C'est seulement au court de l'analyse poussée que ca va se préciser.
Celui qui ne croit absolument rien, ni p ni non p, est agnostique.
Ca inclut celui qui ne croit pas en Dieu et qui aussi ne croit pas à son inexistence.
L'existence d'un dieu déiste en philo, j'en doute, je peux me tromper bien sûr.
Plus on se place au point de vue exclusif de la foi surnaturelle plus vous avez raison. Mais certains types de déismes (comme chez Washington ou peut être Jefferson) IL semble y avoir une place pour la prière p.ex.m et là on a une parente avec une part du xtianisme. Sans compter que ca peut être une 1ere étape.
Je ne suis pas d'accord sur ce point.
Pour moi, si la foi est libre, elle implique un choix. La raison profonde est que son contenu n'est pas évident comme 1=1, donc l'intellect ne peut contraindre la vonlonté. Foi=confiance, comme croire la parole d'un ami. Notre liberté peut toujours librement suspendre son assentiment.
Cela dit, peut être que ma formulation EST un choix, manquait de nuance. Disons qu'elle est une adhésion de l'intelligence mue par un choix libre, bien que incliné par des raisons.
je ne suis pas sur de vous suivre.
Le pari de pascal fait intervenir la raison pratique (il faut trouver et chercher le souverain bien ou bonheur) dans un problème de raison théorique (Dieu existe t il), dans un contexte de 2 personnes de culture xtienne. Dans un tel contexte les 2, sans preuve de Dieu, ont déjà des elements de probabilités. Et là seulement on se place au point de vue des avantages , i.e.la vérité théorique n'est pas le seul avantage à considérer, on peut prendre le risque d'une "erreur" possible plus payante.
La religion relève davantage de la pratique que de la théorie.