou plutôt, que je suis condamné à porter ma croix jusqu’à la fin de ma vie terrestre. J’ai peur de me détourner de Dieu et de l’Eglise par faiblesse. Précision importante : de 16 à 19-20 ans, j’étais englué dans le péché d’onanisme, dont le Seigneur, par l’intermédiaire de saint Augustin et de la lecture de la Bible, m’a sauvé. J'ai désormais 21 ans et suis catéchumène parce que c'est ma seule voie de sortie pour assurer le salut de mon âme.

Mais quand je vois mes amis, mes connaissances et beaucoup de gens heureux sans Dieu, heureux car ils se croient libres de faire ce qu’ils entendent, ça me tue parce que je crois qu’ils ont tort, mais cette vérité me rend malheureux.
Leur ignorance de Dieu les rend heureux, tandis que ma connaissance de Dieu (aussi faible soit-elle) me rend malheureux. J’espère que ce n’est que passager, mais ça fait un petit temps que la douleur s’est installée, et je ne sais pas comment sortir ce venin de mes veines.
Merci pour votre patience.

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Re: Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par Anne » mer. 04 mars 2015, 17:44

Liberatus a écrit :Si mon amie m’a quitté, c’est en partie à cause de cela. Rationnellement, je sais que c’est une bonne chose pour moi
Cher Liberatus,

vous le dites vous-même : ce n'est qu'une partie de la raison pour laquelle cette femme que vous aimiez vous a quitté : serait-elle restée si cette partie avait été absente ?

Vous êtes lucide et votre analyse me semble approfondie. Vous êtes en période de "deuil" (la séparation est une perte aussi) et les sentiments/pensées dont vous parlez font partie de ce processus douloureux.

Ne désespérez pas, priez, continuez à vous confier entièrement au Seigneur. Je ne doute pas qu'Il a pour vous un projet qui pourra vous rendre heureux à nouveau... Courage !

En U de P,

:sign:
"À tout moment, nous subissons l’épreuve, mais nous ne sommes pas écrasés;
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nous sommes pourchassés, mais non pas abandonnés;
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".
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Re: Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par Héraclius » mer. 04 mars 2015, 18:02

Bonjour Liberatus,


Tout d'abord, bravo pour votre engagement de l'Eglise et vos choix de vie. C'est très beau.

J'ai envie de vous dire que ce que vous vivez est parfaitement normal. Car le chrétien ne cherche pas le bonheur, il cherche l'amour. Vous savez, la principale caractéristique du paradis n'est pas d'être le lieu de la béatitude, mais d'être le lieu de l'amour. Quelque part, si le paradis n'était que souffrance, le rechercher serait tout de même juste, car c'est le siège du bien avant d'être celui du bonheur, si vous voyez ce que je veux dire.

Cependant, il se trouve (heureusement !) que la béatitude est toujours, au bout du compte, corollaire de la vie hors du monde. Celui qui aime sans mesure finit par être empli d'une joie spirituelle profonde, parce qu'il sait que les choix qu'il fait sont justes. C'est le profil du Saint. Et d'ailleurs, cette analyse n'a rien à voir avec la foi ; un athée en observant le comportement du Saint ferait la même analyse.

Maintenant, c'est là qu'il faut séparer deux types de bonheur : le plaisir, le bonheur selon le monde, et la grande joie naturelle de faire ce qui est juste. Et vous savez bien que le premier ne vous mènerait pas à la vraie béatitude, déjà parce qu'il en est incapable, et d'autre part parce que né de l'Esprit que vous êtes, avec votre science et votre foi, vous ne pourriez pas jouir véritablement d'un plaisir mauvais, trop conscient de son égoïsme.

Pour autant, le Saint a beau être heureux d'une certaine manière, il n'en souffre pas moins. Et le Seigneur lui-même, le Saint des Saints d'Israël, ne souffre-t-il pas devant nos péchés et devant les âmes qui se damnent ? Le Christ ne nous invite-t-il pas à porter nous aussi notre croix, à Sa suite, par Amour de lui et des hommes ?

Je lui en veux parce que je crois que je n’ai pas la force d’accomplir sa parole, de vivre ma vie en conformité avec Jésus. J’aimerai être comme avant, quand je ne croyais pas, parce que la vie alors était plus simple. Mais je sais que si je me détourne de Jésus, je le trahirai, pécherai mortellement en accomplissant le mal en conscience, et me condamnerai aux flammes de l'enfer, qui se réjouiront de me réchauffer les fesses.
La vie du chrétien, c'est un peu celle du héros de film d'action ou d'aventure (parallèle foireux en marche :p ). Où est le mérite du héros, où est sa justice, où est sa bonté sinon dans le fait qu'il traverse de grandes difficultés et de grandes souffrances ? N'est-il pas naturel que Frodon, sur les pentes de la Montagne du Destin, ne regrette pas son chez-lui ? Pourtant, ce qui fait de lui un être justifié, c'est sa résistance à toutes les tentations et sa capacité à accepter les souffrances. Oui, Dieu s'est saisi de vous et vous a montré le Monde tel qu'il est. C'est dur, mais c'est la Vérité.

Du reste, je ne prétends aucunement vous donner une leçon de quoi que ce soit. J'ai mes propres démons et ma propre faiblesse. Je connais la théorie, sans prétendre l'avoir jamais véritablement mise en pratique.

Priez pour obtenir la force, nul homme ne l'a par lui-même. Priez pour obtenir "le bouclier de la foi, le casque du salut et le glaive de l'Esprit". Et priez pour que les autres l'obtiennent.

J’ai aussi parfois l’impression que ma foi n’est que purement rationnelle, et que je vais finir par devenir fou à essayer de gravir une telle montagne. Ou plutôt, que je suis condamné à porter ma croix jusqu’à la fin de ma vie terrestre. J’ai peur de me détourner de Dieu et de l’Eglise par faiblesse. Précision importante : de 16 à 19-20 ans, j’étais englué dans le péché d’onanisme, dont le Seigneur, par l’intermédiaire de saint Augustin et de la lecture de la Bible, m’a sauvé. J'ai désormais 21 ans et suis catéchumène parce que c'est ma seule voie de sortie pour assurer le salut de mon âme.
Priez pour moi qui suis toujours vautré dans l'immondice de ce péché. :(


Dieu vous bénisse. Je prie pour vous.


Héraclius -
''Christus Iesus, cum in forma Dei esset, non rapínam arbitrátus est esse se æquálem Deo, sed semetípsum exinanívit formam servi accípiens, in similitúdinem hóminum factus ; et hábitu invéntus ut homo, humiliávit semetípsum factus oboediens usque ad mortem, mortem autem crucis. Propter quod et Deus illum exaltávit et donávit illi nomen, quod est super omne nomen, ut in nómine Iesu omne genu flectátur cæléstium et terréstrium et infernórum.'' (Epître de Saint Paul aux Philippiens, 2, 7-10)

Liberatus
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Re: Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par Liberatus » mer. 04 mars 2015, 20:46

Merci pour vos réponses
Anne a écrit :ce n'est qu'une partie de la raison pour laquelle cette femme que vous aimiez vous a quitté : serait-elle restée si cette partie avait été absente ?
Je ne comprends pas bien le sens de votre question, mais je vais essayer de répondre avec ce que j'ai compris.
En fait, j'ai décidé d'emprunter le chemin du baptême juste avant de la rencontrer. Je lui ai donc expliqué, assez rapidement, ma vision de l'amour et de la sexualité (vision catholique). Evidemment, dans un premier temps, elle m'a répondu que cela ne lui posait aucun problème. Mais ça n'a pas duré, et puis je pense qu'on respecte d'autant plus quelque chose qu'on en comprend son bien-fondé, et on ne partage une idée que si on a de l'amour pour cette idée. Sinon, on agit contre sa conscience.
Au fond, la barrière, c'était la foi. Je la comprend totalement, parce que j'ai vécu 20 ans sans Dieu, en revanche elle, ne me comprend pas. Et puis elle a voulu connaître ma position sur l'homosexualité, je savais que ce que je répondrai lui déplairait, mais j'ai répondu quand même, ce que dit l'Eglise sur ce sujet, position que je partage (les actes sont mauvais mais les personnes sont aimées). Son estime pour moi s'est effondré. Bref, je ne vais pas m'appesantir sur mon cas, manque de légèreté, trop radical, trop "l'Eglise le dit alors c'est vrai" sont les raisons qu'elle m'a données. J'en tiendrai compte à l'avenir.


Héraclius a écrit :Priez pour obtenir "le bouclier de la foi, le casque du salut et le glaive de l'Esprit". Et priez pour que les autres l'obtiennent.
Bonjour Héraclius, sympa votre pseudo, ça colle bien avec votre dernière phrase.
Héraclius a écrit :Car le chrétien ne cherche pas le bonheur, il cherche l'amour
L'idéal c'est de trouver le bonheur en cherchant l'amour, oui.
Héraclius a écrit :'il faut séparer deux types de bonheur : le plaisir, le bonheur selon le monde, et la grande joie naturelle de faire ce qui est juste.
Je retiens l'idée. Parvenir à cet état de joie naturelle de faire ce qui est juste n'est pas chose aisée, mais je crois que ça vaut la peine de chercher y parvenir, un jour.

Le chrétien comme modèle du héros, intéressant, ça donne un autre éclairage :oui:

Pour finir, lisez, si vous ne l'avez pas déjà fait, les Confessions de saint Augustin. Ca pourrait vous aider à briser vos chaînes. Cet homme est admirable, il écrit avec une humilité (on est loin des Confessions de Rousseau) et en même temps une rhétorique magistrale. Il est resté jusqu'à 30-35 prisonnier de ce mal. On sent l'étendue de sa détresse au fil de sa plume.
En ce qui me concerne, je ne suis pas à l'abri d'une rechute, mais je garde à l'esprit ce conseil de mon maître : "Si tu n'achèves pas de rompre ce qui reste de ta chaîne, elle se renouera et t'attachera plus fortement que jamais".

Je prierai pour vous.

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Anne
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Re: Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par Anne » mer. 04 mars 2015, 23:10

Liberatus a écrit :
Anne a écrit :ce n'est qu'une partie de la raison pour laquelle cette femme que vous aimiez vous a quitté : serait-elle restée si cette partie avait été absente ?
Je ne comprends pas bien le sens de votre question, mais je vais essayer de répondre avec ce que j'ai compris.
Rien de bien vilain : j'avais cru comprendre que votre foi avait été un obstacle parmi d'autres et que ces autres raisons étaient d'un autre niveau, suffisamment pour que la partie "spirituelle" ne soit qu'un item parmi plusieurs. D'où ma question : en enlevant la donnée "foi", est-ce que, éventuellement, au bout du compte, le résultat aurait été le même ?
Au fond, la barrière, c'était la foi. Je la comprend totalement, parce que j'ai vécu 20 ans sans Dieu, en revanche elle, ne me comprend pas. Et puis elle a voulu connaître ma position sur l'homosexualité, je savais que ce que je répondrai lui déplairait, mais j'ai répondu quand même, ce que dit l'Eglise sur ce sujet, position que je partage (les actes sont mauvais mais les personnes sont aimées). Son estime pour moi s'est effondré. Bref, je ne vais pas m'appesantir sur mon cas, manque de légèreté, trop radical, trop "l'Eglise le dit alors c'est vrai" sont les raisons qu'elle m'a données. J'en tiendrai compte à l'avenir.
Il lui manquait donc quelque chose qui l'empêchait de vous comprendre, quelque chose qui la gardait campée sur ses idées et qui faisait qu'au final, ce n'était peut-être pas la meilleure personne pour vous. Ceci dit, il ne faudrait alors pas verser dans l'autre extrême : vivre votre foi comme en "cachette", ce qui reviendrait à taire un aspect important de votre personnalité ou encore le mettre tout à fait de côté dans l'espoir que quelqu'un s'attache à vous de la manière dont vous le souhaitez. Ce serait bien dommage dans un cas comme dans l'autre et ce serait y perdre au change. D'autant plus que ce serait biaiser, pour ne pas dire miner, cette autre relation.

Mais je me doute bien que vous méditez tout cela, mieux que je ne saurais l'exprimer. Je ne peux donc que vous souhaiter d'obtenir la sérénité et de rencontrer une âme réellement soeur qui saura vivre en harmonie avec vous dans la foi...
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Re: Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par Liberatus » mer. 04 mars 2015, 23:43

Merci Anne,

Rassurez vous, je ne compte pas vivre ma foi en cachette.
Je sais ce qui est bon pour moi. Je suis une brebis égarée qui veut rejoindre le troupeau et se laisser guider
par notre berger commun. Je ne cherche pas à me gagner l'estime des gens, mais simplement à plaire à Dieu.

Bonsoir :ciao:

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Re: Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par pierresuzanne » jeu. 05 mars 2015, 19:40

Liberatus a écrit :
Je sais ce qui est bon pour moi. Je suis une brebis égarée qui veut rejoindre le troupeau et se laisser guider
par notre berger commun. Je ne cherche pas à me gagner l'estime des gens, mais simplement à plaire à Dieu.
J'ai vu que vous avez 21 ans.... je me permets juste de vous dire que plaire à Dieu est une excellente ambition... mais que cela ne doit pas, et ne peut pas, vous décourager de plaire un peu aux hommes..... ou du moins à la toute petite fraction de l'humanité qui s’appellera un jour... votre épouse.
:coeur: :arc:
N'êtes-vous pas un peu jeune pour montrer un tel pessimisme ? Et puis, on peut plaire aux gens de différentes façons, et se faire quelques ami(e)s de qualité, de vrais copains qu'on gardera toute sa vie. L'amitié n'est pas l'amour, d'accord, mais cela est une richesse humaine, un don de Dieu, qu'il ne faut pas négliger.
Bon courage à vous. Cela me rappelle mon jeune temps et quelques râteaux mémorables. Donc, je sais bien que ce que je vous dis ne vas pas servir à grand chose. Finalement, je suis bien content de ne plus avoir 20 ans !

Pierre-Elie
L'archéologie et la science peuvent-elles nous apprendre la vérité sur nos religions ?Télécharger gratuitement en copiant collant : https://onedrive.live.com/redir?resid=83935C97F75476A6!103&authkey=!AC2tYNawNpXvvR8&ithint=folder%2cpdf
HISTOIRE ILLUSTRÉE DES MONOTHÉISMES

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Re: Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par Liberatus » jeu. 05 mars 2015, 22:43

pierresuzanne a écrit :je me permets juste de vous dire que plaire à Dieu est une excellente ambition... mais que cela ne doit pas, et ne peut pas, vous décourager de plaire un peu aux hommes..... ou du moins à la toute petite fraction de l'humanité qui s’appellera un jour... votre épouse.
Bien sur ! Les deux ne me paraissent pas incompatibles :rire:
Et puis, on aime d'autant mieux les hommes si on aime Dieu, puisqu'on veut leur bien.
pierresuzanne a écrit :N'êtes vous pas un peu jeune pour montrer un tel pessimisme ? Et puis, on peut plaire aux gens de différentes façons, et se faire quelques ami(e)s de qualité, de vrais copains qu'on gardera toute sa vie. L'amitié n'est pas l'amour, d'accord, mais cela est une richesse humaine, un don de Dieu, qu'il ne faut pas négliger.
Rassurez vous, j'ai de bons amis, et m'en réjouis :D
L'amitié, ça me parait être une expression de l'Amour divin.

Au fait, j'ai commencé la lecture de l'Histoire illustrée des monothéismes, et vous remercie de me l'avoir communiqué.
Bonsoir :ciao:

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Re: Rupture amoureuse et humeur chagrine

Message non lu par pierresuzanne » ven. 06 mars 2015, 10:47

Liberatus a écrit :
Rassurez vous, j'ai de bons amis, et m'en réjouis :D
L'amitié, ça me parait être une expression de l'Amour divin.
Au fait, j'ai commencé la lecture de l'Histoire illustrée des monothéismes, et vous remercie de me l'avoir communiqué.
Bonsoir :ciao:
Si vous avez des amis susceptibles d'en tirer profit, n'hésitez pas à faire circuler le lien. Les médias et l'histoire telle qu'elle est enseignée de nos jours, présentent si souvent la foi et les croyances dans une perspective athée, voire tendancieusement athée, que quelques vérités bien objectives ne peuvent pas faire de mal.

Bonne journée à vous.

Pierre-Elie.
L'archéologie et la science peuvent-elles nous apprendre la vérité sur nos religions ?Télécharger gratuitement en copiant collant : https://onedrive.live.com/redir?resid=83935C97F75476A6!103&authkey=!AC2tYNawNpXvvR8&ithint=folder%2cpdf
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