par Altior » ven. 09 oct. 2020, 21:08
@Gaudens: Je le croix vraiment. Je suis d'accord, il y a plein de figures de style dans la Bible, sauf que leur caractère est criant. Quand Notre Seigneur dit «Je suis la porte des brebis», c'est évident qu'il s'agit d'une figure de style. Mais lorsqu'Il dit «Je suis la pain de la vie» c'est tout aussi évident qu'il parle dans le plan réél. J'arrête ici la digression dont on peut debattre dans un fil idoine.
@ In hoc signo vinces:
Il y a 12 fruits du Saint Esprit, qui sont les marques de la transformation en Christ, vous trouverez facilement des détails dans un catéchisme traditionnel. Pourtant, je n'avais pas en vue seulement cette liste-là. J'avais en vue les choses qu'un rite catholique traditionnel m'ont offert. Tout d'abord le rite byzantin, qui est mon rite propre. Puis, j'ai été, à mon tour, émerveillé quand, j'ai découvert les mêmes choses dans le rite romain traditionnel. Une autre attitude envers Dieu, une attitude dans laquelle on perçoit son infinie majesté. Une autre façon de comprendre la Messe. Il ne s'agit pas seulement de mieux percevoir son caractère sacrificiel, mais aussi de mieux comprendre la dynamique liturgique. Une Messe traditionnelle est une Messe en marche. Le Peuple, conduit par Notre Seigneur, est en marche vers le Père. C'est Dieu le Père qui est le vrai adressant de la Messe, chose qui est (à mon avis), beaucoup moins évidente dans le Novus Ordo. Il s'agit aussi d'une autre attitude envers les sources de notre foi. Envers la Sainte Tradition, bien évidemment, mais aussi envers la Sainte Ecriture, comme source inerrante de notre foi. Il s'agit d'une autre attitude envers le prêtre, qui n'est pas seulement «accompagnateur», «célébrant» et je ne sais pas quoi, mais le pasteur chargé par Dieu de conduire la congrégation vers le salut éternel. Il s'agit de mieux percevoir le terrible malheur du péché, qui détériore gravement ou brise complètement notre rapport avec la source de notre vie. Il s'agit d'une autre perception envers les Saints, les Anges, les objets saints et généralement d'un autre degré du sens du sacré. Et je m'arrête ici, pour ne pas parler d'une autre perception (presque physique) de la catholicité de la Sainte Église, d'une autre image sur les fins dernières et ainsi de suite.
@Gaudens: Je le croix vraiment. Je suis d'accord, il y a plein de figures de style dans la Bible, sauf que leur caractère est criant. Quand Notre Seigneur dit «Je suis la porte des brebis», c'est évident qu'il s'agit d'une figure de style. Mais lorsqu'Il dit «Je suis la pain de la vie» c'est tout aussi évident qu'il parle dans le plan réél. J'arrête ici la digression dont on peut debattre dans un fil idoine.
@ In hoc signo vinces:
Il y a 12 fruits du Saint Esprit, qui sont les marques de la transformation en Christ, vous trouverez facilement des détails dans un catéchisme traditionnel. Pourtant, je n'avais pas en vue seulement cette liste-là. J'avais en vue les choses qu'un rite catholique traditionnel m'ont offert. Tout d'abord le rite byzantin, qui est mon rite propre. Puis, j'ai été, à mon tour, émerveillé quand, j'ai découvert les mêmes choses dans le rite romain traditionnel. Une autre attitude envers Dieu, une attitude dans laquelle on perçoit son infinie majesté. Une autre façon de comprendre la Messe. Il ne s'agit pas seulement de mieux percevoir son caractère sacrificiel, mais aussi de mieux comprendre la dynamique liturgique. Une Messe traditionnelle est une Messe en marche. Le Peuple, conduit par Notre Seigneur, est en marche vers le Père. C'est Dieu le Père qui est le vrai adressant de la Messe, chose qui est (à mon avis), beaucoup moins évidente dans le Novus Ordo. Il s'agit aussi d'une autre attitude envers les sources de notre foi. Envers la Sainte Tradition, bien évidemment, mais aussi envers la Sainte Ecriture, comme source inerrante de notre foi. Il s'agit d'une autre attitude envers le prêtre, qui n'est pas seulement «accompagnateur», «célébrant» et je ne sais pas quoi, mais le pasteur chargé par Dieu de conduire la congrégation vers le salut éternel. Il s'agit de mieux percevoir le terrible malheur du péché, qui détériore gravement ou brise complètement notre rapport avec la source de notre vie. Il s'agit d'une autre perception envers les Saints, les Anges, les objets saints et généralement d'un autre degré du sens du sacré. Et je m'arrête ici, pour ne pas parler d'une autre perception (presque physique) de la catholicité de la Sainte Église, d'une autre image sur les fins dernières et ainsi de suite.