Peut-être, je ne l exclus pas
Toute la nuance qui nous fait entendre les choses différemment réside probablement dans l appartenance de ces sandales à notre Sauveur, je suppose. Eussent elles appartenu à n importe qu'elle créature que mon raisonnement ne vous eut peut-être pas semblé aussi infondé.
Car, si nous faisons abstraction du propriétaire des sandales, nous restons avec.. des sandales ,donc.. qu'un homme, un prophète, se sent indigne de délier..
Je vous présente les choses autrement: Pensez-vous que Jésus soit attaché à ce que son prophète précurseur ressente de l' indignité à lui délier ses courroies de sandales? (Ça a certainement l air très humain comme considération, mais quand même..). Ou encore : Est ce que l indignité (peut être une honte?) qu éprouve Jean Bastiste apporte quelque chose au christianisme ?