par Didyme » dim. 09 avr. 2017, 13:13
Je n'ai pas tout lu mais quelques passages me sidèrent profondément. Je suis heureux que l'on ait eu les derniers papes que l'on a eu, ils sont dans la lignée de Vatican II. Je crois que beaucoup vont avoir du mal avec la progression, l'avancée de l’Église dans l'histoire, une avancée qui n'est pas la fixité imaginée.
Ce qui est assez ironique, c'est que ce sont les premiers qui vont avoir la propension à se montrer bien fidèles à l’Église, aux traditions, au passé qui se retrouvent aujourd'hui les plus prompt à prendre leurs distances avec l’Église et son évolution, qui finalement sont fidèles quand l’Église correspond à leurs attentes. Ils jettent la pierre aux progressistes, les blâmant de s'écarter de l’Église. Sauf que l’Église aujourd'hui, depuis Vatican II se veut dans cette lignée et ce sont finalement les "hérétiques" qui se trouvent aujourd'hui les plus en accord avec l’Église et les conservateurs qui se retrouvent les plus distants. Eux, les "défenseurs de la vraie Église, de la vraie doctrine" qui se permettent de juger ce que fait le pape, le chef de l’Église.
Attention de ne pas devenir vous-mêmes les schismatiques que vous êtes les premiers à condamner, à juger...
Je n'ai pas tout lu mais quelques passages me sidèrent profondément. Je suis heureux que l'on ait eu les derniers papes que l'on a eu, ils sont dans la lignée de Vatican II. Je crois que beaucoup vont avoir du mal avec la progression, l'avancée de l’Église dans l'histoire, une avancée qui n'est pas la fixité imaginée.
Ce qui est assez ironique, c'est que ce sont les premiers qui vont avoir la propension à se montrer bien fidèles à l’Église, aux traditions, au passé qui se retrouvent aujourd'hui les plus prompt à prendre leurs distances avec l’Église et son évolution, qui finalement sont fidèles quand l’Église correspond à leurs attentes. Ils jettent la pierre aux progressistes, les blâmant de s'écarter de l’Église. Sauf que l’Église aujourd'hui, depuis Vatican II se veut dans cette lignée et ce sont finalement les "hérétiques" qui se trouvent aujourd'hui les plus en accord avec l’Église et les conservateurs qui se retrouvent les plus distants. Eux, les "défenseurs de la vraie Église, de la vraie doctrine" qui se permettent de juger ce que fait le pape, le chef de l’Église.
Attention de ne pas devenir vous-mêmes les schismatiques que vous êtes les premiers à condamner, à juger...