par cmoi » dim. 04 avr. 2021, 12:50
C’est un fait que le calendrier liturgique suit sa propre fin sans se préoccuper d’aucune autre, et qu’il entre en contradiction, surtout à Pâques, avec le calendrier scolaire et universitaire, est un autre fait non délibéré que ne peuvent ignorer que les cancres ou les génies, ou ceux qui ont abandonné avant que cela ne devienne «sérieux » pour eux (en tout cas pour notre pays).
Par conséquent il est bon de se rappeler (si nous n’en portons pas une vérité identique en nous) la parole d’un saint enfant à qui l’on demanda ce qu’il ferait s’il apprenait devoir mourir dans l’heure : il répondit qu’il continuerait à jouer au ballon !
De fait, si Dieu a fait tout ce qu’il a fait pour nous en Jésus, s’il est certes juste de l’en remercier, il serait aussi et surtout ingrat de ne pas en profiter, et donc, mener notre vie ! – ce qui est une forme de remerciement supérieur et susceptible de lui en donner plus de joie : réfléchissez-y bien !
Cela ne vous prive en rien, les grandes vacances venues, de faire une retraite, de lui consacrer quelques jours durant lesquels vous lui manifesterez de ces témoignages que vous n’aurez pu lui faire à pâques. Il semble que vous l'ayez d'ailleurs fait un peu déjà mais avant (si j'ai bien compris vos post récent et antérieurs sur les charismatiques...
(A ce propos, juste une remarque/critique : si un guérisseur vous transmet un don avéré, et que vous avez besoin de précision quand a son usage, n'est-ce pas à lui qu'il vous faut vous adresser et non au tout venant, serait-il fait de médecins ou d'autres guérisseurs ? Car lui sait mieux que personne ce qu'il vous adonné et comment l'utiliser !)
Car que je sache (je le précise pour avoir lu d'autres réponses...) vous n'avez jamais parlé de ne pas satisfaire aux commandements de l'Eglise ! Mais je suppose que vous aviez déjà fait la part des choses...
Vous aurez non seulement d’autres occasions, mais aussi celle au cours de votre vie de « correspondre » au rythme liturgique. Lui offrir cette disharmonie de rythme est en attendant un acte de foi qui ne doit provoquer aucun scrupule en vous.
Ce n’est pas pour rien si ce n’est pas Dieu qui a créé ce rythme, et quand il en a créé un il est venu ensuite nous dire que l’homme n’était pas fait pour « ce » rythme (car il en faut un qu’il soit voulu ou non, et il reste à l’améliorer chaque jour) mais le sabbat pour l’homme, autrement dit nous rendre notre liberté et en redonner l’esprit : c’est clair et sans appel, cela montre bien à quel point notre bêtise reste souvent la même !
Pour "ouvrir" le sujet...Nous touchons là à un point essentiel de la foi : la confiance, la supériorité de l’esprit sur la lettre. Et le fait que le commandement de croître et de nous multiplier, qui inclut celui du travail et donc des études, par lequel développer nos talents, car il ne s’agit pas que d’une croissance physique évidemment, et celui de la fraternité sociale aussi bien que culturelle, passe avant celui du culte, qui doit rester un loisir (un acte libre) et non un travail, un « devoir de vacance » par lequel on se réjouit de partager avec Lui le fruit de notre obéissance (encore faut-il en avoir !!!) et non (horreur) un motif de querelle et de concurrence...
C’est un fait que le calendrier liturgique suit sa propre fin sans se préoccuper d’aucune autre, et qu’il entre en contradiction, surtout à Pâques, avec le calendrier scolaire et universitaire, est un autre fait non délibéré que ne peuvent ignorer que les cancres ou les génies, ou ceux qui ont abandonné avant que cela ne devienne «sérieux » pour eux (en tout cas pour notre pays).
Par conséquent il est bon de se rappeler (si nous n’en portons pas une vérité identique en nous) la parole d’un saint enfant à qui l’on demanda ce qu’il ferait s’il apprenait devoir mourir dans l’heure : il répondit qu’il continuerait à jouer au ballon !
De fait, si Dieu a fait tout ce qu’il a fait pour nous en Jésus, s’il est certes juste de l’en remercier, il serait aussi et surtout ingrat de ne pas en profiter, et donc, mener notre vie ! – ce qui est une forme de remerciement supérieur et susceptible de lui en donner plus de joie : réfléchissez-y bien !
Cela ne vous prive en rien, les grandes vacances venues, de faire une retraite, de lui consacrer quelques jours durant lesquels vous lui manifesterez de ces témoignages que vous n’aurez pu lui faire à pâques. Il semble que vous l'ayez d'ailleurs fait un peu déjà mais avant (si j'ai bien compris vos post récent et antérieurs sur les charismatiques...
[size=85] (A ce propos, juste une remarque/critique : si un guérisseur vous transmet un don avéré, et que vous avez besoin de précision quand a son usage, n'est-ce pas à lui qu'il vous faut vous adresser et non au tout venant, serait-il fait de médecins ou d'autres guérisseurs ? Car lui sait mieux que personne ce qu'il vous adonné et comment l'utiliser !)[/size]
Car que je sache (je le précise pour avoir lu d'autres réponses...) vous n'avez jamais parlé de ne pas satisfaire aux commandements de l'Eglise ! Mais je suppose que vous aviez déjà fait la part des choses...
Vous aurez non seulement d’autres occasions, mais aussi celle au cours de votre vie de « correspondre » au rythme liturgique. Lui offrir cette disharmonie de rythme est en attendant un acte de foi qui ne doit provoquer aucun scrupule en vous.
Ce n’est pas pour rien si ce n’est pas Dieu qui a créé ce rythme, et quand il en a créé un il est venu ensuite nous dire que l’homme n’était pas fait pour « ce » rythme (car il en faut un qu’il soit voulu ou non, et il reste à l’améliorer chaque jour) mais le sabbat pour l’homme, autrement dit nous rendre notre liberté et en redonner l’esprit : c’est clair et sans appel, cela montre bien à quel point notre bêtise reste souvent la même !
Pour "ouvrir" le sujet...Nous touchons là à un point essentiel de la foi : la confiance, la supériorité de l’esprit sur la lettre. Et le fait que le commandement de croître et de nous multiplier, qui inclut celui du travail et donc des études, par lequel développer nos talents, car il ne s’agit pas que d’une croissance physique évidemment, et celui de la fraternité sociale aussi bien que culturelle, passe avant celui du culte, qui doit rester un loisir (un acte libre) et non un travail, un « devoir de vacance » par lequel on se réjouit de partager avec Lui le fruit de notre obéissance (encore faut-il en avoir !!!) et non (horreur) un motif de querelle et de concurrence...