J'en suis désolé mais les accusateurs habituels sont venus troubler ce débat fort intéressant au départ et que je suivais dans la discrétion.
Je suis tout à fait d'accord. Cela avait pour but un discours en deux temps qui voulait aborder le fait que le tout répressif n'était pas non plus une solution. Je pense y répondre partiellement dans mon message précédent.Le seul point qui m'intrigue est votre formulation "on met plus de police/justice pour qu'il y ait moins de monde en prison".
Je pense qu'e votre plume(souris plutôt) a peut-être dépassé votre pensée car il me semble que renforcer les moyens de la justice et de la police n'aura pas pour effet de diminuer le nombre des crimes et délits (mais ça peut se discuter,à terme) et donc celui des prisonniers...
Je suis désolé si ma façon d'aborder les choses peut ne pas être comprise mais j'essaye toujours de partir du principe de réalité.L'autre thème est celui de l'immigration de masse qui est un vrai problème
Je vais donc vous répondre par un questionnement qui se veut réflexif et ne nécessite pas nécessairement de réponse en retour.
Depuis les lois Veil, la France accuse un déficit démographique de plus 10 millions de personnes, à cela s'ajoute l'allongement de la durée de la vie. Les pays européens connaissent le même problème, dont l'Allemagne (que je cite car première en terme de population et à l'économie solide qui a pourtant fait appel à une main d'œuvre d'1 million de personnes il y a quelques années), et l'actualité récente de la Chine nous démontre qu'elle accuse de plein fouet ce fait à la suite de sa politique de l'enfant unique. Après cette introduction voici la vraie question : comment pensez-vous que les pays européens, dont la France, peuvent résoudre le problème démographique d'une population qui n'en finit pas de vieillir sans, au minimum, faire appel à une population extérieure ou sacrifier une génération ? J'ai, en écrivant ces mots, précisément en tête le problème des retraites; un exemple parmi d'autres.