Le verset 27-28 concernent l'édification de l'assemblé, donc dans ce cadre, s'il n'y a pas un interprète cela ne sert à rien de parler en langue car personne ne va rien comprendre.gerardh a écrit :Sur la deuxième partie de votre message je crois que nous sommes d'accord, au-delà peut-être d'une question de formulation. Je pense en effet que si quelqu'un en venait à parler en langues, il faudrait nécessairement à la suite qu'un autre interprète. Cela ne résulte pas seulement de 1 Cor 14, 5 mais de tout le chapitre, notamment les versets 27-28 qui spécifient la nécessité d'un interprète.
Mais hors de ce cadre cela n'est pas une obligation absolue puisque le verset 14.2 dit
"En effet, celui qui parle en langue ne parle pas aux hommes, mais à Dieu, car personne ne le comprend, et c'est en esprit qu'il dit des mystères." Si je parle à Dieu en langue Dieu n'a pas besoin d'un interprète.
Le prêtre je pense que oui. Il avait vraiment de grands dons de Dieu.Dans la messe charismatique à laquelle vous avez assistée, il y avait-il des interprètes traduisant ce qui se voulait être exprimé en langues ?
Je ne lis pas la même chose que vous car le don de prophète d'après ce passage est supérieur au don de parler en langue sauf si celui qui parle en langue est en mesure d'interpréter car il est dit "à moins que ce dernier n'interprète,". Mais bon je ne pense pas que ce soit si important de savoir ce qui est supérieur.Quant au don de prophète, qui est supérieur en effet au don des langues, il est fait afin de parler aux hommes pour l'édification; et l'exhortation et la consolation [ou l'encouragement] (verset 3).
C'est à dire??? Vous voulez que je vous dresse une liste avec des noms et leur cv??? Enfin c'est quoi votre question car je ne comprends pas trop là!On ne peut pas faire tout cela en parlant en langues. A propos, où sont les personnes de l'Eglise catholique ayant reçu de Dieu (et non pas des hommes), le don de prophète ?
Fraternellement.