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Eviter le scandale et les dommages collatéraux
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Relecture du sujet : Eviter le scandale et les dommages collatéraux
Eviter le scandale et les dommages collatéraux
Citation ChristianK
par
ChristianK
» mer. 15 févr. 2023, 2:22
Plus je lis de textes préconciliaires plus je vois que l'évitement du scandale y joue un rôle central, jugé une part de la charité. On pensait que tout péché public d'homme d'église pouvait ébranler la foi des fidèles et que celle ci devait être à bon droit protégée. Donc les manquements d'hommes d'église devaient se traiter discrètement. Point justifié. On ne voyait pas bien les effets secondaires découlant du fait que la discrétion impliquait une insuffisance des sanctions (réputation) et donc une perception de relative impunité chez les coupables. Il y eu donc parfois abus de la fonction sacerdotale elle-même, gravissime.
Au fond la crainte du scandale a fini par entrainer un scandale encore plus grand. Pourtant le principe lui-même était valide, et on pourrait dire en le réappliquant de nos jours, que la crainte du scandale implique la vigoureuse action punitive publique du droit canon avec recours au droit civil. Bref une crainte du scandale mieux appliquée.
Peut être ne peut on pas blâmer le passé car effectivement à l'époque on ne dénonçait pas publiquement et donc il était vrai que régler les choses dans la discrétion évitait effectivement un scandale plus grand. Les moeurs changent.
Plus je lis de textes préconciliaires plus je vois que l'évitement du scandale y joue un rôle central, jugé une part de la charité. On pensait que tout péché public d'homme d'église pouvait ébranler la foi des fidèles et que celle ci devait être à bon droit protégée. Donc les manquements d'hommes d'église devaient se traiter discrètement. Point justifié. On ne voyait pas bien les effets secondaires découlant du fait que la discrétion impliquait une insuffisance des sanctions (réputation) et donc une perception de relative impunité chez les coupables. Il y eu donc parfois abus de la fonction sacerdotale elle-même, gravissime.
Au fond la crainte du scandale a fini par entrainer un scandale encore plus grand. Pourtant le principe lui-même était valide, et on pourrait dire en le réappliquant de nos jours, que la crainte du scandale implique la vigoureuse action punitive publique du droit canon avec recours au droit civil. Bref une crainte du scandale mieux appliquée.
Peut être ne peut on pas blâmer le passé car effectivement à l'époque on ne dénonçait pas publiquement et donc il était vrai que régler les choses dans la discrétion évitait effectivement un scandale plus grand. Les moeurs changent.
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