D'une part on voit que les écoles "catholiques" sont, pour une partie, de moins en moins catholiques, d'autre part l'Assemblée nationale est en train de supprimer les "écoles familiales".
La dernière solution est la création d'écoles vraiment catholiques.
Sans doute hors contrat, malheureusement.
Voilà une piste :
Créer son école (association)
Site de l'association Créer son école, une véritable d'information sur les écoles hors contrats
Contact : Association Creer son École - Anne Coffinier - 46, rue Custine - 75018 Paris
Courriel : contactcreer-son-ecole.com
Site : http://www.creer-son-ecole.com
La transmission de la foi dans l'Enseignement catholique
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jean_droit
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jean_droit
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Petit annuaire des écoles catholiques
Une piste consiste à voir quelles sont les écoles dirigées ou suivies par la FSSP, ICRSP, IBP etc ...
Au moins on peut penser que l'enseignement n'est pas "pollué".
Voilà une liste :
Au moins on peut penser que l'enseignement n'est pas "pollué".
Voilà une liste :
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jean_droit
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Et les autres écoles
Bonjour à tous,
Bien sûr il n'y a pas que les écoles "de tradition" pour proposer une éducation chrétienne.
Je crois qu'a été cité sur ce forum une école privée où les valeurs chrétiennes étaient prises en compte.
Je propose aux participants de ce forum de lister les écoles catholiques "sous contrat" "chrétiennes" qu'ils connnaissent.
Bien sûr il n'y a pas que les écoles "de tradition" pour proposer une éducation chrétienne.
Je crois qu'a été cité sur ce forum une école privée où les valeurs chrétiennes étaient prises en compte.
Je propose aux participants de ce forum de lister les écoles catholiques "sous contrat" "chrétiennes" qu'ils connnaissent.
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jean_droit
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jean_droit
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Pour préciser ma pensée il faut s'arrêter avec les guéguerres entre les différents courants de l'Eglise.
Il faut être tout à fait conscient de l'état de décrépitude de l'Eglise de France et joindre toutes, je dis bien toutes, nos forces.
Nous n'avons plus le moyens de nous diviser.
L'attitude de certains évêques envers la FSSP ou l'IBP etc ... est préjudiciable à TOUTE l'Eglise de France.
Je suis pour la "paix liturgique".
Il serait temps de voir quels sont nos véritables ennemis.
Il faut être tout à fait conscient de l'état de décrépitude de l'Eglise de France et joindre toutes, je dis bien toutes, nos forces.
Nous n'avons plus le moyens de nous diviser.
L'attitude de certains évêques envers la FSSP ou l'IBP etc ... est préjudiciable à TOUTE l'Eglise de France.
Je suis pour la "paix liturgique".
Il serait temps de voir quels sont nos véritables ennemis.
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jean_droit
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jean_droit
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On voit que certains évêques de France sont en train de faire une drôle d'opération contre la FSSP.
Ceci risque d'avoir pour conséquence que les prêtres FSSP vont, s'ils ne sont pas débauchés, s'expatrier. Cf dernier bulletin de la FSSP France.
Si on ne veut pas, ou si peu, leur donner des responsabilités paroissiales ont pourrait leur suggérer d'ouvrir des écoles ce qui permettrait de protéger nos enfants.
Ceci risque d'avoir pour conséquence que les prêtres FSSP vont, s'ils ne sont pas débauchés, s'expatrier. Cf dernier bulletin de la FSSP France.
Si on ne veut pas, ou si peu, leur donner des responsabilités paroissiales ont pourrait leur suggérer d'ouvrir des écoles ce qui permettrait de protéger nos enfants.
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Jean-Gabriel
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Lycée d'enseignement
Demande de suppression du message
Dernière modification par Jean-Gabriel le ven. 11 juil. 2014, 18:27, modifié 2 fois.
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jean_droit
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La transmission de la foi par l'école en Espagne
Je vous recommande la lecture d'une intervention du cardinal primat d'Espagne Canizares
lue dans le blog de P. de Plunkett.
Les commentaires sont tout autant instructifs.
.............
Extrait :
« Une véritable révolution dans le monde et la société »
« Un cancer ronge l'éducation, comme aussi la société et la culture que reflète souvent l’école. Il consiste à la fois dans un relativisme gnoséologique et moral et dans l’oubli de la vérité de la personne, de la vérité de l’homme, inséparable de Dieu, dans l’oubli de la nature, de ce qui convient à l’homme par le fait qu’il en est un, dans l’oubli de la raison ou dans sa réduction à la raison seule, avec ses pathologies ou, plus concrètement, à la raison scientifico-technique, à la raison practico-instrumentale. On ne peut pas éduquer l'homme, quand, par exemple, on le réduit à une anthropologie dérivée d'une conception de l'homme seulement comme liberté, comme décision, comme subjectivité séparée de la vérité.
Nous devons faire tous nos efforts pour que notre enseignement soit compétent dans tous les aspects techniques, scientifiques, pédagogiques, professionnels. Avec moins de moyens, nous devons être capables d'offrir plus de qualité d'enseignement et plus de rigueur. Mais ceci est insuffisant. Avant tout, nous devons chercher à ce que notre présence soit éminemment évangélisatrice. Evangéliser, c’est humaniser, c’est éduquer ; évangéliser, c’est mener à bien l'œuvre de rénovation de l'humanité avec des hommes et des femmes nouveaux, par la vérité et la nouveauté de l'Evangile ; évangéliser, c’est aider à apprendre l'art de vivre, d'être homme, en conformité avec celui qui est la vérité de l'homme : Jésus-Christ. Pour cela l'école catholique doit évangéliser en instruisant et instruire en évangélisant. Conscient de la noblesse et de la difficulté d'enseigner et d'instruire aujourd'hui, je demande de toutes mes forces et j’encourage de tout mon être tous ceux qui sont engagés dans l'école catholique – parents, professeurs et enseignants, directeurs – à alimenter l’espérance des jeunes et, pour cela, à proposer inséparablement et simultanément l’acquisition d'un savoir le plus vaste et le plus profond possible, et une éducation exigeante et persévérante dans la vérité, dans la véritable liberté humaine, et dans l’introduction à l’idéal le plus élevé et le plus exigeant, qui est Jésus-Christ et son message évangélique. Conduire les élèves à rencontrer la personne du Christ est le mieux que nous puissions offrir dans le domaine de l’éducation, par le moyen de l’enseignement ; pour cette raison, c’est une grande contribution au service de ce qu’est l’école. Une école catholique évangélisatrice est une véritable révolution dans le monde et dans la société ; elle devrait l'être, et elle ne l’est pas, pour le malheur de l'école et pour le malheur de la société. Quand l'école sera véritablement catholique, elle changera le monde. Si plus de vingt pour cent des écoles de notre pays étaient catholiques, cela se refléterait dans une humanité nouvelle, dans une véritable transformation sociale et culturelle. Ceci n’est aucunement du confessionnalisme, ni de la soif de pouvoir.
.............
http://plunkett.hautetfort.com/archive/ ... .html#more
lue dans le blog de P. de Plunkett.
Les commentaires sont tout autant instructifs.
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Extrait :
« Une véritable révolution dans le monde et la société »
« Un cancer ronge l'éducation, comme aussi la société et la culture que reflète souvent l’école. Il consiste à la fois dans un relativisme gnoséologique et moral et dans l’oubli de la vérité de la personne, de la vérité de l’homme, inséparable de Dieu, dans l’oubli de la nature, de ce qui convient à l’homme par le fait qu’il en est un, dans l’oubli de la raison ou dans sa réduction à la raison seule, avec ses pathologies ou, plus concrètement, à la raison scientifico-technique, à la raison practico-instrumentale. On ne peut pas éduquer l'homme, quand, par exemple, on le réduit à une anthropologie dérivée d'une conception de l'homme seulement comme liberté, comme décision, comme subjectivité séparée de la vérité.
Nous devons faire tous nos efforts pour que notre enseignement soit compétent dans tous les aspects techniques, scientifiques, pédagogiques, professionnels. Avec moins de moyens, nous devons être capables d'offrir plus de qualité d'enseignement et plus de rigueur. Mais ceci est insuffisant. Avant tout, nous devons chercher à ce que notre présence soit éminemment évangélisatrice. Evangéliser, c’est humaniser, c’est éduquer ; évangéliser, c’est mener à bien l'œuvre de rénovation de l'humanité avec des hommes et des femmes nouveaux, par la vérité et la nouveauté de l'Evangile ; évangéliser, c’est aider à apprendre l'art de vivre, d'être homme, en conformité avec celui qui est la vérité de l'homme : Jésus-Christ. Pour cela l'école catholique doit évangéliser en instruisant et instruire en évangélisant. Conscient de la noblesse et de la difficulté d'enseigner et d'instruire aujourd'hui, je demande de toutes mes forces et j’encourage de tout mon être tous ceux qui sont engagés dans l'école catholique – parents, professeurs et enseignants, directeurs – à alimenter l’espérance des jeunes et, pour cela, à proposer inséparablement et simultanément l’acquisition d'un savoir le plus vaste et le plus profond possible, et une éducation exigeante et persévérante dans la vérité, dans la véritable liberté humaine, et dans l’introduction à l’idéal le plus élevé et le plus exigeant, qui est Jésus-Christ et son message évangélique. Conduire les élèves à rencontrer la personne du Christ est le mieux que nous puissions offrir dans le domaine de l’éducation, par le moyen de l’enseignement ; pour cette raison, c’est une grande contribution au service de ce qu’est l’école. Une école catholique évangélisatrice est une véritable révolution dans le monde et dans la société ; elle devrait l'être, et elle ne l’est pas, pour le malheur de l'école et pour le malheur de la société. Quand l'école sera véritablement catholique, elle changera le monde. Si plus de vingt pour cent des écoles de notre pays étaient catholiques, cela se refléterait dans une humanité nouvelle, dans une véritable transformation sociale et culturelle. Ceci n’est aucunement du confessionnalisme, ni de la soif de pouvoir.
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Boris
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Re: Et les autres évêques
Je me demande dans quelle mesure la CEF ne devrait pas créer une école privée hors contrat avec possibilité d'ouvrir une ou plusieurs classe dans chaque paroisse qui le demande :jean_droit a écrit :A suivre les nouvelles de l'Eglise au jour le jour j'ai l'impression que l'assemblée des évêques de France a reçu "avec intérêt" le travail de monseigneur Cattenoz.
Cela veut dire avec scepticisme.
Le transmission de la foi me semble être un sujet tabou comme celui de l'Evangélisation qui lui est connexe.
J'espère de tout mon coeur et de toute ma foi me tromper.
- le privé sous contrat est contingenté : 300 classes publiques viennent de fermer en IdF, donc 300 classes sont fermés dans le privé, alors qu'il y 25 000 élèves en liste d'attente.
- le privé sous contrat n'a souvent de catholique que le nom, contrairement au hors contrat dont les écoles sont justement fondées pour palier à un manque de ce coté là et pour contourner la contingence.
- si une telle structure ce met en place, les classes seraient sous la surveillance du curé de la paroisse : veiller au sérieux des professeurs ou répétiteurs, veiller à l'éxécution du catéchisme par ceux qui auront la charge matérielle de la structure locale.
Si l'Etat interdit l'enseignement à la maison (sauf lorsqu'il n'y a qu'une famille par foyer), il trouver la parade.
Nos ancêtres catholiques ont inventé les collèges (allumnats), l'Etat les a récupéré !
Nos ancêtres catholiques ont scolarisé et instruit l'ensemble de la population, l'Etat a renvoyé dans les champs les lycéens dont les parents travaillaient aux champs (cf. révolution de 1789)
Nos ancêtres catholiques ont inventé l'Université, l'Etat interdit au université catholique de porter ce titre (cf. Université Catholique de l'Ouest à Angers)
Il serait temps de réagir contre ce laïcisme et mettre en notre faveur la législation : il est possible aux Evêques de créer des écoles hors-contrat (cf. Mgr Rey).
Il faut donner plus d'ampleur à cela et mettre ainsi en place une structure nationale, interdiocésaine, archidiocésaine (autrement dit métropolite) ou seulement diocésaine permettant ensuite de créer des classes là où la demande en est exprimée.
Néanmoins, cet outils sera ecclésiastique : même s'il sera composé localement de laïcs, il faudra que les curés puissent se porter garant des classes sous leur coupe et faire ainsi le lien avec les Evêques d'une part, et assurer le suivi spirituel d'autre part.
Dans les Yvelines, les écoles privées hors contrat ont un mal fou à obtenir des aumôniers. Pourtant, les familles que l'on retrouve derrière de tels établissement sont également celles que l'on retrouve tous les dimanches et fêtes de précepte à la Messe, aux adorations et voir plus !
Quel établissement privé catholique sous contrat peut faire une pub semblable ?
UdP,
Boris
Boris
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jean_droit
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Re: La transmission de la foi dans l'Enseignement catholique
Bonjour Boris,
D'une part on peut espérer que le document rédigé par monseigneur Catenoz va faire son petit bonhomme de chemin. Si j'ai bien compris c'est le but. On peut essayer de rendre les écoles catholiques ... catholiques. J'avoue être un peu pessimiste.
D'autre part il me semble que nous devrions, collectivement, essayer de promouvoir les écoles catholiques hors contrat.
En en faisant le promotion
En y inscrivant préférentiellement nos enfants
En les aidant. L'aide peut être financière mais, aussi, matérielle.
Enfin , pour ce qui est des aumoniers, il m'a semblé que les prêtres "traditionalistes" "catholiques" pourraient très bien être employés, en liaison avec les paroisses et/ou évêchés, pour cette tâche. J'y vois deux avantages : S'assurer d'une formation catholique authentique et employer ces prêtres dans l'Eglise.
J'avais signalé une site donnant une liste assez exhaustive des écoles hors contrat :
http://www.creer-son-ecole.com/
D'une part on peut espérer que le document rédigé par monseigneur Catenoz va faire son petit bonhomme de chemin. Si j'ai bien compris c'est le but. On peut essayer de rendre les écoles catholiques ... catholiques. J'avoue être un peu pessimiste.
D'autre part il me semble que nous devrions, collectivement, essayer de promouvoir les écoles catholiques hors contrat.
En en faisant le promotion
En y inscrivant préférentiellement nos enfants
En les aidant. L'aide peut être financière mais, aussi, matérielle.
Enfin , pour ce qui est des aumoniers, il m'a semblé que les prêtres "traditionalistes" "catholiques" pourraient très bien être employés, en liaison avec les paroisses et/ou évêchés, pour cette tâche. J'y vois deux avantages : S'assurer d'une formation catholique authentique et employer ces prêtres dans l'Eglise.
J'avais signalé une site donnant une liste assez exhaustive des écoles hors contrat :
http://www.creer-son-ecole.com/
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Boris
- Tribunus plebis
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- Localisation : France - Centre (28)
Re: La transmission de la foi dans l'Enseignement catholique
Je suis entièrement d'accord avec vous, surtout sur le fait d'employer les prêtres "tradis" au service de la catéchèse.
UdP,
Boris
Boris
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jean_droit
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Création de l' Institut Libre de Formation des Maîtres
Ce matin sur Radio Notre Dame il y avait l'interview d'une personne parlant de la formation des maîtres dans l'enseignement catholique et spécialement de la création de l'ILFM ( Institut Libre de Formation des Maîtres ).
..................
D'un site réunionnais ! :
Création d'un Institut libre de formation des maîtres : une alternative à l'Education nationale
Un institut libre de formation des maîtres - ILFM - vient d'être créé et verra le jour en septembre prochain. Cet établissement privé d'enseignement supérieur libre a pour vocation de former les maîtres des écoles maternelles, primaires, et principalement ceux des écoles indépendantes.
L'objectif de l'ILFM est de proposer des formations "donnant toute sa place à la transmission des connaissances et reposant sur des pédagogies éprouvées sans chercher à préparer ses élèves au Diplôme professionnel de professeur des écoles - DPPE". Cet établissement forme également les professeurs à enseigner à leurs élèves les matières fondamentales du primaire tout en suivant une progression rigoureuse dans l'apprentissage des connaissances et des compétences.
Par ailleurs, l'ILFM propose d'une part de la formation initiale et d'autre part des sessions de formation continue. La formation initiale n'est accessible qu'aux élèves-instituteurs ayant réussi l'examen d'entrée. Cette formation débouche sur un diplôme privé dénommé Diplôme de maître d'école - DME. A noter que la formation continue est ouverte à tous.
L'ILFM délivre un enseignement précis et pratique aux instituteurs soucieux de transmettre leur connaissance.
L'Eco austral, n°211, juillet 2007, p. 24
...........
et aussi du même site :
................
Une alternative à l’Éducation nationale
Certains parents recherchent des solutions alternatives à l’Éducation nationale étatique. Il suffit d’aller sur le site Internet www.creer-son-ecole.com pour s’en convaincre... Ce mouvement lance même son propre institut de formation des maîtres.
La Fondation pour l’école(1) ouvre en septembre prochain une école de formation des étudiants se destinant à l’enseignement dans les écoles maternelles et primaires entièrement libres : l’Institut libre de formation des maîtres (ILFM).
Établissement privé d’enseignement supérieur libre, cet institut se donne pour but de former les maîtres des écoles maternelles et primaires, et prioritairement ceux des écoles indépendantes. L’ILFM propose une formation donnant toute sa place à la transmission des connaissances et reposant sur des pédagogies éprouvées, sans chercher à préparer ses élèves au DPPE (Diplôme professionnel de professeur des écoles) que les élèves peuvent passer par ailleurs s’ils le souhaitent. Il forme les professeurs à apprendre à leurs élèves à lire, écrire et compter en suivant une progression rigoureuse dans l’apprentissage des connaissances et des compétences.
L’ILFM propose d’une part une formation initiale et d’autre part des sessions de formation continue. La formation initiale est une formation en alternance sur deux ans. Lors de la deuxième année, l’élève est rémunéré par l’école ou la structure éducative qui l’emploie, tout en continuant à bénéficier de week-ends de fo...
.................
Il m'a semblé que c'était une très bonne idée.
Espérons qu'est vraiment abordé la "transmission de la foi".
..................
D'un site réunionnais ! :
Création d'un Institut libre de formation des maîtres : une alternative à l'Education nationale
Un institut libre de formation des maîtres - ILFM - vient d'être créé et verra le jour en septembre prochain. Cet établissement privé d'enseignement supérieur libre a pour vocation de former les maîtres des écoles maternelles, primaires, et principalement ceux des écoles indépendantes.
L'objectif de l'ILFM est de proposer des formations "donnant toute sa place à la transmission des connaissances et reposant sur des pédagogies éprouvées sans chercher à préparer ses élèves au Diplôme professionnel de professeur des écoles - DPPE". Cet établissement forme également les professeurs à enseigner à leurs élèves les matières fondamentales du primaire tout en suivant une progression rigoureuse dans l'apprentissage des connaissances et des compétences.
Par ailleurs, l'ILFM propose d'une part de la formation initiale et d'autre part des sessions de formation continue. La formation initiale n'est accessible qu'aux élèves-instituteurs ayant réussi l'examen d'entrée. Cette formation débouche sur un diplôme privé dénommé Diplôme de maître d'école - DME. A noter que la formation continue est ouverte à tous.
L'ILFM délivre un enseignement précis et pratique aux instituteurs soucieux de transmettre leur connaissance.
L'Eco austral, n°211, juillet 2007, p. 24
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et aussi du même site :
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Une alternative à l’Éducation nationale
Certains parents recherchent des solutions alternatives à l’Éducation nationale étatique. Il suffit d’aller sur le site Internet www.creer-son-ecole.com pour s’en convaincre... Ce mouvement lance même son propre institut de formation des maîtres.
La Fondation pour l’école(1) ouvre en septembre prochain une école de formation des étudiants se destinant à l’enseignement dans les écoles maternelles et primaires entièrement libres : l’Institut libre de formation des maîtres (ILFM).
Établissement privé d’enseignement supérieur libre, cet institut se donne pour but de former les maîtres des écoles maternelles et primaires, et prioritairement ceux des écoles indépendantes. L’ILFM propose une formation donnant toute sa place à la transmission des connaissances et reposant sur des pédagogies éprouvées, sans chercher à préparer ses élèves au DPPE (Diplôme professionnel de professeur des écoles) que les élèves peuvent passer par ailleurs s’ils le souhaitent. Il forme les professeurs à apprendre à leurs élèves à lire, écrire et compter en suivant une progression rigoureuse dans l’apprentissage des connaissances et des compétences.
L’ILFM propose d’une part une formation initiale et d’autre part des sessions de formation continue. La formation initiale est une formation en alternance sur deux ans. Lors de la deuxième année, l’élève est rémunéré par l’école ou la structure éducative qui l’emploie, tout en continuant à bénéficier de week-ends de fo...
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Il m'a semblé que c'était une très bonne idée.
Espérons qu'est vraiment abordé la "transmission de la foi".
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