Bonjour Trinité,
Je ne dois pas regarder assez la télé, je ne connaissais pas ce chroniqueur.
Le mieux à même de répondre serait sans doute lui-même. Il serait certainement très instructif d'entamer le débat sur ce sujet. Même si, à en juger par son parcours ultérieur, il choisit des sujets de réflexion plus rémunérateurs ( après la déradicalisation et les fake news, le voilà pourchasseur de dissidents antivaxxx ). Mon impression est la même que pour l'Emmanuel Carrère du Royaume. Une foi trop démonstrative est souvent à usage externe. Comme vous l'avez dit, et c'est moi qui souligne Quand on le cherche, Dieu tend la main.

"Laurent, serrez ma haire avec ma discipline
Et priez que toujours le Ciel vous illumine"

Bonsoir !

Sociologue et intellectuel Athée .
Après avoir eu une interrogation à l'âge de 17 ans, sur le religieux, d'autant plus du milieu dont il émanait , c'était très étonnant!
Comment a t' il put prendre un chemin aussi matérialiste et dénigrer à ce point le phénomène religieux.
Pourtant, quant on le cherche, comme se fut le cas, Dieu nous tend la main...

Voila ce qu'en dit libération :


A 17 ans, Bronner traverse une crise mystique. Dans un foyer familial sans culture ni religion, il devient «très croyant», presque «perché». Il mettra des années à revenir sur le chemin de l’athéisme. A la recherche de certitudes, l’adolescent lit le Matin des magiciens de Bergier et Pauwels, se plonge dans la littérature fantastique de Lovecraft et Tolkien, s’imprègne de la «culture geek» parce que «facile» à se construire soi-même.