par Perplexe » ven. 11 nov. 2022, 11:37
Le problème du porc est aussi son comportement. Il mange tout, d'où ces problèmes sanitaires si l'homme n'est pas prudent pour sa consommation.
Mais aussi, le porc est un animal aux mauvaises manières. Il est capable de se coucher dans la mangeoire pour empêcher ses congénères de manger et tout s'approprier (la gourmandise oui, la charité non !).
Dans une expérience en laboratoire, s'il connaît le chemin dans un labyrinthe pour aller à un point de nourriture, il fait preuve d'une bonne mémoire. Mais si on le place avec un congénère à l'entrée du labyrinthe, il cherche à l'égarer pour aller seul se rassasier (ruse et égoïsme).
Il semblerait qu'en consommant une viande plus particulièrement, l'on hérité de quelques traits de caractère de l'animal ! Perplexes ? L'on consomme son ADN, est-ce anodin ?
Il y a longtemps, j'ai sollicité une diététicienne pour qu'elle cherche à déterminer, à partir du comportement de ses patients, quelle était leur viande ou leurs viandes préférées en leur posant la question quand elle avait repéré certaines attitudes dans leur personnalité. Bien que le résultat soit empirique et sur quelques dizaines de personnes, il y a de grandes tendantes qu'elle a pu observer.
Pour exemple, un grand consommateur de poisson aura plutôt une silhouette fine, fluide, souple, et le caractère souple, peut-être du fait que généralement l'animal vit en liberté ou plus proche de la nature ?
J'ai pu observer les silhouettes et les visages lors d'une réunion télévisée d'éleveurs de porcs. C'était très différent !
De toute façon, il faut souvent 4 heures, et jusqu'à 6 heures pour les morceaux très gras, pour digérer la viande. C'est donc usant pour l'organisme. Alors, en consommer midi et soir c'est la ruine de la santé (c'est surtout un problème de quantité absorbée).
Les bouchers conseillent la viande de veau mais n'en mangeraient pas, elle serait trop toxique pour la santé. Je sais aussi que l'espérance de vie dans cette profession est raccourcie.
Sur un plan plus anthropologique et psychique, consommer de la viande représenterait un reste de cannibalisme et psychiquement ce serait la pulsion de mort qui serait dans ce mordre dans la chair, un meutre symbolique.
Tout comme JÉSUS l'a dit : mangez, ceci est mon corps, buvez, ceci est mon sang. Il aurait signifié que l'humanité est encore au stade de la dévoration symbolique en tuant qui nous déplaît !
Cette pulsion de mort serait alors détournée en consommant de la viande. Pour avoir été 3 ans complètement végétarien et m'être retrouvé dans une situation, pendant un mois, où j'avais de la viande à consommer sans pouvoir appliquer mon végétarisme, j'ai senti des pulsions fortes surgir en moi jour après jour. J'étais jeune, certes, mais sans culture religieuse ou psychologique, je n'ose pas penser ce que peuvent advenir de telles pulsions dont on prend l'habitude de porter et comment elles sont déchargées physiquement et psychiquement !
Le problème du porc est aussi son comportement. Il mange tout, d'où ces problèmes sanitaires si l'homme n'est pas prudent pour sa consommation.
Mais aussi, le porc est un animal aux mauvaises manières. Il est capable de se coucher dans la mangeoire pour empêcher ses congénères de manger et tout s'approprier (la gourmandise oui, la charité non !).
Dans une expérience en laboratoire, s'il connaît le chemin dans un labyrinthe pour aller à un point de nourriture, il fait preuve d'une bonne mémoire. Mais si on le place avec un congénère à l'entrée du labyrinthe, il cherche à l'égarer pour aller seul se rassasier (ruse et égoïsme).
Il semblerait qu'en consommant une viande plus particulièrement, l'on hérité de quelques traits de caractère de l'animal ! Perplexes ? L'on consomme son ADN, est-ce anodin ?
Il y a longtemps, j'ai sollicité une diététicienne pour qu'elle cherche à déterminer, à partir du comportement de ses patients, quelle était leur viande ou leurs viandes préférées en leur posant la question quand elle avait repéré certaines attitudes dans leur personnalité. Bien que le résultat soit empirique et sur quelques dizaines de personnes, il y a de grandes tendantes qu'elle a pu observer.
Pour exemple, un grand consommateur de poisson aura plutôt une silhouette fine, fluide, souple, et le caractère souple, peut-être du fait que généralement l'animal vit en liberté ou plus proche de la nature ?
J'ai pu observer les silhouettes et les visages lors d'une réunion télévisée d'éleveurs de porcs. C'était très différent !
De toute façon, il faut souvent 4 heures, et jusqu'à 6 heures pour les morceaux très gras, pour digérer la viande. C'est donc usant pour l'organisme. Alors, en consommer midi et soir c'est la ruine de la santé (c'est surtout un problème de quantité absorbée).
Les bouchers conseillent la viande de veau mais n'en mangeraient pas, elle serait trop toxique pour la santé. Je sais aussi que l'espérance de vie dans cette profession est raccourcie.
Sur un plan plus anthropologique et psychique, consommer de la viande représenterait un reste de cannibalisme et psychiquement ce serait la pulsion de mort qui serait dans ce mordre dans la chair, un meutre symbolique.
Tout comme JÉSUS l'a dit : mangez, ceci est mon corps, buvez, ceci est mon sang. Il aurait signifié que l'humanité est encore au stade de la dévoration symbolique en tuant qui nous déplaît !
Cette pulsion de mort serait alors détournée en consommant de la viande. Pour avoir été 3 ans complètement végétarien et m'être retrouvé dans une situation, pendant un mois, où j'avais de la viande à consommer sans pouvoir appliquer mon végétarisme, j'ai senti des pulsions fortes surgir en moi jour après jour. J'étais jeune, certes, mais sans culture religieuse ou psychologique, je n'ose pas penser ce que peuvent advenir de telles pulsions dont on prend l'habitude de porter et comment elles sont déchargées physiquement et psychiquement !