A votre guise, mais je me réserve le droit de réagir aux affirmations qui suscitent une réaction de ma part.
Je pense que notre désaccord émane de la définition que nous portons au mot "intérêt". Quand vous affirmez que le simple fait de vouloir dire la vérité est source d’intérêt, je suis d'accord avec vous. Si on s'en tient à ça alors oui les Athées ont un intérêt: défendre se qu'ils pensent être la vérité. Mais comme je vous l'ai déjà explosé, le comportement intéressé lui est intrinsèquement égoïste, il est de différente nature. C'est de ce comportement que je parle quand j'affirme que la croyance des athées n'est pas comme ça contrairement à la votre qui soulage une détresse interne. J'ai déjà vu des croyants essayer de faire passer l'athée pour celui qui avait un intérêt personnel à croire qu'il n'y a pas de Dieu, mais c'est oublier toutes les promesses merveilleuses du christianisme. L'athéisme ne promet rien, si ce n'est la vérité, comme tout système de croyance.
Ah bon, lesquels? Je peux avoir un avant gout ou je dois rester sur ma faim?
@trinité, je respecte la foi par la confiance seule, car elle est consciente de sa fragilité et l'assume, c'est la forme la plus juste de foi selon moi. Quant au reste, la croyance est une chose fascinante qui fait faire des choses extrêmes. La secte du temple solaire avait bien des adeptes qui se sont immolés d'eux-mêmes, d'autres suicidés de divers manières, et c'est loin d'être un cas isolé. Donc des apôtres jetés aux lions ça ne m'étonne pas plus que ça.
Vous citez le Catéchisme pour confirmer la résurrection. Donc pour résumer, vous citez la croyance pour justifier la croyance. Ça s'appelle un argument circulaire, c'est bien entendu un sophisme.Carolus a écrit : ↑sam. 18 janv. 2020, 14:52La Résurrection du Christ est quelque chose jusqu’ici sans pareil.CEC 648 La Résurrection du Christ est objet de foi en tant qu’elle est une intervention transcendante de Dieu lui-même dans la création et dans l’histoire.
La Résurrection du Christ ne se laisse donc pas répliquer dans un laboratoire, car « elle est une intervention transcendante de Dieu lui-même dans la création et dans l’histoire » (CEC 648).