par Cinci » ven. 09 août 2019, 14:15
De Christophe Gully ...
Christophe Gully :
Mais, aujourd’hui, lance-t-il, « qui pourrait avoir envie d’intégrer une catégorie sociale condamnée par l’histoire économique et présentée par les médias comme une sous-classe faible, raciste, aigrie et inculte? » (« Les Gaulois réfractaires au changement » ou le « basket of deplorables », d’Emmanuel Macron ou d’Hillary Clinton témoignent de ce mépris des dirigeants pour leur peuple).
C’est dans ce vide culturel que s’implantent le multiculturalisme, le relativisme culturel, le communautarisme ou l’islamisme, car les nouveaux arrivants préfèrent très logiquement préserver leur capital social et culturel protecteur plutôt que d’épouser des modèles en voie de décomposition. Par voie de conséquence, cela aboutit également à l’ethnicisation de l’ancienne classe moyenne occidentale, qui ne s’était pourtant jamais définie, en France, par ses origines.
C'est là un point critique
très grave que touchait l'observateur. On voit bien le changement.
Tout se passe, constate-t-il, comme si le système de représentation politique avait muté en un système de représentations culturelles, et donc d’intérêts communautaires dans lequel les groupes ne peuvent exister médiatiquement et politiquement s’ils ne mettent pas en scène leurs spécificités ethnoculturelles.
Sur le plan de l’historiographie, cela se traduit par la dénationalisation des histoires nationales et la multiplication des petites histoires identitaires. « Il n’y a pas une culture française, il y a une culture en France et elle est diverse », affirmait d’ailleurs Emmanuel Macron en février 2017.
C'est exposer là le "péché capital" (ou la tache aveugle) d'Emmanuel Macron ( ... et des cosmopolites de coeur, amateurs de la diversité et du multi)
http://lautjournal.info/20190108/france ... eripheries
L'intérêt de relire Christophe Gully ? Peut-être pour mieux se rendre compte à quel point le coup de l'investissement des manifestations dites "des gilets jaunes" par les militants du Black Bloc ou autres casseurs antifa, anarchistes ou même prolétaires islamistes et antisémites était une arnaque de première !
Les gilets jaunes contestent justement ce système "macronien" dont ces autres "gugus" font leur beurre.
Les antifa étant par définition les acolytes et thuriféraires du mondialisme, de la dénationalisation, de l'antichristianisme, de l'immigration "merkelienne", du "droit de l'hommisme" arraseur de tous les combats politiques collectivistes et nationaux, et comme désireux d'empêcher que ne soit mis en avant un bien commun de la nation réelle (ou encore un "ultra libéralisme combattant la défense de l'intérêt véritable de la majorité des citoyens du cru; pas du tout des "super-riches" par définition).
Toute la militance dont on nous rebat les oreilles à longueur d'années dans les journaux : écolos, gauchistes branchés, prédicateurs du changement, promoteurs du pont de navires pour aider au transbordement de migrants vers l'Europe, amateurs de la simplicité volontaire, ennemis du "populisme" : c'était tous des supporters de la hausse de taxation des carburants en réalité. Macron savait ce qu'il faisait. Il n'avait juste pas prévu (*) ce sursaut spontané et démonstratif de ceux-là que d'autres auraient pu qualifier de "vieux beauf'"ou de "relent vestigial ranci d'antiques Gaulois" ou "débris sociétal pouvant même se teinter légèrement d'un parfum d'ancienne gauche" (Quelle misère !)
(*) Moi non plus je ne l'aurais pas prévu.
Note : indication plus claire des mots qui sont ceux de Christophe Gully plus haut, suite à la remarque de Gaudens subséquente.
De Christophe Gully ...
[quote][b]Christophe Gully[/b] :
Mais, aujourd’hui, lance-t-il, « qui pourrait avoir envie d’intégrer une catégorie sociale condamnée par l’histoire économique et présentée par les médias comme une sous-classe faible, raciste, aigrie et inculte? » (« Les Gaulois réfractaires au changement » ou le « basket of deplorables », d’Emmanuel Macron ou d’Hillary Clinton témoignent de ce mépris des dirigeants pour leur peuple).
C’est [u]dans ce vide culturel que s’implantent le multiculturalisme, le relativisme culturel, le communautarisme ou l’islamisme[/u], car les nouveaux arrivants préfèrent très logiquement préserver leur capital social et culturel protecteur plutôt que d’épouser des modèles en voie de décomposition. Par voie de conséquence, cela aboutit également à [u]l’ethnicisation de l’ancienne classe moyenne occidentale[/u], qui ne s’était pourtant jamais définie, en France, par ses origines.[/quote]
C'est là un point critique [b]très[/b] grave que touchait l'observateur. On voit bien le changement.
[quote]Tout se passe, constate-t-il, comme si le système de représentation politique avait muté en un système de représentations culturelles, et donc d’intérêts communautaires dans lequel les groupes ne peuvent exister médiatiquement et politiquement s’ils ne mettent pas en scène leurs spécificités ethnoculturelles.
Sur le plan de l’historiographie, cela se traduit par la dénationalisation des histoires nationales et la multiplication des petites histoires identitaires. « Il n’y a pas une culture française, il y a une culture en France et elle est diverse », affirmait d’ailleurs Emmanuel Macron en février 2017.[/quote]
C'est exposer là le "péché capital" (ou la tache aveugle) d'Emmanuel Macron ( ... et des cosmopolites de coeur, amateurs de la diversité et du multi)
http://lautjournal.info/20190108/france-les-gilets-jaunes-un-mouvement-des-peripheries
L'intérêt de relire Christophe Gully ? Peut-être pour mieux se rendre compte à quel point le coup de l'investissement des manifestations dites "des gilets jaunes" par les militants du Black Bloc ou autres casseurs antifa, anarchistes ou même prolétaires islamistes et antisémites était une arnaque de première !
Les gilets jaunes contestent justement ce système "macronien" dont ces autres "gugus" font leur beurre.
Les antifa étant par définition les acolytes et thuriféraires du mondialisme, de la dénationalisation, de l'antichristianisme, de l'immigration "merkelienne", du "droit de l'hommisme" arraseur de tous les combats politiques collectivistes et nationaux, et comme désireux d'empêcher que ne soit mis en avant un bien commun de la nation réelle (ou encore un "ultra libéralisme combattant la défense de l'intérêt véritable de la majorité des citoyens du cru; pas du tout des "super-riches" par définition).
Toute la militance dont on nous rebat les oreilles à longueur d'années dans les journaux : écolos, gauchistes branchés, prédicateurs du changement, promoteurs du pont de navires pour aider au transbordement de migrants vers l'Europe, amateurs de la simplicité volontaire, ennemis du "populisme" : c'était tous des supporters de la hausse de taxation des carburants en réalité. Macron savait ce qu'il faisait. Il n'avait juste pas prévu (*) ce sursaut spontané et démonstratif de ceux-là que d'autres auraient pu qualifier de "vieux beauf'"ou de "relent vestigial ranci d'antiques Gaulois" ou "débris sociétal pouvant même se teinter légèrement d'un parfum d'ancienne gauche" (Quelle misère !)
(*) Moi non plus je ne l'aurais pas prévu.
Note : indication plus claire des mots qui sont ceux de Christophe Gully plus haut, suite à la remarque de Gaudens subséquente.