par Jean-Mic » ven. 21 avr. 2023, 11:20
Pour ceux qui ont suivi ce fil, j'ai le regret de vous écrire que la situation est au statu-quo !
Pour ceux qui ont suivi ce fil, j'ai le déplaisir de vous écrire que plus ça va et plus
je m'en balance !
Depuis quelques temps, Monsieur le curé me salue à la sortie de la messe, quoique très brièvement. A vrai dire, je n'en fais pas beaucoup plus.
En revanche, il ne répond jamais à mes messages. Je l'ai sollicité à deux reprises au nom de l'association (catholique, approuvée par les évêques successifs, et désormais inscrite dans l'ordo diocésain à la page des mouvements d'Eglise) que je préside pour étendre nos activités à l'une des églises de la paroisse (nota : l'assoc' compte déjà 17 bénévoles de la paroisse dans ses rangs). Rien, pas un mot, pas même un accusé de réception. Du coup, nous avons choisi d'avancer dans notre projet sans attendre son accord. Si, à un moment, il veut y mettre son veto, nous requerrons l'avis de l'évêque ou du vicaire général. On verra bien.
Lors de la réunion des équipes liturgiques en vue de préparer la Semaine sainte, il suffisait que je pose une question, une remarque, que je propose quelque chose, pour qu'immédiatement la solution exactement inverse soit adoptée autoritairement. Ce n'est pas bien grave, je m'en remettrai aisément, mais ...
Mais ... bizarrement, les volontaires pour ces équipes se font de plus en plus rares. Nous sommes de moins en moins nombreux à vouloir nous engager dans de telles conditions.
Mais ... (quoique la plupart des paroissiens n'en aient pas vraiment conscience) les erreurs liturgiques pullulent. Sur ce point, (bien que participant - en raison de mes diverses missions diocésaines - aux travaux du Service diocésain de liturgie), je me garde d'intervenir publiquement, mais je ne cesse d'enrager intérieurement.
(Je donnerai un ou plusieurs exemples de ces erreurs dans un autre fil, peut-être dans celui des 'Blagues' tellement certaines sont risibles - ou consternantes, comme vous voudrez ).
Résultat : Je continue à m'abstenir de communier des mains de mon curé (j'ai Dieu merci d'autres occasions de communier) tellement je n'arrive pas à me sentir en communion avec lui.
(Je trouve d'ailleurs quelques mérites à ce jeûne de l'eucharistie. Par la privation qu'il m'impose, je trouve qu'il enrichit mon sens de la présence eucharistique et ma faim de la manducation - drôle de mot - eucharistique, tout comme le jeûne alimentaire aide à apprécier les aliments de cette terre, et à en rendre grâce au Créateur.)
Mais ceci est un autre débat, que les modérateurs ou administrateurs jugeront peut-être utile de déplacer vers un autre fil.
Pour ceux qui ont suivi ce fil, j'ai le regret de vous écrire que la situation est au statu-quo !
Pour ceux qui ont suivi ce fil, j'ai le déplaisir de vous écrire que plus ça va et plus [i]je m'en balance[/i] !
Depuis quelques temps, Monsieur le curé me salue à la sortie de la messe, quoique très brièvement. A vrai dire, je n'en fais pas beaucoup plus.
En revanche, il ne répond jamais à mes messages. Je l'ai sollicité à deux reprises au nom de l'association (catholique, approuvée par les évêques successifs, et désormais inscrite dans l'ordo diocésain à la page des mouvements d'Eglise) que je préside pour étendre nos activités à l'une des églises de la paroisse (nota : l'assoc' compte déjà 17 bénévoles de la paroisse dans ses rangs). Rien, pas un mot, pas même un accusé de réception. Du coup, nous avons choisi d'avancer dans notre projet sans attendre son accord. Si, à un moment, il veut y mettre son veto, nous requerrons l'avis de l'évêque ou du vicaire général. On verra bien.
Lors de la réunion des équipes liturgiques en vue de préparer la Semaine sainte, il suffisait que je pose une question, une remarque, que je propose quelque chose, pour qu'immédiatement la solution exactement inverse soit adoptée autoritairement. Ce n'est pas bien grave, je m'en remettrai aisément, mais ...
Mais ... bizarrement, les volontaires pour ces équipes se font de plus en plus rares. Nous sommes de moins en moins nombreux à vouloir nous engager dans de telles conditions.
Mais ... (quoique la plupart des paroissiens n'en aient pas vraiment conscience) les erreurs liturgiques pullulent. Sur ce point, (bien que participant - en raison de mes diverses missions diocésaines - aux travaux du Service diocésain de liturgie), je me garde d'intervenir publiquement, mais je ne cesse d'enrager intérieurement.
[size=75](Je donnerai un ou plusieurs exemples de ces erreurs dans un autre fil, peut-être dans celui des 'Blagues' :siffle: tellement certaines sont risibles - ou consternantes, comme vous voudrez :zut: ).[/size]
Résultat : Je continue à m'abstenir de communier des mains de mon curé (j'ai Dieu merci d'autres occasions de communier) tellement je n'arrive pas à me sentir en communion avec lui.
[size=75](Je trouve d'ailleurs quelques mérites à ce jeûne de l'eucharistie. Par la privation qu'il m'impose, je trouve qu'il enrichit mon sens de la présence eucharistique et ma faim de la manducation - drôle de mot - eucharistique, tout comme le jeûne alimentaire aide à apprécier les aliments de cette terre, et à en rendre grâce au Créateur.)
[b][color=green]Mais ceci est un autre débat, que les modérateurs ou administrateurs jugeront peut-être utile de déplacer vers un autre fil.[/color][/b][/size]