Appel, pas appel ?

« Dieu nous a sauvés, et il nous a donné une vocation sainte » (2Tm 1.9)
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Quitterie
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Appel, pas appel ?

Message non lu par Quitterie » dim. 19 mars 2023, 1:48

Chers tous,

Je vous écris car cela fait un moment que je songe à entrer dans les ordres. Je n'ai pas eu d'appel "soudain" mais chaque jour qui passe me conforte dans l'idée de devenir religieuse, que l'ordination est ce qu'il me faut, que c'est dans cette vie que je m'épanouirais le plus et que j'aiderais le plus (par la prière seulement car je songe à une vie de contemplative). Sur ce dernier point d'ailleurs, une question : je suis convaincue du choix contemplatif au cas où je deviendrais religieuse et n'envisage en aucun cas une autre forme d'ordination ; cette radicalité dans le choix est-elle normale ou est-ce un caprice inconscient ? Une autre question me fait douter : le fait de ne pas avoir eu d'appel soudain. Je suis persuadée que cette vie me conviendrait, j'ai déjà réfléchi à tout ce que cela impliquait de renoncement dans la vie "ordinaire" (pas de mariage, de famille, un détachement vis-à-vis de mes proches, etc.) et je pense que cela est moindre en comparaison à ce que je gagnerais en devenant religieuse, sachant que je maintiendrais un contact avec mes proches par la prière (en un sens seulement, puisque ma famille n'est pas croyante, par exemple). Une dernière question encore m'empêche d'y voir clair : la vie "ordinaire" au milieu du monde ne me rebute absolument pas et je suis également "d'accord" pour m'y consacrer si la vocation ne me veut pas. Seulement, je préfèrerais l'ordination. En somme, je me laisse un peu porter par ce que l'on veut de moi, je suis attentive à un éventuel appel (que je pense ne pas avoir reçu, à moins que ce soit un appel sur la durée ?) et prête à accepter le fait de ne jamais être appelée ( :( ). Sauf que cette période d'attente et de ballottement commence à être longue... je ne me plains pas, je n'oserais pas, et j'attendrais dix ans encore s'il le faut mais je crains d'être ainsi partie pour me demander à chaque minute de ma vie "quand est-ce que je serais appelée ?".

Je sais que certains me suggérerons une retraite dans un Carmel (j'en ai moi-même eu l'idée et l'envie :) ) mais ce projet n'est pas réalisable du fait même de l'athéisme de ma famille qui n'y comprendrait rien et regarderait cela d'un assez mauvais œil.

Pensez-vous qu'intégrer un Tiers-Ordre soit la solution, l'entre-deux idéal ? Ou devrais-je en parler à une religieuse ? Enfin, si certains ont déjà connu cette situation, je suis preneuse de témoignage !

Merci d'avance à tous ceux qui répondront et bonne soirée !

Ombiace
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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Ombiace » dim. 19 mars 2023, 3:15

Bonjour Quitterie,
Je ne sais pas si je suis bien placé pour parler de vocation, mais à défaut de réponse, voici un ou deux éléments qui pourraient peut-être se révéler à prendre en compte.
S'agissant de prêtre ou de moine, je crois savoir que l'Eglise veille à ce qu'ils soient allés assez loin en étude, probablement (supposition de ma part) pour ne pas laisser un lien de dépendance s'installer entre le prétendant et Elle. Pour des femmes, j'ignore si le critère est à remplir avec la même rigueur, la "sacro-sainte" parité laïque qui a du bon dans la société n'étant peut-être pas une fin en soi pour l'élévation spirituelle dans l'Eglise. (Même moi, qui suis attaché au statut des femmes m'interroge sur le bien fondé pour l'Eglise d'adopter cette mentalité du monde).

Ensuite, je dirais que la vie peine à se trouver un avenir pour la jeunesse, et que peut-être les ordres constituent une sorte de "refuge" dans lequel il serait moins anxiogène d'évoluer.
Je ne dis pas que ce refuge serait une fuite (à réprouver, donc); car il me semble que le bonheur de l'insouciance est celui auquel le Seigneur nous appelle, et pour moi, il ne serait pas honteux, ni démissionnaire de chercher après ce confort. C'est aussi la Bonne Nouvelle de l'Evangile..
Ce n'est pas parce qu'une option est confortable, contrairement à ce qu'on pense parfois, et qu'elle constitue un "joug facile à porter", qu'elle serait déméritoire.
Quelque part au contraire, ce confort est peut-être ce que nous offre le Seigneur.
Ce ne serait donc pas à dédaigner..
Là où je ne peux vous accompagner, c'est ce vers quoi votre expérience de la vie vous portera : Il est tout de même question de "porter une croix".
A vous de voir, donc, si vous estimez que votre manière de la porter ne peut pas être de continuer à chercher un chemin pour la vie (mariage, par ex), justement parce que c'est particulièrement aléatoire de nos jours; ou si au contraire vous vous sentiriez plus de talents (de fécondité ?) pour la vie monastique

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Quitterie
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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Quitterie » dim. 19 mars 2023, 3:48

Ombiace a écrit :
dim. 19 mars 2023, 3:15
Bonjour Quitterie,
Je ne sais pas si je suis bien placé pour parler de vocation, mais à défaut de réponse, voici un ou deux éléments qui pourraient peut-être se révéler à prendre en compte.
S'agissant de prêtre ou de moine, je crois savoir que l'Eglise veille à ce qu'ils soient allé assez loin en étude, probablement (supposition de ma part) pour ne pas laisser un lien de dépendance s'installer entre le prétendant et Elle. Pour des femmes, j'ignore si le critère est à remplir avec la même rigueur, la "sacro-sainte" parité laïque qui a du bon dans la société n'étant peut-être pas une fin en soi pour l'élévation spirituelle dans l'Eglise. (Même moi, qui suis attaché au statut des femmes m'interroge sur le bien fondé pour l'Eglise d'adopter cette mentalité du monde).

Ensuite, je dirais que la vie peine à se trouver un avenir pour la jeunesse, et que peut-être les ordres constituent une sorte de "refuge" dans lequel il serait moins anxiogène d'évoluer.
Je ne dis pas que ce refuge serait une fuite (à réprouver, donc); car il me semble que le bonheur de l'insouciance est celui auquel le Seigneur nous appelle, et pour moi, il ne serait pas honteux, ni démissionnaire de chercher après ce confort. C'est aussi la Bonne Nouvelle de l'Evangile..
Ce n'est pas parce qu'une option est confortable, contrairement à ce qu'on pense parfois, et qu'elle constitue un "joug facile à porter", qu'elle serait déméritoire.
Quelque part au contraire, ce confort est peut-être ce que nous offre le Seigneur.
Ce ne serait donc pas à dédaigner..
Là où je ne peux vous accompagner, c'est ce vers quoi votre expérience de la vie vous portera : Il est tout de même question de "porter une croix".
A vous de voir, donc, si vous estimez que votre manière de la porter ne peut pas être de continuer à chercher un chemin pour la vie (mariage, par ex), justement parce que c'est particulièrement aléatoire de nos jours; ou si au contraire vous vous sentiriez plus de talents (de fécondité ?) pour la vie monastique
Merci de votre réponse, Ombiace !
Je ne considère pas ma vie comme anxiogène et je n'ai pas peur de la poursuivre, d'ailleurs je continue mes études et compte les terminer quoi qu'il arrive. Je vois moins l'ordre comme un "refuge" où je fuirais quelque chose que comme un espace où je me sentirais pleinement "connectée", donc où je pourrais pleinement m'ouvrir. Vos derniers mots résument bien le dilemme dans lequel je me trouve : puisque cela fait longtemps que j'attends et que je n'arrive pas à "basculer", c'est peut-être que ma croix est de chercher ce que vous appelez un chemin pour la vie (et je suis prête à pleinement m'y consacrer si telle est vraiment ma croix). D'un autre côté, je suis sûre que la vie monastique répondrait à ce que je cherche. Le problème est donc de savoir quelle est ma croix, et là je me rends bien compte que c'est une affaire personnelle mais je cherche seulement des témoignages, des conseils qui m'aideraient un peu à avancer... à moins que ma croix soit cette éternelle hésitation :cry:

En réalité ma question pourrait être formulée ainsi : l'appel vient-il comme un "déclic" ou peut-il être le fruit d'un long discernement ?

Ombiace
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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Ombiace » dim. 19 mars 2023, 4:56

Quitterie a écrit :
dim. 19 mars 2023, 3:48
Merci de votre réponse, Ombiace !
Avec joie, Quitterie
Quitterie a écrit :
dim. 19 mars 2023, 3:48
Je vois moins l'ordre comme un "refuge" où je fuirais quelque chose que comme un espace où je me sentirais pleinement "connectée", donc où je pourrais pleinement m'ouvrir
Je vois que vous avez déjà bien mûri votre réflexion.
Je me suis déjà senti envieux des personnes engagées dans les ordres, mais c'est probablement aussi méconnaître cette situation. Car je ne sais pas si la connexion avec le registre spirituel n'est pas autant de déconnexion de ce que j'appellerais l'incarnation.. (cette partie qui relève du travail avec la matière; par exemple, une production agricole artisanale, assez commun dans les ordres, même contemplatifs, je crois).

Pour moi, je me sens le devoir de témoigner que cette partie que j'associe à l'incarnation et aussi au "devoir d'état" est devenu une passion au fil du temps. Et votre interrogation me renvoie à la mienne en "miroir inversé". Il se trouve en effet que mes contemplations, associées à ma foi m'ont porté jusque dans mon activité en mécanique, de manière intense et passionnante. Et passionnante à tel point qu'il m'est à présent moins aisé de retourner à ma tendance contemplative, tant il est enrichissant d'élaborer dans le domaine mécanique, et tant la déconnection est à mener aussi bien dans le sens du domaine religieux vers celui de la mécanique que dans son sens contraire.

Il y a quelques années, je n'aurais jamais soupçonné pouvoir m'absorber à ce point dans une activité que le retour à la chose contemplative me soit une frustration, même si dans le sens inverse, ç'en est une également..
Cette passion de la mécanique, inspirée par la religion me semble parfois coupable, pour la déconnection qu'elle provoque d'avec sa source religieuse. Voilà entre quelles activités j'incline donc, tantôt intellectuelles, avec ma tête, tantôt spirituelles avec le cœur.
Ceci pour vous dire que ce développement dans le domaine non-contemplatif était imprévisible quelques années auparavant, et qu'avoir été engagé en religion ne m' aurait probablement(?) pas permis cet épanouissement.

Voilà donc la finalité de mon témoignage.

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Quitterie » dim. 19 mars 2023, 6:37

Ombiace a écrit :
dim. 19 mars 2023, 4:56

Pour moi, je me sens le devoir de témoigner que cette partie que j'associe à l'incarnation et aussi au "devoir d'état" est devenu une passion au fil du temps. Et votre interrogation me renvoie à la mienne en "miroir inversé". Il se trouve en effet que mes contemplations, associées à ma foi m'ont porté jusque dans mon activité en mécanique, de manière intense et passionnante. Et passionnante à tel point qu'il m'est à présent moins aisé de retourner à ma tendance contemplative, tant il est enrichissant d'élaborer dans le domaine mécanique, et tant la déconnection est à mener aussi bien dans le sens du domaine religieux vers celui de la mécanique que dans son sens contraire.

Il y a quelques années, je n'aurais jamais soupçonné pouvoir m'absorber à ce point dans une activité que le retour à la chose contemplative me soit une frustration, même si dans le sens inverse, ç'en est une également..
Eh bien je crois que nous sommes vraiment des miroirs inversés puisque tout ce que je fais de "mécanique" (bon, musique et peinture pour ma part, parfois un peu de jardinage) me pousse plutôt à la "contemplation"... tout en général m'y pousse, non pas que j'aime moins le matériel mais ce que je fais de matériel finit toujours par me paraître tellement pauvre et dénué de force à côté du reste, du moins s'il ne lui est pas directement lié. Tout finit toujours par converger vers un même point, inconsciemment parfois, je m'interromps et me dis "à quoi bon si ce n'est pas pour ça que je le fais ?". C'est en partie pour ça que je me pose des questions sur une entrée dans les ordres : si tout ce que j'entreprends finit par se dévitaliser, ne vaudrait-il pas mieux que j'entreprenne dans une toute autre perspective ? J'ai un peu l'impression de toujours vouloir attraper quelque chose qui se dérobe, c'est cette espèce de "course-poursuite" qui me turlupine.

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Ombiace » dim. 19 mars 2023, 6:46

Je vous réponds en Message Privé. Cela me devient personnel et puis, cela laisse la place vacante pour d'autres vous répondre

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Quitterie » dim. 19 mars 2023, 7:09

Entendu, merci !

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Foxy » dim. 19 mars 2023, 10:58

Bonjour Quitterie

Dans chaque diocèse, il y a un service des vocations : je pense qu'il serait préférable de vous en rapprocher, vous y seriez conseillée.

Bon dimanche.
La foi que j’aime le mieux,dit Dieu,c’est l’Espérance.
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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Quitterie » dim. 19 mars 2023, 13:29

Foxy a écrit :
dim. 19 mars 2023, 10:58
Bonjour Quitterie

Dans chaque diocèse, il y a un service des vocations : je pense qu'il serait préférable de vous en rapprocher, vous y seriez conseillée.

Bon dimanche.
Foxy,

Merci de votre réponse, je penserai à m'y rendre ! Je cherche aussi des témoignages, s'il y en a.

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Kerniou » lun. 20 mars 2023, 12:31

Ce qui compte, c'est l'APPEL auquel vous répondez !
" Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu , car Dieu est Amour " I Jean 4,7.

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Quitterie » lun. 20 mars 2023, 23:25

Kerniou a écrit :
lun. 20 mars 2023, 12:31
Ce qui compte, c'est l'APPEL auquel vous répondez !
Toute la question est de savoir si je l'ai reçu ou non... ! Mais j'ai bien lu votre message privé et vous en remercie grandement !

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Marie2964 » mar. 21 mars 2023, 9:30

Bonjour Quitterie,

Je ne vais pas pouvoir-hélas- répondre à votre question mais je suis votre discussion avec beaucoup d'intérêt.

En vérité, je poserais même la question de ce que l'on entend par "appel".

Les personnes ayant reçu ce fameux "appel" à la vocation sacerdotales ou religieuse peuvent-elles essayer de nous décrire comment elles ont perçu, ressenti ou mûri? Y'a-t-il eu un élément déclencheur ou cela a-t-il été le fruit d'une "simple" réflexion? J'anticipe déjà les réactions: je me doute bien qu'il y a forcément eu "mûre réflexion". Je vais donc préciser mon questionnement: qu'est-ce qui vous a décidé à "passer le cap" ?

Merci d'avance et peut-être cela aidera-t-il Quitterie ? Merci pour elle en tout cas! ;)

Bonne journée.

Marie.

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Foxy » mar. 21 mars 2023, 11:58

Bonjour

C'est justement pour cela (distinguer s'il y a appel ou pas) que j'ai conseillé à Quitterie de se rapprocher du service des vocations du diocèse.

Avec le prêtre qui en est responsable et les autres dans le même cas que vous, il y a réflexion en groupe et en privé.
La foi que j’aime le mieux,dit Dieu,c’est l’Espérance.
Charles Péguy

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Marie2964 » mar. 21 mars 2023, 12:10

Foxy a écrit :
mar. 21 mars 2023, 11:58
Bonjour

C'est justement pour cela (distinguer s'il y a appel ou pas) que j'ai conseillé à Quitterie de se rapprocher du service des vocations du diocèse.

Avec le prêtre qui en est responsable et les autres dans le même cas que vous, il y a réflexion en groupe et en privé.
Bonjour Foxy,

Je comprends bien sûr, c'est simplement qu'il aurait été "sympa" et intéressant d'avoir quelques témoignages... ;)

Bonne journée.

Marie.

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Re: Appel, pas appel ?

Message non lu par Foxy » mar. 21 mars 2023, 23:10

Vous pouvez toujours vous inspirer du fil de notre diacre :

https://www.cite-catholique.org/viewtop ... 87&t=45320
La foi que j’aime le mieux,dit Dieu,c’est l’Espérance.
Charles Péguy

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