A propos du guide ou père ou directeur spirituel

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Re: A propos du guide ou père ou directeur spirituel

par Marc Oh » lun. 18 sept. 2017, 13:39

Philon a écrit :
dim. 17 sept. 2017, 16:58
Je me demande donc où trouver le bon guide .
C'est le Christ que vous décrivez, on ne le trouve pas, il vient à vous. Le convertie s'oublie pour laisser vivre le Christ en lui. Je pense comme vous que c'est un consacré qui est le moins susceptible d'être "intéressé" à diriger spirituellement. Évidement le désintéressement parait indispensable.
Je ne pense pas que des livres puissent suffire car ce n'est plus l'autre mais vous même qui risquez d'être "intéressé". C'est très tentant de sa propre cuisine à son goût!
Evidement on fait comme on peu!
bonne journée

Re: A propos du guide ou père ou directeur spirituel

par Philon » dim. 17 sept. 2017, 16:58

Bonjour,
je prends ce fil en retard e en route...il me semble que le guide doit être un homme d'église, un religieux, un prêtre.
Ce devrait être un consacré.
Parfois même je me demande si les livres des saints ne suffiraient pas car les prêtres ont parfois des failles, des défauts. Ils peuvent réagir d'une "drole de manière".
Cela m'est arrivé une fois d'avoir été si meurtrie par l'agressivité des propos d'un prêtre en confession ( à propos de mes parents, j'espérais POUVOIR lui parler d'une thématique de pédophilie dans mon enfance et il a coupé court, je me suis faite engueuler) que je me suis éloignée pendant plusieurs années de l'Eglise.
J'ai fait aussi de mauvaises expériences avec des personnes qui voulaient évangéliser. Quand ce sont des personnes non consacrées, des personnes comme vous et moi, des copains, des amies...eh bien je pense que ce n'est pas conseillé qu'ils' ou elles deviennent des guides. L'humain a tendance à l'orgueil.
Qui résiste à la tentation de se sentir "fier" ou "mieux que les autres" dès lors qu'on en fait son guide spirituel ?
Il m'est arrivé de choisir de tels guides qui se proposaient, qui évangélisaient et répondaient à mes questions mais j'ai bien senti peu à peu que quelque chose n'allait pas. Ils me faisaient la leçon, ils "savaient" mieux que moi comment on devait vivre au quotidien, je me faisais reprendre pour des détails. j'ai senti qu'ils se sentaient supérieur et que certaines idées n'étaient pas admises. Du coup j'ai éprouvé colère, rancune et rivalité, jalousie.
Je me demande donc où trouver le bon guide .

Re: A propos du guide ou père ou directeur spirituel

par Marc Oh » dim. 10 sept. 2017, 19:09

Cher Vianney,

Attention aux illusions et tromperies de tout genre. Vous vous êtes confessé honnêtement: vous êtes en état de grâce. Vous ne pensez tout de même pas que l’ennemi va vous laisser tranquille! Il n'est pas content du tout car il a moins de prise sur vous. Personnellement à chaque nouveau "palier" vers le Seigneur les tentations redoublent. Vivre dans la joie est de mon humble avis la meilleur parade en plus bien sur de la plus élémentaire prudence.

A bientôt, en Christ.

Re: A propos du guide ou père ou directeur spirituel

par Vianney 61 » dim. 10 sept. 2017, 4:40

Je me suis reconfessé aujourd'hui en suivant vos recommandations. Cette fois j'ai été très précis dans l'aveu de mes fautes, sans égard à la gêne qui s'installe.

Je me sens repentant et soulagé, mais pas nécessairement en parfait état de grâce .
Tout comme on dit avant la communion que nous ne sommes pas digne de recevoir le Seigneur, cela veut-t-il dire que personne n'est en parfait état de grâce ? Est-ce qu'on se sent toujours ainsi même après des années de pratique et de prières ?
On se sent tout petit face à lui. Le repentant que je suis a pleuré pendant le Gloria au début de la messe.

L'église où je vais porte le nom de Marie-Madeleine, et elle date de 1845.

Re: Confesseur et père spirituel

par Marc Oh » mar. 05 sept. 2017, 15:48

Bonjour,

J'ai un directeur spirituel qui me confesse fréquemment lors de nos entretiens. Mais à l'occasion je n’hésite pas à voir un autre prêtre pour me confesser lorsque le besoin se fait sentir. Avant ce que l'on peu appeler une conversion je ne faisais que me confesser et je me rend bien compte que la confession est indispensable mais pas suffisante. Il faut trouver la bonne personne ce qui ne semble pas simple.

Concernant le détail de la confession, mon directeur dit qu'il ne faut pas rouvrir les blessures en détaillant trop ses fautes. Personnellement j'ai expérimenté que des très vieux péchés mal confessé (escamoté derrière un terme générique) pouvait être un obstacle au bonheurs de se sentir pardonner. Je m'en suis rendu compte en osant détailler 20 ans après les forfaits et en me sentant très allégé.

A bientôt

Re: Confesseur et père spirituel

par Vianney 61 » dim. 03 sept. 2017, 0:30

Merci Altior pour ces explications.
Je vais méditer là-dessus...sérieusement . :saint:

Re: Confesseur et père spirituel

par Altior » sam. 02 sept. 2017, 12:49

Vianney 61 a écrit :
sam. 02 sept. 2017, 4:37
Est-il vraiment nécessaire d'entrer dans tous les détails de nos péchés lorsqu'on se confesse ?
La réponse est de type médiane. Naviguer entre Scylla et Charybde. D'un côte, la confession est complète si on avoue les péchés mortels dont on garde le souvenir depuis la dernière confession en leur espèce et en leurs nombres. Point barré. Par exemple: «j'ai fais trois fois le péché de vanité».
D'un autre côté, la but de la confession n'est pas seulement l'absolution et la restauration de l'état de Grâce sanctifiante qui vient avec, car s'il s'était seulement ça, pas besoin de se confesser du tout, il serait suffisant de profiter des absolutions collectives. Il faut distinguer entre «confession» et «sacrement pénitentiel». Le but de la confession est aussi notre progrès spirituel. Pour cela, il faut fournir au confesseurs les détails-clés dont il a besoin pour se rendre compte de notre maladie. En tant que médecin j'ai besoin pas seulement que mes patient me disent «j'ai eu mal au ventre trois fois depuis la dernière consultation». Je ne saurais pas très précisément quel avis leur donner et je me limiterais aux conseils diététiques d'ordre très général que, d'ailleurs, chacun peut trouver sur la toile sans le besoin de consulter le docteur pour cela. Par contre, si quelqu'un me dit «j'ai eu mal au ventre trois fois, toujours une heure après avoir mangé de la mayonnaise», alors, là c'est un détail-clé qui me permet de me rendre mieux compte de quelle maladie pourrait-il s'agir et j'ai les éléments soit déjà de donner un conseil personnalisé, soit de poser des questions ciblés.

Il est de même pour le docteur des âmes qui est le confesseur. Reprenons l'exemple. «J'ai commis trois fois le péché de vanité, chaque fois perdant une demi-heure dans la salle de bain pour faire ma frisure» c'est une chose, tendis que «J'ai commis trois fois le péché de vanité, chaque fois achetant des tee-shirts que je n'ai jamais portés et dont je n'ai pas besoin» c'est une autre chose. Dans le premier cas nous avons une souffrance spirituelle d'une nature, dans le deuxième une autre, d'autre nature. En présentant des détails il faut éviter l'autre extrême: de donner des détails sans aucune relevance. Il ne s'agit pas, dans une confession, de «raconter des histoires», mais de fournir au confesseur les circonstances qui pourraient être révélatrices: ces circonstances particulières. Autrement, son exhortation sera d'ordre trop général, de peu d'utilité et finalement ennuyeuse et nous seront tenté de penser: «alors, ce gars-là ne pourrait-il pas nous donner l'absolution plus vite ?».
D'ordinaire je me confesse ainsi devant le prêtre: "Je demande pardon au seigneur Jésus Christ pour mes égoïsmes, mes rancunes, mes faiblesses, mon impatience, ma gourmandise, mes jugements, ma paresse", sans entrer dans les détails sauf si le prêtre en fait la demande.
C'est un peu vague, à mon avis. Il ne faut pas oublier que le péché est un acte et non un état d'esprit, ni une tendance. On ne dit pas «je suis menteur», car nous sommes tous. En disant «j'ai menti» c'est déjà beaucoup mieux, car alors la contrition commence à être plus évidente. L'âme donne signe de vie lorsqu'elle devient consciente du péché. Mais encore mieux c'est de dire: «j'ai menti de nouveau mes supérieurs, en rapportant comme accomplies des charges de travail que je n'avais pas accompli». Cela est un élément-clé.
Je me dis que Dieu est témoin des détails.
D'accord. Mais il veut être pas seulement témoin. Il veut vous voir guéri. Il fait cela par le biais de son ministre, le confesseur, qui doit avoir les éléments pour une exhortation ciblé et un canon de pénitence adapté. Alors, donnez à Dieu les moyens de vous guérir. Ne lui dites pas seulement «vous savez, Seigneur Jésus, je suis un peu malade de lèpre», mais montrez-lui les plaques de votre éruption qui fait que votre maladie soit la vôtre.

Re: Confesseur et père spirituel

par Vianney 61 » sam. 02 sept. 2017, 4:37

ma7 a écrit :
lun. 08 sept. 2014, 17:40
Bonjour à tous,
Je vous sollicite car, il y a deux jours j'ai confessé de très gros péchés et j'ai oublié d'en citer quelque uns très graves,
Est-il vraiment nécessaire d'entrer dans tous les détails de nos péchés lorsqu'on se confesse ?
D'ordinaire je me confesse ainsi devant le prêtre: "Je demande pardon au seigneur Jésus Christ pour mes égoïsmes, mes rancunes, mes faiblesses, mon impatience, ma gourmandise, mes jugements, ma paresse", sans entrer dans les détails sauf si le prêtre en fait la demande.
Je me dis que Dieu est témoin des détails.
Je n'ai pas le sentiment d'avoir oublié certains péchés en quittant le confessionnal.

Je n'ai aucune idée de la façon dont les autres se confessent. Je demanderai à mon prêtre si ma façon de faire est correcte. :incertain:

Re: Confesseur et père spirituel

par Amandina » ven. 01 sept. 2017, 22:37

Merci, Altior, pour vos explications.

J'avais du mal à comprendre la différence. Effectivement , le confesseur, directeur spirituel, peut suivre la personne dans son cheminement vers Dieu .

Pendant longtemps mon confesseur était l'abbé Untel ou l'abbé Machin. Aujourd'hui, j'ai le même confesseur qui se préoccupe de l'état de mon âme , c'est fou le bien que cela apporte !

Maintenant , je réalise et je peux vous dire que mon confesseur est aussi mon directeur spirituel . Je le rencontre généralement une fois par mois , je ressors de cette confession -direction spirituelle changée, lavée, regonflée ! J'ai appris grâce à ce prêtre à essayer d'être moi-même sans embarras.

Merci aussi pour votre témoignage et courage pour la suite de votre parcours sur le chemin avec Jésus -Christ .

Re: Différence entre confesseur et directeur spirituel

par Altior » ven. 01 sept. 2017, 0:52

Amandina a écrit :
jeu. 31 août 2017, 22:07
Quelle est la différence entre un confesseur et un directeur spirituel ?
Un confesseur est quelqu'un qui, ayant un mandat de Jésus Christ, écoute nos péchés et nous pardonne (ou bien, dans des cas plus tristes, il reporte ou il défère notre pardon).
Un directeur spirituel est quelqu'un qui nous aide à progresser en Christ par d'autres moyens, dont les plus usuels sont: il clarifie nos questions, il répond à nos doutes, il nous recommande certaines lectures, il nous met en garde d'éviter certains dangers, il nous propose des exercices spirituels, il nous apprend à prier et il prie avec nous.
Un confesseur peut -il être un directeur spirituel ou vice versa ?
Un confesseur peut être un directeur spirituel, il est même le mieux placé pour l'être. Mais il se peut qu'il n'ait pas toujours le temps de le faire.
Un directeur spirituel peut aussi être confesseur, à condition qu'il eût reçu cette faculté (il doit être prêtre et avoir reçu la faculté de confesser de la part de son évêque).
Est -il souhaitable d'avoir un directeur spirituel et pourquoi ?
Il est toujours souhaitable (pour les adultes) d'avoir un directeur spirituel. Surtout en cas de crise spirituelle. Par exemple, j'ai senti ce besoin lorsque je me suis posé la question de devenir catholique. Car j'avais des questions, j'avais des doutes et je ne savais pas avec qui je pourrais parler. Je ne savais même pas où se trouve une église catholique (j'habitais un pays majoritairement orthodoxe, où il n'y a pas des églises catholiques dans tous les coins comme en France). Je ne savais absolument rien sur le catholicisme (sauf quelques préjugés habituels chez les orthodoxes), je ne savais aucune prière catholique (hormis «Notre Père», qui est dans la Bible). Le bon Dieu m'a fourni rapidement exactement le directeur spirituel dont j'avais besoin. Avec une patience formidable, il m'a guidé, il m'a fait un plan de lecture, il m'a montré un chapelet et à quoi ça sert, il a fait de telle manière que j'ai répondu seul à toutes mes question, appliquant la technique socratique de poser des questions-clé et de laisser le disciple apparemment tremper seul dans la problématique jusque quand il voit la solution.

Je n'étais pas le seul de ses disciples (quoiqu'il nous recevait chaque fois un par un). Un autre, qui était ingénieur et avait 50 ans, est devenu prêtre et maintenant il est son successeur en tant que curé.

Fraternellement en Christ,
A.

Différence entre confesseur et directeur spirituel

par Amandina » jeu. 31 août 2017, 22:07

Bonjour à tous ,

Quelle est la différence entre un confesseur et un directeur spirituel ?

Un confesseur peut -il être un directeur spirituel ou vice versa ?

Est -il souhaitable d'avoir un directeur spirituel et pourquoi ?

Père spirituel

par PaulineL » dim. 13 août 2017, 22:51

Bonjour à tous,
Je suis nouvelle sur ce forum, je ne sais pas trop si ma publication correspond au sujet mais je tente quand même. Depuis plusieurs jours je discute avec un jeune diacre et je trouve que Le courant passe plutôt bien etre nous. Je voudrais qu'il soit mon père spirituel mais je ne sais pas comment les choses "se font "dans ce cas :est-ce que je dois lui demander directement ? Est-ce-que c'est trop tôt ?
Qu'en pensez vous ?
Pauline

Re: Est-il nécessaire ou pas d'avoir un guide spirituel ?

par Géraldine » mar. 14 juin 2016, 10:41

:coeur: :) Merci Marc Oh de ce que vous dites.... J'ai encore plus d'années derrière moi.
Il faut aller à 60 km de la capitale chez nous et sans voiture avec les trains en grève, une gare qui n'avance pas......bref j'epargne tous les couacs de notre pays!
Bien sûr que vous serez dans mes prières...la Tradition se perd ici.
Mais je laisse à Dieu le soin de remettre l'Eglise debout......
Passez une bonne journée.
Et merci.
Géraldine.

Re: Est-il nécessaire ou pas d'avoir un guide spirituel ?

par Marc Oh » mar. 14 juin 2016, 10:22

Bonjour Géraldine, excusez moi visiblement mon message était ambiguë. Je suis extrêmement content, merci Seigneur, de mon directeur spirituel qui m'est tombé du ciel alors que je n'en cherchais même pas un (du moins consciemment). J'en avais bigrement besoin et je ne le savais pas pourtant j'ai 50 balais de pratique religieuse assidue derrière moi, des épreuves des plus terribles, j'aurai dû le savoir... Une religieuse, je fréquente les communautés religieuses de mon secteur pour la liturgie des heures, m'avait juste dit vous deviez vous en trouver un. L'idée à alors fait son chemin.
Griffon a écrit :Et aussi, n'hésitez pas à vous tourner vers les communautés traditionnelles.
Demandez au père abbé ou à la mère prieure de vous désigner un frère ou une sœur.
:clap: oui cher Griffon, nos frères et sœurs conscrés qui pour certain(nes) se coupe du monde, contribuent à notre vie. Ils ont un recul des plus appréciable et moins de distractions que nous autres et donc n'oublie pas l'essentiel. Aussi nous devons apprendre à vivre avec eux, Ils sont le cœur de l’Église et leur principale occupation est la liturgie des heures, c'est LA prière de l’Église auquel, chacun d'entre nous est invité. Contrairement à ce que beaucoup de personne celà NOUS concerne tous (dixit Vatican II si on veux bien lire son message et pas ce qui nous arrange dans notre mondanité).

Géraldine, j'ai lu ce que vous avez écrit et aussi je vais vous faire part de mon ressentie. Contrairement à ce que vous dite et à mon avis, il ne manque pas de prêtre mais de chrétien. Les prêtres assez pour le plus grand nombre naissent dans des familles chrétiennes où il apprennent à ouvrir leur cœur aux appels du Seigneur. Ils manque cruellement de ces familles.
Pour trouver des prêtres il faut les chercher plus qu'avant car il sont noyés dans notre société qui non seulement n'est plus chrétienne mais est apostat et souvent antichrétienne.
A la réflexion éventuelle qu'il n'y a pas assez de prêtre pour assurer les directions spirituels, je rétorquerai que la direction spirituelle fait gagner du temps et de l'efficacité à l'action des pasteurs. S'il me demandai quelque-chose pour l’Église, comment pourrai je lui dire non? D'autre part je passe beaucoup moins de temps en confession car je vais droit au but et aussi le pêcheur que je suis chute beaucoup moins. Les prêtres religieux sont surement de plus en plus sollicité, mais les plus âgés ceux qui se déplace difficilement... De plus je trouve que nous passons des moments très agréable ensembles. Je pense que c'est un immense satisfaction pour les prêtres ou autres de contribuer à l’œuvre salvatrice.
La problématique est similaire pour les assemblées dominicales en attente d'un prêtre. J'ai habité à la campagne, si on est capable de faire 20 km pour trouver l'hypermarché de ses rêves, on peu le faire aussi pour la messe dominicale. Même si elle est tout les mois. La messe dans tout les village aujourd'hui c'est un schéma bon pour la Pologne qui par le martyre et son terreau a eu une bonne récolte. La France (et d'autres pays( paie(nt) le prix de ses reniements (NB de nos reniement, je suis un renégat et un apostat comme St Pierre), que le Seigneur la prenne en pitiés.
Une autre réfection, l’Église relève le meilleur d'elle même lorsqu'elle minoritaire, encore plus si elle est persécutée. Les martyres sont un terreau pour les saints.
C'est une épreuve et une triste choses, mais regardons ce qu'il y a de positif: Nous sommes minoritaires, persécutés... mais demain quelle gloire nous attend, mais aujourd'hui quel espérance nous retrouvons! Ce monde est terrible: n’attendons pas pour vivre de notre vivant le royaume de Dieu.

à Bientôt, je comte sur vos prières comme vous pouvez, chère Géraldine, compter sur la mienne. (j'ai fréquenter une communauté de bénédictine à Liège il à fort longtemps, la Belgique est une terre chrétienne glorieuse.)

Re: Est-il nécessaire ou pas d'avoir un guide spirituel ?

par Géraldine » lun. 13 juin 2016, 18:06

Bonjour Marc Oh!

Vous avez quelqu'un qui,à vos dires, ne travaille pas le spirituel comme vous le voudriez?
Entend- il bien?
S'il est octogénaire et dur d'oreille, il se peut qu'il vous dise des bases principales, je ne sais pas....... Si vraiment vous ne savez quoi, trouvez en un moins âgé.
Ce prêtre est peut être fatigué,tout simplement et sans doute ne se souvient il plus ce qu'il vous a dit auparavant...... Je n'en sais rien.
Je n'ai pas encore trouvé, pour ma part.....
Bonne chance, ne désespérez pas.
Géraldine.

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