par Cinci » mar. 08 mars 2016, 16:57
Salutation à tous
Trinité,
Quelle est aujourd'hui la position officielle de l'église,dans : le rôle de la femme dans la société moderne"?
Qu'espérez-vous donc que ce soit!? Les femmes font bien ce qu'elles veulent dans leur milieu. Vous le savez bien. Je ne connais pas d'évêques en France qui se mêleront de vouloir empêcher de pauvres femmes d'y faire carrière au gouvernement ou ailleurs. Vous me direz, Trinité, c'est quand la dernière fois où vous aurez vu un prêtre refuser de se faire traiter à l'hôpital si le médecin est une femme.
Non ...
Les rangs de l'Église d'aujourd'hui seront formés principalement - des conservateurs de la vraie foi catholique vous répondraient peut-être - de libéraux gâtés par le modernisme, tous vendus peu ou prou à ce démocratisme encouragé par les loges, par les chapelles protestantes anglo-saxonnes et etc. De haut en bas de l'organisation : les catholiques sont gagnés depuis longtemps aux principes du progressisme.
Donc, la position officielle de l'Église des conciliaires n'est pas autre chose que
la position de Jean Paul II, lequel demande alors aux paroisiennes de faire un compromis entre notre monde contemporain, toutes les bonnes valeurs qui s'y trouvent, tous ces incitatifs à travailler en faveur de l'épanouissement personnel des un(e)s et des autres, à la dignité des personnes et tout et tout , et ensuite une certaine forme, une façon de fonctionner coutumière de l'Église catholique; de se plier au minimum à un certain moule liturgique; d'accepter quand même que la figure du chef soit celle d'un homme. Sauf, dans ce dernier cas, on ne parle pas de «la société, de
la place de la femme dans le monde», mais on parle de
la façon d'opérer de l'Église, qui tient à se distinguer «quelque peu» de la façon de faire du monde justement.
Vous remarquerez que je m'exprime volontairement d'une manière insatisfaisante, pour laisser place à un certain déséquilibre. C'est juste pour refléter ce qui se passe, tant avec les conservateurs qu'avec le progressisme.
Salutation à tous
Trinité,
[quote]Quelle est aujourd'hui [u]la position officielle de l'église[/u],dans : le rôle de la femme dans la société moderne"?[/quote]
Qu'espérez-vous donc que ce soit!? Les femmes font bien ce qu'elles veulent dans leur milieu. Vous le savez bien. Je ne connais pas d'évêques en France qui se mêleront de vouloir empêcher de pauvres femmes d'y faire carrière au gouvernement ou ailleurs. Vous me direz, Trinité, c'est quand la dernière fois où vous aurez vu un prêtre refuser de se faire traiter à l'hôpital si le médecin est une femme.
Non ...
Les rangs de l'Église d'aujourd'hui seront formés principalement - des conservateurs de la vraie foi catholique vous répondraient peut-être - de libéraux gâtés par le modernisme, tous vendus peu ou prou à ce démocratisme encouragé par les loges, par les chapelles protestantes anglo-saxonnes et etc. De haut en bas de l'organisation : les catholiques sont gagnés depuis longtemps aux principes du progressisme.
Donc, la position officielle de l'Église des conciliaires n'est pas autre chose que [b]la position de Jean Paul II[/b], lequel demande alors aux paroisiennes de faire un compromis entre notre monde contemporain, toutes les bonnes valeurs qui s'y trouvent, tous ces incitatifs à travailler en faveur de l'épanouissement personnel des un(e)s et des autres, à la dignité des personnes et tout et tout , et ensuite une certaine forme, une façon de fonctionner coutumière de l'Église catholique; de se plier au minimum à un certain moule liturgique; d'accepter quand même que la figure du chef soit celle d'un homme. Sauf, dans ce dernier cas, on ne parle pas de «la société, de [u]la[/u] place de la femme dans le monde», mais on parle de [u]la[/u] façon d'opérer de l'Église, qui tient à se distinguer «quelque peu» de la façon de faire du monde justement.
Vous remarquerez que je m'exprime volontairement d'une manière insatisfaisante, pour laisser place à un certain déséquilibre. C'est juste pour refléter ce qui se passe, tant avec les conservateurs qu'avec le progressisme.