Il faut arrêter avec ce terme faux qui discrédite ceux opposés à cette vaccination :Pathos a écrit : ↑sam. 17 juil. 2021, 23:11Article intéressant mais finalement hors sujet puisqu'il ne s'agit pas d'un vaccin.
La vérité commence par nommer les choses par leur nom.
Appeler ça thérapie génique c'est certain que ce sera beaucoup moins vendeur mais au moins on ne prendra pas les gens pour des imbéciles.
Ce n'est pas une thérapie génique. C'est faux. Et cela donne du poids pour ridiculiser.
Pour l'avoir vu utilisé en cancérologie, Une thérapie génique consiste via un vecteur viral replicatif a tenter d'intégrer des morceaux d'ADN externes dans notre ADN. Cette technologie est un échec ( in vivo ne marche pas ).
Les vaccins janssen et Astra zenecca sont des vecteurs NON replicatif et enroulés ( plasmide ) donc non intégrable ( seul l'ADN linéaire le peut et encore... car malgré les moyens technologiques engagés cela ne marche pas).
L'ARNm ne peut pas s'intégrer à l'ADN ( impossible )
Seule une rétrotranscription en double hélice d ADN le pourrait en théorie.
1° obstacle : nécessité d'une transcriptase inverse et d'une intégrase ( concerne peu de personnes )
2°obstacle : L'ARNm est extrêmement fragile ( conservation à-70°) et est rapidement détruit in vivo à 37°c.
3°obstacle nécessité d'une séquence "d'amorçage" de L'ARNm en 5' nucléotidase pour pouvoir s'appairer en vue de la rétrotranscription et qui est absente de ces vaccins (séquence chimique pure construite sans cet amorçage):
Donc c'est dans les faits impossible ou quasi impossible : Car, si L'ARNm n'est pas détruit en quelques minutes ou heures max, il ne peut via l'absence de séquence d'amorçage s'appairer avec une rétrotranscriptase si tant est qu'il en trouve. D'autant que cette rétrotranscription n'a jamais pu se faire seule dans une cellule et n'a jamais été observée autrement qu' avec des rétrovirus qui ont toujours rétrotranscri uniquement leur propre ARN et non de l'arn intra cytoplasmique ( le nôtre ou celui d'1 vaccin )
Seule l'interaction via les "micro-ARN " dans le cadre de l' épigénétique reste thé oriquement possible. (Ces mécanismes sont de découvertes récentes et peu connus)
On peut donc globalement être assez serein sur ce risque improbable sans exclure un risque rare.
L'ARNm de ces vaccins ne fait que mimer le mécanisme naturel des rétrovirus qui depuis la nuit des temps nous infectent et nous font produire leurs propres protéines via leur ARNm en utilisant notre machinerie cellulaire rien de plus.