Carolus a écrit : ↑lun. 28 sept. 2020, 13:46
Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ avait-il de fausses interprétations ou de fausses perceptions concernant les intentions de Hérode
Jn 13, 31 À ce moment-là, quelques pharisiens s’approchèrent de Jésus pour lui dire : « Pars, va t’en d’ici : Hérode veut te tuer. »
Ce n’est pas notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ qui parle de ces supposées intentions assassines de Hérode.
Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ ne fait donc pas de « délire paranoïaque de persécution » .
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné !
Je n’ai jamais prétendu le propos que vous me prêtez, j’avais bien écrit : « Si Jésus n’était pas Dieu »
Et tout ce qui précédait, séparé par un espace, n’était qu’une reprise d’une conversation entre Altior et Ademimo pour en établir le rapprochement probant, nullement une démonstration de ce en quoi il avait des délires paranoïaques… !
Maintenant que j’ai compris comment vous fonctionnez :
une chose après l’autre ! Je vais donc me concentrer sur cette question d’Hérode seulement (
on est pas sorti du tunnel ! Venez Esprit Saint…)
D’abord, pour appuyer la citation précédente (omise par Ademimo) de la volonté homicide d’Hérode, quelques autres citations :
Marc 3 :6 Bientôt les Séparés sortirent et se réunirent en conseil avec ceux de la maison d’Hérode, cherchant à le faire périr.
Marc 12 :13 Lors ils lui dépêchèrent des espions, parmi les scribes et de la maison d’Hérode, pour le piéger par un faux-pas, rien qu’un mot.
Mathieu 22:15 Les Séparés tinrent conseil sur la façon de le prendre en défaut par un mot.
16 Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec ceux de la maison d’Hérode et pour lui dire :
Et concernant Jésus lui-même :
Marc 8-15 15 Lui requérait leur attention, leur prescrivant de se garder du levain des Séparés et de celui d’Hérode ;
Bon ce n’est pas du délire mais l’animosité était réciproque. Quant à la citation d’origine, elle indique bien que Jésus assumait d’être la cible d’Hérode.
On a trop tendance à se souvenir des passages où Hérode fait le rapprochement ou non (tantôt c’est lui, tantôt son entourage) entre Jésus et Jean-Baptiste, ou à monter en épingle qu’il voulait voir Jésus « lui montrer des tours », mais ce qui est certain c’est qu’il en avait peur et en était intrigué, qu’il voulait le tuer.
Or il le rencontre, Jésus est à sa merci, et il ne le fait pas tuer mais le renvoie :
Pourquoi ?
Sans doute il en a pitié… (Lui ? Pitié ?)
Pourquoi Carolus, selon vous ?
Moi à vrai dire
je m’en fiche, je ne faisais que donner du sens à la remarque d’Altior… Continuez avec lui le sujet si vous le voulez. Cette histoire n’a rien à voir avec ce qui m’a fait argumenter que Jésus pouvait être pris pour un fou (pour faire court) par qui ne retenait pas la possibilité qu’il soit Dieu.
Je tiens juste à ce que vous ne me prêtiez pas un argument et un avis qui ne sont pas les miens !
Or ses contemporains ne savaient pas ce que nous savons et qu’il ne disait qu’à ses disciples… ! A plus forte raison qu’il ressusciterait ! D’ailleurs, ils…
STOP : c’est le sujet que moi je voulais traiter (du moins la positon/vérité que je voulais exposer) et que je dois sacrifier !
Quant à prouver que Jésus s'il n 'était pas Dieu, fou ne l'était pas, ce serait facile et plus efficace de le faire autrement, en montrant de lui une attitude qui a contrario n'est pas propre mais impossible de la part d'un skizo parano... (
je n'ai pas pu m'en empêcher..pitié Seigneur !)