Bonjour Anonymous34,
Les chances pour que vous n'ayez "rien", honnêtement, me semblent faibles.
Pour être plus détaillé, quand j'allais mal, je croyais que les chansons étaient tournés vers moi, qu'elles " se moquaient " de moi
et même, que j'étais coupable d'un incendie... ( alors que pas du tout)
J'étais très centré vers moi, égocentrique, mais je pense que c'était dû à ma grande détresse morale. Et c'est ainsi
que j'ai " décompensé ", eu assez probablement des bouffées délirantes. Mais ce serait long pour tout expliquer dans
les détails.
Sinon, pour les psys, ce serait bien que vous vous sentiez en confiance avec eux. Certes, ils peuvent se tromper.
Certes, ce ne sont pas des dieux. Mais " vider votre sac ", ne serait-ce que ça, pourrait déjà vous faire du bien.
Et si vous êtes méfiant, il n'y a pas grand chose à craindre, je crois. L'hospitalisation forcée par exemple est rare.
En général, on demande l'avis du patient. Quant au diagnostic... Je pense exactement comme vous !
Mettre dans une case, c'est réducteur. Mais on peut toujours cependant, parfois se faire une idée, et voir si le diag qu'on a
reçu nous ressemble un peu, si on s'y retrouve. Après libre à vous, d'être d'accord ou pas.
Sinon pour le travail, je ne saurai vraiment pas vous aiguiller.
Une très bonne journée.
L'amour n'a rien d'irrationnel ; il est la raison suprême, le rationalisme à son paroxysme.