Alors la Sainte Messe en latin ou en français ?

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Alors la Sainte Messe en latin ou en français ?

Message non lu par monachorum » jeu. 29 sept. 2005, 13:39

Que pensez-vous de la messe en latin. Personnellement je l'ai toujours préféré à celle en français. J'y suis très attaché pour plusieurs raisons notamment celle qui est que le latin est la langue de l'Eglise Catholique. Respect des traditions, rite de la messe d'après l'ordo de St Pie V (ou Paul VI).

Alors la Sainte Messe en latin ou en Français ?

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Hélène
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Message non lu par Hélène » jeu. 29 sept. 2005, 15:38

Il est bien difficile pour moi de répondre à cette question n'ayant jamais eu accès de ma vie à une messe en latin ! Au Québec, l'amnésie spirituelle est si impressionnante que nous avons même du mal à trouver une Messe en français, respectueuse de l'enseignement de l'Église (si vous saviez les aberrations dont je suis témoin quotidiennement). Longue vie à Monseigneur Ouellet à Québec ! Mais je n'ai pas accès...je suis de Montréal et c'est 3 heures de route (seulement, je suis sûre que l'Esprit Saint saura inspirer notre Église locale éventuellement...). Et pourtant, la devise de la belle province est bien "Je me souviens". Lentement, nous revenons à l'enseignement "liturgiquement correct" mais l'influence protestante et les dérives à gogo des années '70 sont encore très fortes. Par ailleurs, j'apprécie, lorsque je vais dans votre beau pays, les chants et les prières en latin. Je trouve cela très beau... mon latin est si pauvre que j'aurais besoin de la traduction pour toutes les devises en latin inscrites sous les messages des intervenants de ce forum ! :)

Si quelqu'un se porte volontaire pour m'enseigner à distance... :lol:
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Message non lu par wanderer » jeu. 29 sept. 2005, 19:21

Pour moi, je pense qu'il faut chanter en latin l'Agnus dei, le gloria et toutes les prières facilement compréhensibles par les fidèles. C'est une question d'unité de l'Eglise et de bon goût. Le latin est une langue très belle, aux sonorités magnifiques et elle invite au recueillement et à la prière. En revenche, il y a des passages comme le confiteor que l'on se retrouve à dire à toute vitesse et sans rien y comprendre pendant une messe en latin et là, je trouve que c'est une faute liturgique très grave. Je suis pour ma part pour un retour intelligent du latin dans la liturgie, ce qui inclut une messe entièrement en latin, mais seulement pour ceux qui le comprennent. Il faut penser aux gens faibles dans la foi qui ont besoin de comprendre ce qui se passe pour monter vers Dieu. Je m'inclus dans cette catégorie... :oops:

Wanderer

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Message non lu par monachorum » ven. 30 sept. 2005, 15:32

Hélène Bourgeois,

C'est bien triste ce que vous nous dîtes. Il est vrai que le concile à engendré des prises de positions dans l'exercice de la Messe qui peuvent parfois dérouter. Je trouve quand à moi que ce sont les chants chantés dans les Eglises qui me peinent tant les mélodies et le style utilisé est bien pauvre. Mais l'important est le message véhiculé.

Vous savez en France, trouvez dans une Eglise une Messe en latin équivaut souvent à avoir beaucoup de chance. Heureusement qu'il y a encore des monastères qui ont su gardés la tradition.


------------------

Wanderer,

Je pense qu'effectivement si les fidèles ne comprennent absolument rien du latin c'est un peu difficile pour arriver à suivre. Néanmoins, on peut trouver dans les missels le texte en latin avec à côté la traduction en Français. Chacun peut ainsi arriver à suivre plus simplement.


En Christ sauveur,

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Message non lu par Hélène » ven. 30 sept. 2005, 17:23

Je prends pour nous les reproches que le Seigneur nous adresse dans l'Évangile d'aujourd'hui...Corazine, Bethsaïde, Capharnaüm... c'est nous...nous ne sommes pas "bien heureux"...nous sommes "mal heureux". Nous sommes devenus froids, tièdes...bof...à quoi bon ?

Ça me fait penser à ce texte que j'avais lu dans un bouquin écrit par un prêtre québécois, Christian Beaulieu :
À quoi pourrait-on encore comparer l'humanité d'aujourd'hui ? À Marie-Madeleine au jardin le matin de Pâques, près du tombeau trouvé vide. Elle a perdu celui qu'elle aimait. Elle en est folle de douleur. Elle tourne en rond: elle ne sait où donner de la tête.

"On a enlevé mon Seigneur. Je ne sais pas où on l'a mis. Si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis !"

L'humanité est devant un tombeau vide, devant un grand abîme, devant un immense trou. Elle attend quelqu'un, une présence, un amour, une douceur. Elle se tord de douleur. Elle a un cri: "Où l'avez-vous caché, où l'avez-vous mis, enterré, celui que mon coeur aime ? Dites-nous, que nous allions le chercher et le trouver ! Vous nous l'avez volé, pris. Vous êtes des voleurs..."

Et c'est le cri de l'humanité désabusée devant les croyants:"Qu'en avez-vous donc fait du Christ ressuscité ? Vous qui dites avoir la Lumière, l'auriez-vous placée sous des tonneaux ? Vous qui dites avoir l'Amour, l'auriez-vous perdu en chemin ? Vous qui dites avoir l'Évangile de la joie, mais où la cachez-vous donc votre joie explosive ? Qu'avez-vous fait de cette bombe, de cette dynamite qu'est l'Évangile ? Vous seriez-vous assis dessus ?"

Auriez-vous mis au frigidaire le Ressuscité ? Auriez-vous congelé le Feu ? Vous en êtes bien capable ! Auriez-vous refroidi le Soleil ? Auriez-vous gelé l'Amour ? Auriez-vous tué toute Joie ?

(Christian Beaulieu, ptre, Ma blessure est tendresse, Éditions Le Renouveau, p. 39-40)
Jésus nous dit dans l'Apocalypse qu'il vomit les tièdes...oh mon Dieu, fasse le Ciel que nous soyons en Feu !
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Message non lu par wanderer » ven. 30 sept. 2005, 18:01

Je pense qu'effectivement si les fidèles ne comprennent absolument rien du latin c'est un peu difficile pour arriver à suivre. Néanmoins, on peut trouver dans les missels le texte en latin avec à côté la traduction en Français. Chacun peut ainsi arriver à suivre plus simplement.
J'ai vu des mamies qui utilisent sans doute ce missel depuis toujours ne plus savoir où on en était tout en l'ayant en mains. Pour moi, j'ai mis environ trente messes pour y arriver et je me perds encore parfois. C'est objectivement très dur à suivre. Trop?

Wanderer

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Message non lu par Christian » sam. 01 oct. 2005, 10:08

Le latin est la langue maternelle de notre Eglise et je n’ai jamais très bien compris pourquoi elle l’avait abandonné. J’en ai retrouvé la force et la poésie sous une pluie de fin du monde, la boue jusqu’aux mollets, à mon premier pèlerinage de Chartres (celui qui marche dans le bon sens !) :wub: et j’ai récidivé les années suivantes moins pour le sport que pour redire ces mots exacts qui furent répétés par mon peuple à travers le monde pendant deux mille ans.

Cela dit, l’argument des partisans de la langue vernaculaire n’est pas nul. Dans ma paroisse londonienne, au début de chaque messe, à la demande du célébrant, chacun se présente à son voisin, partage les nouvelles de la semaine, et le fidèle de passage est chargé des meilleurs vœux à transmettre à sa communauté. On échange à nouveau la paix du Christ après le Notre Père, et on se retrouve encore pour un café à la fin de l’office. Cette convivialité détonnerait à mon avis dans une célébration en latin. La solennité ne peut éviter la distance lorsqu'on ne se connaît pas. Superficiellement, cette langue qui fut commune à la chrétienté, du moins pour les lettrés, donne l’impression de participer au même sacrifice à Londres et à Mexico, à Cracovie et à Manille ; dans la réalité, elle ne rassemble plus. Peut-être faut-il laisser les deux traditions coexister, jusqu’à ce que, oserais-je le dire, le marché, c'est-à-dire, notre pratique, décide. ;-)
Dernière modification par Christian le dim. 02 oct. 2005, 10:54, modifié 1 fois.

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Message non lu par MB » dim. 02 oct. 2005, 1:17

Si le latin est considéré comme la langue "par excellence" de l'Eglise catholique, c'est uniquement par contingence historique. Au début, on a commencé avec le latin, le grec, et les langues orientales ; par la suite, le latin étant la langue écrite et la langue des intellectuels dans la plupart des pays de l'Occident barbare, on l'a utilisé par facilité. Puis on s'y est habitué.
Il n'y a pas de langue sacrée, comme l'arabe en Islam ; ce qui compte c'est ce qu'on dit.

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Message non lu par Bartalin le fou » mar. 25 oct. 2005, 15:58

Un autre intérêt de l'usage du latin à la messe, c'est qu'il montre qu'elle s'adresse d'abord et avant tout à Dieu. C'est aussi la raison pour laquelle le célébrant dans la messe de Saint Pie V est tourné vers l'Orient, vers Dieu, et non vers les fidèles. Tous sont tournés ensemble vers le Seigneur pour lui offrir le Sacrifice. Car la messe est un Sacrifice avant d'être un repas, et cela est admirablement mis en valeur dans la messe dite "traditionnelle".

Dans le Christ

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Message non lu par VexillumRegis » mar. 25 oct. 2005, 17:44

[align=justify]Bonsoir,

Personnellement, je suis la Messe de la Communauté saint Martin à Saint-Raphaël (83). Cette communauté est l'une des seules en France (voir ici) à célèbrer en latin et en chant grégorien selon le rite de Paul VI (et non le rite de saint Pie V, toujours célébré dans cette langue et assez répandu dans l'hexagone). C'est une liturgie d'une "noble simplicité" (selon le voeu de Paul VI), très belle et propre à inspirer une dévotion profonde envers le Saint Sacrifice de la Messe.

La réforme conciliaire n'a nullement supprimé l'usage du latin, bien que dans les faits ce soit malheureusement l'un de ses fruits malheureux - en France du moins. L'intérêt premier du latin est son universalité : que l'on soit en France, dans un autre pays européen ou à l'autre bout du monde, quelqu'un qui a suivi fréquemment la liturgie latine ne sera point perdu s'il entend la Messe dans cette langue, tandis qu'il ne s'y retrouvera pas si elle est au contraire célébrée dans une langue vulgaire qu'il ne connait pas.

Je crois qu'il serait bon de réintroduire progressivement le latin, au moins dans les parties de la liturgie les plus essentielles (Credo, Gloria, Pater...).

In Christo,

- VR - [/align]

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Message non lu par Bartalin le fou » mar. 25 oct. 2005, 20:18

Je crois qu'il serait bon de réintroduire progressivement le latin, au moins dans les parties de la liturgie les plus essentielles (Credo, Gloria, Pater...).
....dans le canon tout simplement...

In X

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Message non lu par Bartalin le fou » mar. 25 oct. 2005, 23:10

je ne parle pas latin et à la messe j'aime bien pouvoir comprendre ce qui se dit et y réfléchir un minimum.
...le latin ne m'a jamais empêché de comprendre ( le missel est fait pour ça), et même il peut inviter à se pencher avec plus d'attention sur le sens de la liturgie. Tous ceux qui aujourd'hui vont à la messe en latin n'y participent pas sans rien comprendre!
la messe entière en latin , je trouverai ça glauque.
...faut essayer avant de se prononcer. C'est d'ailleurs étonnant mais les messes dites "traditionnelles" attirent surtout les jeunes, dont je fais partie... elle est une messe résolument moderne dans le monde d'aujourd'hui.
une paroisse doit toujours prendre garde à rester accessible...
... ces messes ne sont pas des ghettos élitistes... Le latin n'est pas une barrière, ni à la compréhension, ni surtout à l'essentiel de la messe, qui s'adresse avant tout à Dieu.

Je vous invite à essayer, guidé par un missel, ou encore mieux, par un ami, ou une bonne âme, au moins pour vérifier que ces messes ne sont pas glauques!

In Christo

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Message non lu par Charles » mer. 26 oct. 2005, 0:15

Quand je vais à la messe en Espagne, en Italie, aux Etats-Unis... j'aimerais bien comprendre ; dommage qu'à l'époque des voyages et de la mondialisation, nous ne puissions partager la messe dans une même langue.

De plus la masse de travail nécessaire à manipuler un ordinateur et internet est très certainement très supérieure à celle qu'il faut pour assimiler la traduction d'une messe en latin...

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Message non lu par sola » mer. 26 oct. 2005, 15:19

:) je signe derrière wanderer. textes en français, chants en latin, ou chants grégoriens, ce serait bien.

pour wanderer d'ailleurs: je suis en train de lire un bouquin qui s'appelle "témoignages de cloîtrées", les bonnes soeurs ont autant de mal que moi à entrer en prière avec les chants qui accompagnent la liturgie actuelle. c'est rassurant. :heart:
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Message non lu par wanderer » mer. 26 oct. 2005, 16:10

pour wanderer d'ailleurs: je suis en train de lire un bouquin qui s'appelle "témoignages de cloîtrées", les bonnes soeurs ont autant de mal que moi à entrer en prière avec les chants qui accompagnent la liturgie actuelle. c'est rassurant.
Ou alors c'est dramatiques pour ceux qui perdent la pratique dominicale à cause de ça...
L'heure de Jésus veut devenir notre heure et elle le deviendra, si nous-mêmes, par la célébration de l'Eucharistie, nous nous laissons entraîner dans ce processus de transformations que le Seigneur a en vue. L'Eucharistie doit devenir le centre de notre vie. Ce n'est ni positivisme ni soif de pouvoir, si l'Eglise nous dit que l'Eucharistie fait partie du dimanche. Au matin de Pâques, les femmes en premier, puis les disciples, eurent la grâce de voir le Seigneur. Depuis lors, ils surent que désormais le premier jour de la semaine, le dimanche, serait son jour à Lui, le jour du Christ. Le jour du commencement de la création devenait le jour du renouvellement de la création. Création et rédemption vont ensemble. C'est pour cela que le dimanche est aussi important. Il est beau qu'aujourd'hui, dans de nombreuses cultures, le dimanche soit un jour libre ou, qu'avec le samedi, il constitue même ce qu'on appelle le "week-end" libre. Ce temps libre, toutefois, demeure vide si Dieu n'y est pas présent. Chers amis! Quelquefois, dans un premier temps, il peut s'avérer plutôt mal commode de devoir prévoir aussi la Messe dans le programme du dimanche. Mais si vous en prenez l'engagement, vous constaterez aussi que c'est précisément ce qui donne le juste centre au temps libre. Ne vous laissez pas dissuader de participer à l'Eucharistie dominicale et aidez aussi les autres à la découvrir. Parce que la joie dont nous avons besoin se dégage d'elle, nous devons assurément apprendre à en comprendre toujours plus la profondeur, nous devons apprendre à l'aimer. Engageons-nous en ce sens - cela en vaut la peine! Découvrons la profonde richesse de la liturgie de l'Eglise et sa vraie grandeur: nous ne faisons pas la fête pour nous, mais c'est au contraire le Dieu vivant lui-même qui prépare une fête pour nous. En aimant l'Eucharistie, vous redécouvrirez aussi le sacrement de la Réconciliation, dans lequel la bonté miséricordieuse de Dieu permet toujours un nouveau commencement à notre vie.
Un texte exceptionnellement profond à découvrir ici

http://www.vatican.va/holy_father/bened ... ay_fr.html

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