Quelle maladresse ? C'est effectivement ce que l'on pourrait penser au vu de la lecture des articles de presse, mais il me semble que le « droit de réponse » de ce professeur rectifie bien les choses.Kerniou a écrit :Dans un contexte de banalisation de la suppression de la vie, masquée par un vocabulaire pseudo-scientifique, où ce prof a raison sur le fond, sa maladresse dans la forme va être utilisée pour le condamner sur le fond.
Sa seule maladresse aura été de s'opposer à la pensée unique autorisée par l'État…