Il me semble que les dernières réflexions de Trebla, qui continue à ne pas répondre aux questions posées, ne cessent de répéter sa conviction que chacun a bien comprise. Personne ne doute qu’il pourrait encore ajouter d’innombrables messages commentant des textes interprétés par le point de vue qui est le sien. Impossible d’encore y répondre sans se répéter.
Les réflexions du dernier message de Voyageur sont excellentes… sauf lorsqu’il rappelle que, pour lui, «
Adam et Eve sont des allégories. Ils désignent l'humanité désirée par DIEU. Il me semble plus approprié de parler de "représentants mythologiques du peuple élu" ».
A cet égard, je continue à penser que renoncer totalement à situer historiquement Adam et Eve, au moins de manière approximative et incertaine, comme une probabilité sérieuse, à l’époque qu’indique le récit biblique (durant la période néolithique) risque d’éteindre la compréhension de la réalité concrète de la création de l’humanité.
La prudence nécessaire ne doit pas éteindre les hypothèses concrètes de réflexion, ni fermer toute porte par rapport à la réalité historique qu’il reste important de ne pas perdre de vue.
Je crois qu’Adam et Eve ont réellement et historiquement existé. C’est ce que le Magistère officiel de l’Eglise a toujours enseigné. Ce fut une création extraordinaire dans le cours de l’histoire qui a créé un peuple immortel invité à partager la vie de son Créateur.
Situer l’évènement durant la période du néolithique il y a moins de dix mille ans n’est pas une certitude, mais peut être considérée comme une hypothèse sérieuse qui permet de réfléchir à la création d’une manière aussi concrète et historique que l’incarnation du Christ il y a deux mille ans en Palestine.
Sur ce point, les derniers échanges ont éloigné quelques autres questions posées sur lesquelles je souhaite revenir.
Les messages se succèdent tellement vite et avec tellement d’intervenants que certains restent sans réponse.
Le dialogue aborde de nombreux détails qu’il serait difficile d’aborder ici dans un sujet général sur comment considérer la Genèse.
Chacun de ces détails est intéressant et peut, bien sûr, éclairer la question principale.
Mais, tous ces détails, qui demandent souvent la discussion de nombreux aspects, ont déjà été discutés dans ce forum dans d’autres sujets plus particuliers auxquels il vaut mieux renvoyer les discussions détaillées de ces détails pour ne pas répéter ici, sauf sommairement, ce qui a été dit ailleurs et pour ne pas rendre confuses les questions générales à aborder ici.
Dans son exposé sur la dispersion de l’homo sapiens sur les différents continents jusqu’à la traversée du détroit de Bering il y a 15.000 ans, Trinité se demande «
Comment ces pré humains ont ils pu se reproduire avec les enfants d'Adam et Eve, puisqu'ils étaient déjà partis depuis fort longtemps dans d'autres continents ? ».
Probablement d’abord, parce que beaucoup d’autres ont fait les mêmes déplacements durant les siècles et les millénaires qui ont suivi.
A cet égard, il me semble que si on trouve des traces d’une dispersion par le détroit de Bering il y a environ 15.000 ans, cela ne signifie pas que les migrations aient cessé après cette date, ni après que l’eau ait recouvert ce détroit d’une largeur de moins de cent kilomètres. Il en va de même pour l’Australie et les diverses îles éloignées.
En effet, au cours des dix mille dernières années, les capacités de navigation (déjà extraordinaires du temps de l’Egypte antique) me semblent avoir permis beaucoup de traversées de ce détroit depuis très longtemps et la dispersion généalogique est très rapide dans la réalité.
Un seul groupe d’aventuriers fait souche quelque part et, en mille ans ou trente générations, il disperse à l’autre bout du monde des millions de descendants parmi lesquels d’autres aventuriers…
Et à chaque génération, il y a quelques aventuriers partout sur la terre… Un individu sur mille a probablement un descendant dans les dix générations suivantes qui part vivre à 5.000 kilomètres…
Comme cela a déjà été dit, les généalogistes nous indiquent qu’il ne faut environ que trois mille ans pour que tous les humains d’une époque aient des ancêtres identiques trois mille ans auparavant.
Ce sujet particulier a déjà été développé dans un autre sujet du sous-forum des Savoir Thématiques (section Sciences et Technos), intitulé « Tous descendants biologiques d’Abraham » :
viewtopic.php?f=84&t=9898
Par ailleurs, merci à Trinité pour les deux articles qu’il a indiqués (l’un de Paul Seely et l’autre de Denis Alexander).
Comme il s’agit de sujets particuliers qui s’éloignent du sujet général de ce fil, je propose d’y revenir d’une part (concernant l’article de P. Seely), dans le sujet du sous-forum des Savoirs Thématiques (section Histoire) intitulé « Sur les traces du déluge » :
viewtopic.php?f=28&t=541
et, d’autre part (concernant l’article de D. Alexander), dans le sujet du même sous-forum intitulé « Le cardinal Ries : un signal fort » :
viewtopic.php?f=28&t=20889
Il me semble que les dernières réflexions de Trebla, qui continue à ne pas répondre aux questions posées, ne cessent de répéter sa conviction que chacun a bien comprise. Personne ne doute qu’il pourrait encore ajouter d’innombrables messages commentant des textes interprétés par le point de vue qui est le sien. Impossible d’encore y répondre sans se répéter.
Les réflexions du dernier message de Voyageur sont excellentes… sauf lorsqu’il rappelle que, pour lui, « [i]Adam et Eve sont des allégories. Ils désignent l'humanité désirée par DIEU. Il me semble plus approprié de parler de "représentants mythologiques du peuple élu"[/i] ».
A cet égard, je continue à penser que renoncer totalement à situer historiquement Adam et Eve, au moins de manière approximative et incertaine, comme une probabilité sérieuse, à l’époque qu’indique le récit biblique (durant la période néolithique) risque d’éteindre la compréhension de la réalité concrète de la création de l’humanité.
La prudence nécessaire ne doit pas éteindre les hypothèses concrètes de réflexion, ni fermer toute porte par rapport à la réalité historique qu’il reste important de ne pas perdre de vue.
Je crois qu’Adam et Eve ont réellement et historiquement existé. C’est ce que le Magistère officiel de l’Eglise a toujours enseigné. Ce fut une création extraordinaire dans le cours de l’histoire qui a créé un peuple immortel invité à partager la vie de son Créateur.
Situer l’évènement durant la période du néolithique il y a moins de dix mille ans n’est pas une certitude, mais peut être considérée comme une hypothèse sérieuse qui permet de réfléchir à la création d’une manière aussi concrète et historique que l’incarnation du Christ il y a deux mille ans en Palestine.
Sur ce point, les derniers échanges ont éloigné quelques autres questions posées sur lesquelles je souhaite revenir.
Les messages se succèdent tellement vite et avec tellement d’intervenants que certains restent sans réponse.
Le dialogue aborde de nombreux détails qu’il serait difficile d’aborder ici dans un sujet général sur comment considérer la Genèse.
Chacun de ces détails est intéressant et peut, bien sûr, éclairer la question principale.
Mais, tous ces détails, qui demandent souvent la discussion de nombreux aspects, ont déjà été discutés dans ce forum dans d’autres sujets plus particuliers auxquels il vaut mieux renvoyer les discussions détaillées de ces détails pour ne pas répéter ici, sauf sommairement, ce qui a été dit ailleurs et pour ne pas rendre confuses les questions générales à aborder ici.
Dans son exposé sur la dispersion de l’homo sapiens sur les différents continents jusqu’à la traversée du détroit de Bering il y a 15.000 ans, Trinité se demande « [i]Comment ces pré humains ont ils pu se reproduire avec les enfants d'Adam et Eve, puisqu'ils étaient déjà partis depuis fort longtemps dans d'autres continents ?[/i] ».
Probablement d’abord, parce que beaucoup d’autres ont fait les mêmes déplacements durant les siècles et les millénaires qui ont suivi.
A cet égard, il me semble que si on trouve des traces d’une dispersion par le détroit de Bering il y a environ 15.000 ans, cela ne signifie pas que les migrations aient cessé après cette date, ni après que l’eau ait recouvert ce détroit d’une largeur de moins de cent kilomètres. Il en va de même pour l’Australie et les diverses îles éloignées.
En effet, au cours des dix mille dernières années, les capacités de navigation (déjà extraordinaires du temps de l’Egypte antique) me semblent avoir permis beaucoup de traversées de ce détroit depuis très longtemps et la dispersion généalogique est très rapide dans la réalité.
Un seul groupe d’aventuriers fait souche quelque part et, en mille ans ou trente générations, il disperse à l’autre bout du monde des millions de descendants parmi lesquels d’autres aventuriers…
Et à chaque génération, il y a quelques aventuriers partout sur la terre… Un individu sur mille a probablement un descendant dans les dix générations suivantes qui part vivre à 5.000 kilomètres…
Comme cela a déjà été dit, les généalogistes nous indiquent qu’il ne faut environ que trois mille ans pour que tous les humains d’une époque aient des ancêtres identiques trois mille ans auparavant.
Ce sujet particulier a déjà été développé dans un autre sujet du sous-forum des Savoir Thématiques (section Sciences et Technos), intitulé « Tous descendants biologiques d’Abraham » :
http://cite-catholique.org/viewtopic.php?f=84&t=9898
Par ailleurs, merci à Trinité pour les deux articles qu’il a indiqués (l’un de Paul Seely et l’autre de Denis Alexander).
Comme il s’agit de sujets particuliers qui s’éloignent du sujet général de ce fil, je propose d’y revenir d’une part (concernant l’article de P. Seely), dans le sujet du sous-forum des Savoirs Thématiques (section Histoire) intitulé « Sur les traces du déluge » :
http://cite-catholique.org/viewtopic.php?f=28&t=541
et, d’autre part (concernant l’article de D. Alexander), dans le sujet du même sous-forum intitulé « Le cardinal Ries : un signal fort » :
http://cite-catholique.org/viewtopic.php?f=28&t=20889