J'ai une question concernant l'abstinence qui aujourd'hui me laisse toujours assez perplexe.
J'ai trouvé un ouvrage sur Internet, qui d'ailleurs m'a aidé à me renseigner et à combattre mes tentations de luxure (d'ailleurs le lien: https://pour-reflechir.blogspot.com/201 ... e.html?m=1 ) mais dans ce même ouvrage j'ai remarqué des explications assez objectivement ambigues dans passage que voici:
Les terme "cessation de tentation" et "allègement de la nature" me posent une colle...tentation de quoi? De quelle "nature" il est question? Est-ce qu'il faut prendre les termes cités dans un contexte autre que la luxure? Parce que sinon on pourrait interpréter que c'est autorisé de se "soulager" tant que c'est pour calmer des pulsions, mais de ce que je sais ce n'est pas le cas car l'esprit doit dominer sur la chair.En vérité, n’est pas mortelle, la pollution qui se produit contre l’intention, même pour des causes mortellement interdites dans un autre genre que celui de la luxure, par exemple, l’ébriété ou par l’usage de nourriture ou de boisson par trop immodéré ; si, cependant, on ne prévoyait pas qu’une pollution s’en suivrait. Il est permis de se réjouir de l’effet positif d’une pollution, par exemple pour la santé, ou pour la cessation d’une tentation. Ainsi, S. Thomas, qui dit cela : « Si la pollution est plaisante en tant que soulagement et allègement de la nature, le péché n’est pas tenu pour établi.
Ainsi j'ai besoin de vos avis sur cela et je vous remercie par avance!