Re: La notion de péché et la sexualité
Publié : sam. 18 juil. 2020, 5:15
Bonjour Grégory,
vos interventions me donnent souvent 2 désirs opposés entre lesquels je dois choisir :
l'un de répondre à ce en quoi je m'y sens interpellé, l'autre de vous interpeller.
Le premier ayant été réalisé, je cède maintenant au second :
Hélas, cela joue aussi dans l'autre sens : un aspect noir et profondément ancré de la personnalité de l'autre peut se révéler soudainement et ouvrir un fossé infranchissable.
Concernant le bonheur, cela n'empêche pas la solitude et que chacun doit porter sa croix, qu'il est souvent englouti par le quotidien, mais à postériori sur la durée il finit par transparaître et certains couple en sont de vivants témoins.
Si bien que des jeunes le croient plus ou moins permanent et pouvoir se fonder dessus pour souhaiter cet état de vie. Ce qui est oublier la lente transformation, le combat au fil des jours, etc.
Et là encore, il y a le revers de la médaille : certaines personnes peuvent s'avérer être "incompatibles", et ne pas pouvoir s'en rendre compte avant un long temps de vie commune, ce qui pose des questions. Leur rencontre devient peu à peu "le pire qui a pu leur arriver"!
Parmi les questions que cela pose : cela suppose-il que ces personnes "n'étaient pas de la bonne terre" (parabole du semeur) ? De fait, à vouloir convertir tout le monde, l'Eglise trimbale des membres qui n'en sont pas et veut les sauver. Cahin caha ils se "raccrochent aux branches" mais restent superficiels. Cette réponse ouvre de nouvelles questions et je suis bien obligé de m'arrêter là pour ne pas être trop long...
Chaque crainte identifiée mérite d'en rechercher la cause et le remède...
Et que ce soit au sujet de craintes ou d'autre chose, c'est un travail sans fin...
vos interventions me donnent souvent 2 désirs opposés entre lesquels je dois choisir :
l'un de répondre à ce en quoi je m'y sens interpellé, l'autre de vous interpeller.
Le premier ayant été réalisé, je cède maintenant au second :
et
Vous avez raison, si ces instantanés de bonheur peuvent arriver, ils ne sont pas majoritaires, et la plupart du temps ils sont absents. Mais ils peuvent à eux seuls, aussi rares soient-ils, guérir des blessures et changer la vie.
Hélas, cela joue aussi dans l'autre sens : un aspect noir et profondément ancré de la personnalité de l'autre peut se révéler soudainement et ouvrir un fossé infranchissable.
Concernant le bonheur, cela n'empêche pas la solitude et que chacun doit porter sa croix, qu'il est souvent englouti par le quotidien, mais à postériori sur la durée il finit par transparaître et certains couple en sont de vivants témoins.
Si bien que des jeunes le croient plus ou moins permanent et pouvoir se fonder dessus pour souhaiter cet état de vie. Ce qui est oublier la lente transformation, le combat au fil des jours, etc.
Et là encore, il y a le revers de la médaille : certaines personnes peuvent s'avérer être "incompatibles", et ne pas pouvoir s'en rendre compte avant un long temps de vie commune, ce qui pose des questions. Leur rencontre devient peu à peu "le pire qui a pu leur arriver"!
Parmi les questions que cela pose : cela suppose-il que ces personnes "n'étaient pas de la bonne terre" (parabole du semeur) ? De fait, à vouloir convertir tout le monde, l'Eglise trimbale des membres qui n'en sont pas et veut les sauver. Cahin caha ils se "raccrochent aux branches" mais restent superficiels. Cette réponse ouvre de nouvelles questions et je suis bien obligé de m'arrêter là pour ne pas être trop long...
Ce que vous écrivez montre que vous en êtes quand même conscient, et il serait bon pour vous d'en exprimer davantage la perception, et de ne pas vous arrêter à ce constat
Même démarche : quelles craintes ? Mais vous avez le droit de ne pas répondre... Néanmoins l'obligation morale de chercher à le faire ne serait-ce que pour vous-même et pour progresser. Très souvent on s'arrête à un certain stade de réflexion sans les approfondir, comme si ce stade suffisait pour nous déterminer et nous identifier : et c'est dommage : cela nous empêche de progresser dans la connaissance de soi-même.
Chaque crainte identifiée mérite d'en rechercher la cause et le remède...
Et que ce soit au sujet de craintes ou d'autre chose, c'est un travail sans fin...