par Cinci » mer. 30 juin 2021, 15:56
Ephraim :
Mais à ce moment je ne voit pas le rapport avec "les tradis" et ce regrettable incident aurait pu avoir lieu dans n'importe quel autre église, mosquée ou Mairie!
C'est comme je faisais remarquer plus haut, si rapport il y avait à établir, mais il faudrait que ce le soit par un biais comme celui de la misogynie plus répandue parmi les tradis; la misogynie ou une détestation particulière et acquise envers les bonnes dames impliquées dans les paroisses régulières.
C'est un grand classique que ces chères dames seraient de détestables nuisances, comme le genre à faire exprès pour ne pas mettre de l'eau dans le bénitier, à manipuler volontier les saintes espèces, à ne jamais se confesser elles-mêmes, à nuire aux enfants au catéchisme, à soupirer ostensiblement lors de la messe si le curé n'expédie pas l'office assez vite, etc. Puis «Femmes, soyez soumises à vos maris ...» (Soupir ! ... et alors bruit dérangeant de papier froissé, de sac dans lequel on fouille, de meuble remué, de chaise ...)
Ce que je dis ici c'est le genre de propos qu'on trouverait souvent véhiculés sur des forums de catholiques tradis (*). Donc, on supposerait facilement que des sympatisants de la mouvance pourraient se présenter déjà imprégnés d'une bonne charge de préjugés négatifs envers les intéressées, quelque peu animés d'une envie de remettre à leur place à la première occasion ces détestables auxiliaires de l'ordre conciliaire frelaté.
Autrement, c'est bien certain que des événements disgracieux ou même violents peuvent se produire partout et sans qu'il faille mettre en cause pour cela la conservation catholique de droite.
Mais si j'essais de comprendre la démarche qui accompagne l'ouverture de ce fil : je trouverais une suggestion à l'effet que le milieu traditionnaliste serait propice à nourrir une sorte de réclamation du pouvoir mâle. «Casses-toi, Germaine !» ; «Tu te tais et tu vas faire ce que je dis.»
On devinerait facilement l'intolérable de la situation pour les "élus", Germaine rappliquant pour forcer des hommes libres à se soumettre aux lois iniques d'un gouvernement de francs-maçons, et encore pire au moment d'une noce et quand il aura fallu se taper des mois d'enfermements exécrables au préalable. «Grrrr !» Comprenez encore qu'il n'existerait pas une grande volonté de collaborer chez les tradis; de s'imposer plutôt, non pas de collaborer.
(*) Encore que, pour ce genre d'anecdotes, il me sera arrivé aussi d'en devoir vivre certaines.
[quote]Ephraim :
Mais à ce moment je ne voit pas le rapport avec "les tradis" et ce regrettable incident aurait pu avoir lieu dans n'importe quel autre église, mosquée ou Mairie! [/quote]
C'est comme je faisais remarquer plus haut, si rapport il y avait à établir, mais il faudrait que ce le soit par un biais comme celui de la misogynie plus répandue parmi les tradis; la misogynie ou une détestation particulière et acquise envers les bonnes dames impliquées dans les paroisses régulières.
C'est un grand classique que ces chères dames seraient de détestables nuisances, comme le genre à faire exprès pour ne pas mettre de l'eau dans le bénitier, à manipuler volontier les saintes espèces, à ne jamais se confesser elles-mêmes, à nuire aux enfants au catéchisme, à soupirer ostensiblement lors de la messe si le curé n'expédie pas l'office assez vite, etc. Puis «Femmes, soyez soumises à vos maris ...» (Soupir ! ... et alors bruit dérangeant de papier froissé, de sac dans lequel on fouille, de meuble remué, de chaise ...)
Ce que je dis ici c'est le genre de propos qu'on trouverait souvent véhiculés sur des forums de catholiques tradis (*). Donc, on supposerait facilement que des sympatisants de la mouvance pourraient se présenter déjà imprégnés d'une bonne charge de préjugés négatifs envers les intéressées, quelque peu animés d'une envie de remettre à leur place à la première occasion ces détestables auxiliaires de l'ordre conciliaire frelaté.
Autrement, c'est bien certain que des événements disgracieux ou même violents peuvent se produire partout et sans qu'il faille mettre en cause pour cela la conservation catholique de droite.
Mais si j'essais de comprendre la démarche qui accompagne l'ouverture de ce fil : je trouverais une suggestion à l'effet que le milieu traditionnaliste serait propice à nourrir une sorte de réclamation du pouvoir mâle. «Casses-toi, Germaine !» ; «Tu te tais et tu vas faire ce que je dis.»
On devinerait facilement l'intolérable de la situation pour les "élus", Germaine rappliquant pour forcer des hommes libres à se soumettre aux lois iniques d'un gouvernement de francs-maçons, et encore pire au moment d'une noce et quand il aura fallu se taper des mois d'enfermements exécrables au préalable. «Grrrr !» Comprenez encore qu'il n'existerait pas une grande volonté de collaborer chez les tradis; de s'imposer plutôt, non pas de collaborer.
(*) Encore que, pour ce genre d'anecdotes, il me sera arrivé aussi d'en devoir vivre certaines.