Apologétique souvent plus importante que l'évangile
Publié : jeu. 14 mars 2019, 1:42
Et a fortiori, infiniment plus que l'oecuménisme.
En théorie, pour la véritable vertu théologale de foi, une grâce, certes nul ne peut contester l'importance de l'écriture.
Mais le point c'est que la vertu théologale est un point d'arrivée concernant une minorité de baptisés, voire de pratiquants. La majorité sont en zone grise, il y a des doutes, beaucoup sont à un doigt de quitter ou aller vers une sorte d'indifférence agnostique. Souvent ils chambranlent devant les objections des mondains, bien ou mal intentionnés.
Bref ils sont encore un peu en deca, sur le chemin, en terrain quasi philosophique plus que religieux. C'est là exactement, par dessus tout, qu'intervient l'apologétique, non pour donner la foi, mais pour écarter les obstacles et nourrir une croyance philosophique, qui est un des préambules de la foi.
Bref l'apologétique est cruciale car la grosse masse en est encore aux préambules, et souvent y reste.
Voilà pourquoi il n'y a pas de pire erreur pastorale que d'éliminer l'apologétique défensive ou de la faire passer après l'oecuménisme.
En théorie, pour la véritable vertu théologale de foi, une grâce, certes nul ne peut contester l'importance de l'écriture.
Mais le point c'est que la vertu théologale est un point d'arrivée concernant une minorité de baptisés, voire de pratiquants. La majorité sont en zone grise, il y a des doutes, beaucoup sont à un doigt de quitter ou aller vers une sorte d'indifférence agnostique. Souvent ils chambranlent devant les objections des mondains, bien ou mal intentionnés.
Bref ils sont encore un peu en deca, sur le chemin, en terrain quasi philosophique plus que religieux. C'est là exactement, par dessus tout, qu'intervient l'apologétique, non pour donner la foi, mais pour écarter les obstacles et nourrir une croyance philosophique, qui est un des préambules de la foi.
Bref l'apologétique est cruciale car la grosse masse en est encore aux préambules, et souvent y reste.
Voilà pourquoi il n'y a pas de pire erreur pastorale que d'éliminer l'apologétique défensive ou de la faire passer après l'oecuménisme.