Il n'y a pas d'autre priorité dans mes intentions que celles que je mentionne, je vous assure.
Ces "stratégies" que vous me prêtez s'inscrivent dans l'analyse expérimentale du contexte d'un déploiement peccamineux pour en détecter les composantes, comme le chimiste analyse en présence de révélateurs les ingrédients de sa mixture en les isolant.
Je vous mets juste à contribution, car comme n'importe qui (sauf paradoxalement Jésus, qui sait comment on enlève le péché du monde?), vous savez ce que pécher suppose.
vous n'êtes pas l'objet de l'étude..
pour voir comment l'obéissance aurait impacté le cours des évènements. C'est une piste. Il n'est en tout cas pas mauvais de rendre compte par écrit de cet angle d'étude par lequel, parmi d' autres, certaines hypothèses peuvent se dégagercmoi a écrit : ↑sam. 30 janv. 2021, 3:30Remarquez la réponse d'Adam à son épouse : il n'avait jusqu'alors jamais songé à y réfléchir, à aller plus loin que le commandement. Autrement dit, il avait occulté la tentation possible, elle n'existait même pas pour lui, et on le comprend : pourquoi se pourrir la vie pour rien, n'était-il pas heureux "comme cela"?
C'est ce que j'ai voulu dire, il faut partir de cet état d'innocence,
Mais à vrai dire, cela pose aussi la question de savoir comment se situer par rapport au remède eucharistique.
La démarche que je poursuis s'inscrit-elle dans le christianisme, est-elle une contrefaçon juxtaposée, complémentaire, supplémentaire, concurrente ou non de ce remède?
Plus personnellement:
Ces réflexions étaient-elles prévues dans le plan de salut de Dieu rapporté au pécheur que je suis? Suis-je donc sur le bon chemin?
Toutes les réactions sont les bienvenues..