par Normandt » sam. 09 mars 2024, 14:20
Dimanche 10 mars 2024 Quatrième dimanche de Carême (Laetare)
Jn 3,14-21 Ép 2,4-10 2Ch 36,14-16.19-23
Dimanche passé, Jésus renversait les tables des changeurs dans le Temple. Jésus nous invite aussi à lui demander de renverser toutes les tables qui nous éloignent de Lui. Nous avons personnellement des tables dans notre vie qui contiennent des choses inutiles, des pensées négatives, ou autres poids que nous trainons.
Seul Jésus peut nettoyer les tables de notre vie. La table de notre mémoire, la table de notre passé, la table de gestes non orientés par l’amour, la table de nos paroles qui n’édifient pas, la table de nos attitudes qui enferment les autres.
Nous sommes invités à accepter Jésus comme notre Seigneur et Sauveur personnel. Nous sommes invités à devenir aujourd’hui, enfants de Dieu et chaque matin vouloir Jésus à nouveau, dans notre cœur, dans notre vie.
Dans le livre des Chroniques, Dieu nous invite aussi à laisser derrière nos infidélités envers lui. C’est comme si Dieu faisait le lien entre le mariage et l’Alliance entre lui et nous. Et notre infidélité au mariage avec Dieu, est notre éloignement. Dieu n’est jamais éloigné de nous, mais nous nous éloignons de lui.
« Le Seigneur, le Dieu de leurs pères, sans attendre et sans se lasser, leur envoyait des messagers, car il avait pitié de son peuple et de sa Demeure, » nous dit le livre des Chroniques. « Mais eux tournaient en dérision les envoyés de Dieu, méprisaient ses paroles, et se moquaient de ses prophètes. » Assurons-nous d’être à l’écoute du bon sens qu’il y a dans notre Église. Depuis deux mille ans, notre Église suit Jésus et nous offre les moyens de toujours demeurer avec Lui.
Saint Paul nous dit : « Nous qui étions des morts par suite de nos fautes, il nous a donné la vie avec le Christ : c’est bien par grâce que vous êtes sauvés. » Nous reculons lorsque nous agissons comme si Jésus n’est pas dans notre vie, comme si Jésus n’est pas notre Seigneur, comme si Jésus ne conduit pas son Église et qu’il ne conduit pas son peuple, comme si l’Amour n’est pas notre unique but. Nous nous « a-mort-issons, » nous devenons morts à la Sagesse de Dieu et de son Église lorsque nous pensons avoir tout réglé et que nous sommes bien installés dans notre vie. Le danger est là, le danger, c’est lorsque nous pensons que nous n’avons plus rien à accomplir au nom de Jésus et que nous pensons avoir déjà tout réalisé en notre nom propre.
Nous devons nous attendre à du changement, à nous dépouiller de tout ce qui ne vient pas de Dieu, le pape François en parle constamment, nous sommes en 2024, nous devons nous attendre à ce que le Saint Esprit nous dérange, et vide nos tables bien garnies. Alors là, seulement là, la joie de Dieu va se réaliser dans notre vie.
Jésus a aussi été dérangé pendant sa vie, il n’a pas eu une vie qui était de tout repos, et il s’est confronté à un monde trop souvent sans Dieu. Jésus a Aimé, Jésus nous Aime encore. Saint Jean nous le dit clairement : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. » Croyons que Dieu nous Aime.
Jésus a pris soin de nous et il nous invite à prendre soin les uns des autres. Dans la lettre du pape François, La joie de l’Évangile, il nous dit : « Que tous puissent admirer comment vous prenez soin les uns des autres, comment vous vous encouragez mutuellement et comment vous vous accompagnez (…). Le témoignage de communautés authentiquement fraternelles et réconciliées, cela est toujours une lumière qui attire. » La joie de l’Évangile # 99-100.
Encourager, admirer la présence du Christ dans la vie, les gestes, les paroles de chaque personne, prendre soin les uns des autres en étant authentique et fraternels. Voilà, ce qui est une communauté qui laisse la joie de l’Évangile passer, la joie de l’Esprit Saint passer comme un bon coup de vent sous le soleil l’été. Une bise de joie qui fait du bien à nous et aux personnes autour de nous chaque jour de notre vie. Dieu ne condamne personne, nous ne condamnons personne, nous vivons dans la joie du Cœur de Dieu.
Pendant cette Eucharistie, choisissons la Table de Dieu, l’Autel où il se sacrifie pour nous, en ce moment, où il nous donne sa vie et par laquelle il nous sauve du mal et nous garde unis en son Royaume, dès maintenant. Permettons au Christ Eucharistie de nous garder dans sa joie.
Dimanche 10 mars 2024 Quatrième dimanche de Carême (Laetare)
Jn 3,14-21 Ép 2,4-10 2Ch 36,14-16.19-23
Dimanche passé, Jésus renversait les tables des changeurs dans le Temple. Jésus nous invite aussi à lui demander de renverser toutes les tables qui nous éloignent de Lui. Nous avons personnellement des tables dans notre vie qui contiennent des choses inutiles, des pensées négatives, ou autres poids que nous trainons.
Seul Jésus peut nettoyer les tables de notre vie. La table de notre mémoire, la table de notre passé, la table de gestes non orientés par l’amour, la table de nos paroles qui n’édifient pas, la table de nos attitudes qui enferment les autres.
Nous sommes invités à accepter Jésus comme notre Seigneur et Sauveur personnel. Nous sommes invités à devenir aujourd’hui, enfants de Dieu et chaque matin vouloir Jésus à nouveau, dans notre cœur, dans notre vie.
Dans le livre des Chroniques, Dieu nous invite aussi à laisser derrière nos infidélités envers lui. C’est comme si Dieu faisait le lien entre le mariage et l’Alliance entre lui et nous. Et notre infidélité au mariage avec Dieu, est notre éloignement. Dieu n’est jamais éloigné de nous, mais nous nous éloignons de lui.
« Le Seigneur, le Dieu de leurs pères, sans attendre et sans se lasser, leur envoyait des messagers, car il avait pitié de son peuple et de sa Demeure, » nous dit le livre des Chroniques. « Mais eux tournaient en dérision les envoyés de Dieu, méprisaient ses paroles, et se moquaient de ses prophètes. » Assurons-nous d’être à l’écoute du bon sens qu’il y a dans notre Église. Depuis deux mille ans, notre Église suit Jésus et nous offre les moyens de toujours demeurer avec Lui.
Saint Paul nous dit : « Nous qui étions des morts par suite de nos fautes, il nous a donné la vie avec le Christ : c’est bien par grâce que vous êtes sauvés. » Nous reculons lorsque nous agissons comme si Jésus n’est pas dans notre vie, comme si Jésus n’est pas notre Seigneur, comme si Jésus ne conduit pas son Église et qu’il ne conduit pas son peuple, comme si l’Amour n’est pas notre unique but. Nous nous « a-mort-issons, » nous devenons morts à la Sagesse de Dieu et de son Église lorsque nous pensons avoir tout réglé et que nous sommes bien installés dans notre vie. Le danger est là, le danger, c’est lorsque nous pensons que nous n’avons plus rien à accomplir au nom de Jésus et que nous pensons avoir déjà tout réalisé en notre nom propre.
Nous devons nous attendre à du changement, à nous dépouiller de tout ce qui ne vient pas de Dieu, le pape François en parle constamment, nous sommes en 2024, nous devons nous attendre à ce que le Saint Esprit nous dérange, et vide nos tables bien garnies. Alors là, seulement là, la joie de Dieu va se réaliser dans notre vie.
Jésus a aussi été dérangé pendant sa vie, il n’a pas eu une vie qui était de tout repos, et il s’est confronté à un monde trop souvent sans Dieu. Jésus a Aimé, Jésus nous Aime encore. Saint Jean nous le dit clairement : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. » Croyons que Dieu nous Aime.
Jésus a pris soin de nous et il nous invite à prendre soin les uns des autres. Dans la lettre du pape François, La joie de l’Évangile, il nous dit : « Que tous puissent admirer comment vous prenez soin les uns des autres, comment vous vous encouragez mutuellement et comment vous vous accompagnez (…). Le témoignage de communautés authentiquement fraternelles et réconciliées, cela est toujours une lumière qui attire. » La joie de l’Évangile # 99-100.
Encourager, admirer la présence du Christ dans la vie, les gestes, les paroles de chaque personne, prendre soin les uns des autres en étant authentique et fraternels. Voilà, ce qui est une communauté qui laisse la joie de l’Évangile passer, la joie de l’Esprit Saint passer comme un bon coup de vent sous le soleil l’été. Une bise de joie qui fait du bien à nous et aux personnes autour de nous chaque jour de notre vie. Dieu ne condamne personne, nous ne condamnons personne, nous vivons dans la joie du Cœur de Dieu.
Pendant cette Eucharistie, choisissons la Table de Dieu, l’Autel où il se sacrifie pour nous, en ce moment, où il nous donne sa vie et par laquelle il nous sauve du mal et nous garde unis en son Royaume, dès maintenant. Permettons au Christ Eucharistie de nous garder dans sa joie.