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Message non lu par sola » lun. 16 mai 2005, 12:27

:roll: oui, euh les apôtres étaient combien? 12 ou 13? c'est le seul référent qui me vienne à l'esprit pour ce 13 têtu... bien mystérieux et auquel je ne vois pas de sens non plus... :unsure:
*sola*
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Message non lu par LumendeLumine » lun. 16 mai 2005, 16:58

Bonjour cher Christophe,

Pour répondre à votre question, je dirais que nous voyons, en ces coïncidences, un petit clin d'oeil de la part de Dieu; ici rien de capital peut-être: à mon avis, dans ce cas particulier, on peut dire que comme tous ces treizes concordent avec la date d'apparition de la Vierge à Fatima, la confiance que le Pape avait mis en Marie a été bien reçue de l'autre côté !

Bien sûr tout cela est sujet à interprétation...
Je vous laisse en tirer vos propres conclusions :)

Amicalement dans le Christ,
LumendeLumine

mgls
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Un magnifique diaporama sur Jean-Paul II

Message non lu par mgls » dim. 29 janv. 2006, 15:47


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VexillumRegis
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Message non lu par VexillumRegis » dim. 29 janv. 2006, 16:59

Très belles photos, en effet !

- VR -

jean_droit
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Jean Paul II

Message non lu par jean_droit » jeu. 30 mars 2006, 13:43

Sur KTO :

............

A l’occasion du premier anniversaire de la mort de Jean-Paul II, KTO propose une programmation spéciale en hommage.

Une édition spéciale de la Rédaction , « Jean-Paul II, un an après », Samedi 1 er avril à 21h00.
Cette édition spéciale, présentée par Richard Boutry, reviendra sur les grands moments de son pontificat et son héritage. Avec un reportage exceptionnel tourné en Pologne, où ceux qui l'ont connu nous parlent de celui que fut Karol Wojtyla avant d'être pape. L'occasion aussi de revoir les images de ses funérailles qui ont bouleversé l'humanité, mais aussi celles de l'Espérance d'une Eglise vivante, avec l'élection de Benoît XVI.

A voir en direct puis en archive sur notre site

Les célébrations religieuses en direct

Messe en mémoire du pape Jean-Paul II, en direct de la cathédrale Notre-Dame de Paris , dimanche 2 avril à 18h30
A voir en direct sur notre site

Veillée de prière en hommage à Jean-Paul II, en direct du Vatican , dimanche 2 avril à 20h30 (et plus 21h)
A voir en direct puis en archive sur notre site

Messe en mémoire de Jean-Paul II, présidée par Benoît XVI, en direct du Vatican, lundi 3 avril à 17h30
A voir en direct puis en archive sur notre site

De nombreux documentaires consacrés à Jean-Paul II

Dimanche 2 avril, toute la journée, retrouvez la série de programmes « Jean-Paul II », réalisée par Dominique Chivot et Pierre de Solere.
A voir en archives sur notre site

...............

A Paris :

Le 2 avril est l'anniversaire de la mort de JPII, la messe sera célébrée à son intention dans toutes les paroisses de Paris et notamment le soir à 18H30 à Notre-Dame.

Programmes spéciaux sur KTO.

A Notre-Dame de Paris, messe présidée par Mgr André Vingt-Trois, Archevêque de Paris, à l’intention de Jean-Paul II, le dimanche 2 avril à 18h30 (Retransmission en direct sur Radio Notre-Dame 100.7 FM et KTO).


A Notre-Dame des Victoires, chapelet médité à l'intention spéciale de Jean-Paul II le 2 avril à 15h30.


Veillée de prière, le samedi 2 avril à la paroisse Saint Dominique (16 rue de la Tombe Issoire - 75014)
Le samedi 2 avril 2005 au soir (Dimanche anticipé de la Divine Miséricorde), alors qu’une veillée d’Adoration à son intention se déroulait à Saint Dominique, le Pape Jean-Paul II rendait son dernier souffle.
Pour commémorer cet anniversaire, la paroisse Saint-Dominiquer propose une veillée de prière centrée sur la miséricorde, le dimanche 2 avril de 20h30 à 22h00
Au cours de cette veillée, les prêtres consacreront la paroisse à la divine miséricorde.


Deux rassemblements à Notre-Dame de l'Assomption de Passy (88 rue de l'Assomption, 16ème)
Samedi 1er avril : Veillée de prière paroissiale ouverte à tous de 20h00 à 21h30
Chants, adoration, lecture de textes à partir du thème de la miséricorde dans l’œuvre de Jean-Paul II. (intervention de Monseigneur Pierre d’Ornellas ).

Dimanche 2 avril : Messe « de mémoire » à 19h00 présidée par Mgr. Pierre d’Ornellas.


Un temps de prière à la paroisse de l'Immaculée Conception (15 rue Marsoulan, 12ème).
Le dimanche 2 avril de 17h15 à 18h15.
Dès le samedi 25 mars, un portrait de Jean Paul II sera remis dans l'Eglise, avec un livre sur lequel il sera possible d'écrire des prières d'action de grâce.


Commémoration le 2 avril à la paroisse Saint-François de Sales (70 rue Jouffroy d'Abbans, 17ème)
En particulier lors des messes de 11h15 et de 18h30. Pour les jeunes de Saint-François de sales, messe à 18h30 ; dîner fraternel avec évocation de la figure de Jean-Paul II et le lettre de Benoit XVI pour la journée mondiale de la jeunesse.


A la paroisse polonaise Notre-Dame de l'Assomption (place Maurice Barrès, 1er), la messe du 2 avril à 11h sera présidée par Mgr Stephan Wylezek, délégué de la Fondation Jean Paul II à Rome.


En hommage à Jean-Paul II, et à l'occasion de l'anniversaire de sa mort, KTO propose une programmation spéciale, les samedi 1er, dimanche 2 et lundi 3 avril.

Trois jours de programmes dédiés au pontificat, à la personnalité et à la mémoire de cet homme d’exception :

Une édition spéciale de 3 heures, avec un reportage inédit tourné en Pologne sur les pas de Jean-Paul II.

Les célébrations en mémoire de Jean-Paul II retransmises en direct de Saint-Pierre de Rome ou de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

De nombreux documentaires sur la personnalité et l’héritage de Jean-Paul II.


Découvrons la miséricorde selon Jean-Paul II, grâce au livre de Mgr Pierre d’Ornellas, évêque auxiliaire de Paris.

Benoit Douville
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Message non lu par Benoit Douville » lun. 03 avr. 2006, 2:28

Il y a effectivement 1 an le 2 avril, le monde Catholique était en deuil de Jean-Paul II (Karol Wojtyla). Celui qui à marqué l'histoire nous quittait ce jour là, ce fut une journée remplie de larmes et d'émotions parmi les Catholiques, compris moi. Je doit avouer que je vais me souvenir pour le reste de ma vie de cette journée du 2 avril 2005. Après avoir lu sa biographie plusieurs fois, c'est vraiment incroyable l'impact que cet homme à eu sur notre societé.

Salutations

jean_droit
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Pour Jean Paul II

Message non lu par jean_droit » lun. 03 avr. 2006, 8:56

Avec Jean Paul II et avec Marie, Très Sainte Vierge, mère de Dieu, récitons cette prière de l’Eglise, tous les jours récitée par le peuple chrétien clercs ou laïcs.

Mon ame exalte le Seigneur,
Exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !

Il s’est penché sur son humble servante ;
Désormais, tous les âges me diront bienheureuse.

Le Puissant fit pour moi des merveilles ;
Saint est son nom !

Son amour s’étend d’âge en âge
Sur ceux qui le craignent.

Déployant la force de son bras,
Il disperse les superbes.

Il renverse les puissants de leurs trônes,
Il élève les humbles.

Il comble de biens les affamés,
Renvoie les riches les mains vides

Il relève Israël, son serviteur,
Il se souvient de son amour,

De la promesse faite à nos pères,
En faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.

Rendons gloire au Père tout-puissant,
A son fils Jésus christ, le Seigneur,
A l’Esprit qui habite en nos cœurs,
Pour les siècles des siècles.

Amen.

« N’ayons pas peur ! »

Je te remercie d’avoir dirigé notre Eglise au milieu des récifs.

Je te remercie de nous avoir, sans cesse, montré le chemin du Christ.

Je te remercie d’être venu au milieu de nous pour nous rappeler Son Evangile.

Je te remercie d’avoir résisté au monde pour sanctifier le monde.

« Courage ! »

Tu nous a appris dans ta douleur la force et la joie de l’Espérance.

Tu nous as appris à te suivre vers la Passion du Christ.

Tu nous a appris à regarder les humbles, les malades, les prisonniers avec amour.

Avec toi disons :

« Le monde a besoin de comprendre et d’accueillir la Miséricorde Divine ! »

« Ouvrez grand les portes au Christ ! »

« Allons !Levons nous ! »

jean_droit
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Message non lu par jean_droit » lun. 03 avr. 2006, 9:20

Je suppose que nombreux ont été ceux qui ont regardé les cérémonies de l'anniversaire de la mort de Jean Paul II sur KTO.
Je les ai trouvées "dignes" !
Beau moment de prière collective !
J'ai aussi beaucoup apprécié le sermon de monseigneur Vingt Trois. Beaucoup de justesse danns les propos et beaucoup d'émotion de sa part.
Si j'arrive à trouver le texte de ce sermon je le mettrai sur Internet.
Monseigneur Vingt Trois a insisté sur le travail considérable de remise en l'état de l'Eglise entrepris par Jean Paul II contre vents et marées.
Plus j'y pense plus je me persuade qu'il a été l'instrument de l'Esprit Saint !
Bénis nous, Jean Paul !

françois de Québec
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Message non lu par françois de Québec » mer. 05 avr. 2006, 3:30

Benoit Douville a écrit :Il y a effectivement 1 an le 2 avril, le monde Catholique était en deuil de Jean-Paul II (Karol Wojtyla). Celui qui à marqué l'histoire nous quittait ce jour là, ce fut une journée remplie de larmes et d'émotions parmi les Catholiques, compris moi. Je doit avouer que je vais me souvenir pour le reste de ma vie de cette journée du 2 avril 2005. Après avoir lu sa biographie plusieurs fois, c'est vraiment incroyable l'impact que cet homme à eu sur notre societé.

Salutations
Bonjour,

Simplement pour dire que les Caholiques n'étaient pas les seuls à être en deuil et emplis d'émotion.

Je voulais aussi souligner la grandeur de celui que vous avez choisi pour votre avatar et dire toute mon admiration pour ce grand homme.

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Message non lu par jean_droit » mer. 05 avr. 2006, 8:11

Bonjour frères et soeurs en Notre Seigneur,

Le sermon de monseigneur Vingt Trois est maintenant sur catholique-paris.

Il est un peu long mais je l'ai bien aimé : Il manque, bien sûr l'émotion qui était visible.

......................

Frères et sœurs, le passage de l’évangile selon saint Jean que nous venons d’entendre nous prépare directement à entrer dans le récit des événements qui vont marquer les Jours saints. Il est donc destiné à nous donner une clef d’intelligence de ces événements. De quoi s’agit-il en effet ? L’heure est venue où le Fils doit être glorifié, mais la glorification qui va s’opérer n’est pas une glorification à la manière dont les hommes comprennent la gloire. Il va bien être glorifié, mais il va être glorifié à travers l’obéissance de sa passion et de sa mort. Il va être glorifié en étant planté en terre pour porter du fruit. Il va être glorifié en donnant sa vie par amour. Pour les hommes, la gloire consiste à échapper à la condition commune, à gagner la notoriété, à séduire, à attirer les foules, bref, la gloire revient à devenir une vedette. Le chemin que nous montre le Christ pour nous aider à comprendre les événements qui vont suivre est précisément d’apprendre à déchiffrer la manifestation de la puissance de la miséricorde de Dieu dans la faiblesse et l’humiliation de son Serviteur. Quand ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé, c’est à ce moment-là que la gloire de Dieu sera manifestée et qu’il attirera à lui tous les hommes.

L’heure est venue, après tant de chemins parcourus, tant de paroles prononcées, tant de miracles opérés, tant de signes donnés ; l’heure est venue, l’heure décisive. Tout ce qui a précédé depuis l’appel des premiers disciples de Jean-Baptiste jusqu’à la résurrection de Lazare et l’entrée à Jérusalem, n’a été qu’une sorte de chemin pour conduire à cette heure décisive. Tout ce qui a précédé a été une sorte de chemin pour ouvrir l’intelligence et les cœurs au sens de l’événement qui va s’accomplir maintenant et qui est à la fois une sorte de déclaration d’échec pour le Messie et une manifestation de la puissance de Dieu qui va ressusciter son Fils.

L’évangile selon saint Jean nous annonce la venue de cette heure décisive en même temps que les Grecs demandent à voir Jésus. La coïncidence de ces deux événements doit aussi nous faire réfléchir, car c’est au moment où ceux qui n’appartiennent pas à l’Alliance par la naissance commencent à se tourner vers Lui et à chercher à Le rencontrer, c’est au moment où les cheminements mystérieux de la foi et de la grâce culminent vers l’appel à une rencontre, c’est au moment où l’Alliance conclue par Dieu avec son peuple s’ouvre au-delà des limites de son peuple élu, c’est à ce moment-là que la glorification du Fils est annoncée et c’est pour cette œuvre qu’il va être mis à mort et qu’il ressuscitera. C’est pour attirer à lui tous les hommes dont ces quelques Grecs sont les représentants symboliques qu’il va donner sa vie, que le grain de blé va être mis en terre pour mourir et fructifier et que le Serviteur manifeste son obéissance à travers ses souffrances comme nous le disait l’épître aux Hébreux, il y a un instant.

A mesure que je vous propose ces quelques réflexions sur ce passage de l’évangile selon saint Jean, je me rends compte combien elles éclairent la figure du Pape Jean-Paul II dont nous commémorons aujourd’hui le décès. Elles l’éclairent parce qu’elles nous aident à comprendre le sens de ce qu’il a vécu ; elles l’éclairent aussi parce que sa vie nous aide à comprendre ce que le Christ veut nous dire.

Sans doute de toute l’histoire de la papauté a-t-il été celui qui a été le mieux vu, le plus largement connu à travers le monde, celui qui a été le plus constamment présent à toutes les Églises, celui qui a été physiquement présent dans presque tous les pays du monde sauf ceux qui lui sont restés fermés. Sans doute a-t-il été celui que la foule chrétienne, très chrétienne, peu chrétienne, mal chrétienne, ou pas chrétienne du tout, celui que la foule a le plus entouré, désiré voir et même toucher. Quels étaient les Grecs des voyages du Pape à travers le monde, quels étaient ceux qui avaient entendu parler de lui et espéraient le voir et le toucher, quels étaient ceux qui l’écoutaient sans toujours partager ses convictions de foi et même, partageant sa foi, sans toujours partager sa conception des exigences évangéliques ? Quels étaient les Grecs qui se pressaient derrière les barrières, non seulement de la place Saint-Pierre de Rome, mais de toutes les villes du monde où il est passé, quels étaient ces Grecs de notre temps qui frappaient à la porte pour participer eux aussi à l’Alliance du peuple saint ?

Beaucoup n’ont vu pendant des années, dans la figure et la mission du Pape Jean-Paul II que la vedette, celui qui arrivait à surprendre, à être présent, à communiquer. Sans jamais avoir l’air d’avoir étudié comment construire son image, il avait une image construite à travers le monde. Beaucoup n’ont vu que cette image, beaucoup n’ont vu que cet enthousiasme, cette force de l’amour qui le poussait à aller vers les autres et à les rencontrer, mais la dernière période de sa vie, les années où la maladie ayant détruit pour une part ses capacités physiques de mouvement, de présence, de rencontre, nous ont aidés peu à peu à nous dépouiller de ce qu’il pouvait y avoir d’attrait pour l’image dans notre manière de voir celui qui venait à nous. Nous ne pouvions plus le voir comme un acteur mais comme un témoin de la foi, tel qu’il était.

Qui de nous, ici à Paris, pourrait oublier la soirée du mois de mai 1980 où nous avons célébré l’Eucharistie sur le parvis de la cathédrale ? Quel prêtre de Paris oublierait la rencontre que nous avons vécue avec lui ici-même, dans cette cathédrale ? Qui d’entre nous oubliera les Journées mondiales de la Jeunesse de 1997 ? Qui d’entre nous oubliera les images de la présence du Saint-Père dans notre pays et dans notre ville ? Mais qui encore, et plus peut-être, pourra jamais oublier le dernier pèlerinage du Pape à Lourdes alors qu’il était à quelques mois de la fin de sa vie terrestre, dépouillé de toute puissance et de toute force, volontairement pèlerin parmi les pèlerins, malade parmi les malades, handicapé parmi les handicapés. Dans la simplicité et la candeur de sa foi de chrétien, il a voulu venir en pèlerinage et les télévisions qui nous l’avaient montré vigoureux et triomphant au parc des Princes, amusant et catéchiste aux Journées Mondiales de la Jeunesse, nous ont montré l’image du Serviteur qui donne sa vie dans une dernière oblation. Et brusquement, les yeux se sont ouverts. Alors que plus rien ne résistait au dépouillement qu’il subissait avec foi et confiance, nous étions obligés nous-mêmes de nous dépouiller de notre manière de le comprendre. Nous étions obligés d’aller au cœur de sa personnalité et de sa mission, nous étions obligés de reconnaître que ce qui le constituait, ce n’était pas d’être polyglotte, ce n’était pas d’être communicateur, ce n’était pas d’être en très bonne forme. Ce qui le caractérisait, c’était de s’identifier à son Seigneur à chaque moment de sa vie, depuis le 13 mai 1981 jusqu’à ce jour du 2 avril 2005. Chaque instant, quelles que soient les images que nous en avons eues, quels que soient les sentiments que nous avons nourris, chaque instant de sa vie a été d’abord cette offrande du serviteur dans l’offrande du Christ.

Si nous faisons mémoire avec affection et émotion du ministère de Jean-Paul II dans notre Église, ce n’est pas par une idolâtrie inconsciente, mais c’est avec un sentiment de profonde gratitude et d’action de grâce pour le témoignage qu’il a rendu : à quel point la foi au Christ, la communion au Christ ressuscité, l’offrande de soi dans le sacrifice du Christ, peuvent transformer la vie d’un homme et faire de lui une véritable icône de la miséricorde divine au milieu des hommes. Nous aurons encore besoin de longues années pour faire souvenir de son passage parmi nous, nous aurons encore besoin de longues années pour méditer et assimiler la quantité considérable de messages fondamentaux qu’il a adressés non seulement aux chrétiens mais à toute l’humanité. Nous aurons encore besoin de longues années pour assimiler la leçon d’interprétation du Concile qu’il a voulu mettre en œuvre systématiquement à travers les synodes épiscopaux, les réflexions qu’il a engagées sur la vie sacramentelle, sur les différentes catégories du Peuple de Dieu, sur la réconciliation, sur l’espérance, sur la mission, sur l’ouverture de l’Église au troisième millénaire… Cet ensemble considérable n’est pas seulement le signe d’une production très riche à laquelle il était habitué par sa formation, son métier d’enseignant, son ministère d’évêque ; il est aussi un signe providentiel. On nous dit que le monde manque de repères ; peut-être simplement demeure-t-il un peu aveugle et sourd aux repères qui lui sont proposés ? Peut-être fera-t-il partie de la mission de notre Église, comme le Pape Benoît XVI l’a entrepris depuis un an, d’exploiter cette mine de trésors, de la déployer, de l’actualiser, de l’appliquer aux situations nouvelles dans lesquelles nous allons nous trouver.

Frères et sœurs, avec vous, je veux rendre grâce au Seigneur, peut-être plus que tout pour l’espérance que le Pape Jean-Paul II a représenté dans notre Église au moment où il a été appelé au ministère de Pierre. Beaucoup autour de nous pensaient que c’était la fin. L’Esprit-Saint a suscité une voix qui a dit : « N’ayez pas peur ! » Et, peu à peu, nous avons vu les têtes courbées se relever, les esprits fatigués se raviver, les courages érodés se revivifier, et nous avons vu que l’Église recelait encore une puissance de vie à laquelle nous n’osions plus croire. Grâce à lui, nous n’avons pas désespéré de l’Évangile ; grâce à lui, les hommes de notre temps, de cette fin du XXème siècle et du début du XXIème siècle, ont entendu une parole d’espérance. Grâce à lui, on n’a jamais accepté que le mensonge, la violence, la trahison, le viol des consciences, deviennent la règle. Grâce à lui, on a vu progresser la liberté parmi les hommes.

Essayons d’être fidèles au chemin dans lequel il nous a engagés. Essayons d’être fidèles à l’espérance qu’il nous a donnée. Allons, levez-vous, et marchons, nous disait-il. Alors, aujourd’hui, nous l’écoutons, et nous acceptons de poursuivre notre marche, non pas avec le sentiment désabusé d’avancer pour ne rien faire, mais avec la conviction que la puissance de Dieu est toujours à l’œuvre.

Amen.

jean_droit
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L'Église et le pélerinage à Lourdes

Message non lu par jean_droit » mer. 23 août 2006, 11:52

Pélerinage à Lourdes : Interventions de mgr Vingt Trois
Lors du dernier pélerinage national à Lourdes c'était monseigneur Vingt Trois, archevêque de Paris, qui présidait les cérémonies.
J'avoue que j'ai apprécié sa "santé" car il fallait y ajouter trois catéchèses ...
..................................
Un peu comme c'est le cas pour le cardinal Lustiger, monseigneur Vingt Trois n'est pas un orateur.
Par contre j'aime la qualité de son message et c'est cela qui compte en définitive.
J'aime beaucoup un certain courage de sa part pour dire tout haut certaines vérités. Personnellement je suis de plus en plus incommodé par les sermons "préchi-précha" où il s'agit de ne prendre position sur rien et de ne blesser personne.
..................................
Lors du sermon de la messe inaugurale il est revenu sur l'importance de la messe dominicale et non mensuelle ...
L'intéressant est qu'il reprend l'admonestation de Benoît XVI lors de la messe des dernières JMJ.
..................................
Je joins le serrmon de la messe du 15 août. Plutôt bienvenu. ( cf site catholique-Paris )
.................................
Trois catéchèses ( causeries ) ont été données par monseigneur Vingt Trois.
La première très bien , la seconde moyenne, la troisième bien.
Ces causeries suivait le thème du pélerinage 'La lumière".
Elles suivaient, aussi, le sermon du 15 août :
Lumière reçue, lumière entretenue, lumière répandue.
Un discours d'espérance et de mobilisation.
.................................

Frères et Sœurs,

1. La fragilité humaine.

Le dragon décrit par le livre de l’Apocalypse, apparaît pour semer la mort et pour « dévorer l’enfant dès sa naissance.» Mais le même livre de l’Apocalypse nous dit que le dragon, le Satan, ne sortira pas vainqueur de son combat avec les anges de Dieu. A travers le langage imagé des visions de l’Apocalypse, c’est le combat contre le Christ et son Église, le combat perpétuel entre la vie et la mort qui est symboliquement évoqué. Ce combat est toujours d’actualité, même si notre culture essaie de l’évacuer en se donnant l’illusion de pouvoir vaincre la mort, ou, en tout cas, en s’efforçant de la cacher.

Chacun sait que la lutte est perpétuelle entre les forces de destruction de l’humanité et l’appel à la vie. Chacun sait que les risques et l’espérance de la vie doivent sans cesse lutter contre une culture de la mort. Chacun sait que l’existence humaine, quels que soient les progrès accomplis et les remèdes inventés, est toujours marquée par la fragilité : « Qui peut ajouter une seule coudée à la longueur de sa vie ? » (Mt 6, 27).

A cette fragilité radicale et commune à tous les êtres humains s’ajoutent encore les soucis et les peines que nous connaissons tous : soucis de la santé, soucis du travail, soucis des familles brisées, soucis des enfants à accompagner dans leur croissance vers l’âge adulte, soucis des personnes âgées, etc. Il faut aussi penser au malaise ressenti qui s’exprime par les crises morales et le « mal être » et fait la fortune des fabricants de neuroleptiques. Tout cela est présent et pèse sur nos cœurs et nos pensées. Comment s’étonner alors de voir tant de nos contemporains reculer devant l’aventure de la vie ?

Certains baissent les bras et se laissent aller au fatalisme : il n’y a rien à faire, je ne peux rien faire que souffrir et douter de tout : cynisme devant les malheurs du monde, doute devant les possibilités de « changer quelque chose. » D’autres, plus radicaux, décident de quitter la partie et se suicident. D’autres renoncent à transmettre cette vie qu’ils ont reçue et dénient la possibilité d’un avenir pour eux-mêmes et pour la société. Peu à peu les crèches sont remplacées par des maisons de retraite !

Comment les chrétiens vivent-ils dans cet environnement ? Sont-ils très différents des autres ? Leur foi leur donne-t-elle des ressources pour faire face à cette existence ? Les voyons-nous grossir les rangs de ceux qui se lamentent sur les malheurs des temps ? Notre présence à Lourdes aujourd’hui est-elle une source d’espérance ou une fuite de quelques instants dans un univers irréel ?

2. La victoire !

Notre dévotion à l’Assomption de Notre-Dame et la célébration solennelle que nous en faisons aujourd’hui devraient nous aider à répondre, ou à commencer de répondre, à ces questions. Quelle est la foi de l’Église telle que Pie XII l’a définie en 1950 ? Nous croyons que la Vierge Marie, par un privilège particulier, est pleinement glorifiée en Dieu, corps et âme. Cela veut dire que la victoire sur le dragon de l’Apocalypse est accomplie pour elle et qu’elle a rejoint la place que « Dieu lui a préparée. »

Peut-être vous demandez-vous en quoi cette affirmation de la foi peut changer quelque chose à nos préoccupations quotidiennes ? Est-ce que cela change quelque chose pour nous que la Vierge Marie soit glorifiée dans la plénitude de sa personne ? Nous voulons bien nous réjouir et rendre grâce pour ce qui lui est arrivé, mais nous avons du mal à voir en quoi cela nous aide.

Pour répondre à cette question, nous devons avoir présent à l’esprit ce que saint Paul nous disait à l’instant de la résurrection du Christ : « Le Christ est ressuscité d’entre les morts, pour être parmi les morts le premier ressuscité. » Nous arrivons à admettre que Jésus soit ressuscité, -encore que beaucoup de chrétiens disent ne pas croire à la résurrection-, mais nous assortissons cette croyance d’une restriction mentale. Oui, le Christ est ressuscité, mais nous attribuons sa résurrection au fait qu’il était le Fils de Dieu, et nous sous-entendons : « pas vraiment comme nous. »

Mais avec l’Assomption de Marie, nous sommes confrontés à une réalité différente : Marie n’est pas Dieu ; elle est une fille d’Israël, de la même espèce que nous, une femme parmi les femmes de la terre. Si elle, qui est une femme de notre espèce, est glorifiée, alors la glorification n’est pas réservée à Jésus : elle nous concerne tous. Tous nous sommes appelés à être glorifiés comme elle, jusque dans notre corps.

La foi ne nous dit rien sur la mort de Marie. Il est loisible de croire qu’elle est morte comme tout un chacun ou, comme certains le pensent, qu’elle n’a pas connu la mort, mais la foi nous dit que par delà la fin de sa vie elle est glorifiée en Dieu. En elle, comme en Jésus, la mort n’a pas eu le dernier mot. La mort a été vaincue.

Quelle espérance pour l’humanité ! La chape de plomb qui pèse sur toute existence humaine et dont nous sentons les effets dans nos corps comme dans nos esprits est brisée à jamais. Dans aucune vie humaine la mort ne saurait vaincre la puissance de l’amour miséricordieux de Dieu. La terre n’est pas enclose dans la fatalité des blessures et des déterminismes, les cieux se sont déchirés pour annoncer la bonne nouvelle d’un avenir pour l’humanité.

3. Vivre de l’espérance.

Si nous entendons le chant d’action de grâce de la Vierge Marie, nous savons que Dieu « déploie la force de son bras, Il disperse les superbes, Il élève les humbles,… Il comble de biens les affamés,… Il se souvient de son amour. » Comment nous laisser accabler par les misères des temps, alors que nous croyons une telle promesse ?

Si nous vénérons la Vierge Marie glorifiée, ce n’est pas seulement pour nous réjouir du bien que Dieu lui fait, c’est aussi pour porter un nouveau regard sur notre existence humaine. « Ne vivez pas comme ceux qui n’ont pas d’espérance ! » nous dit saint Paul. Essayons de comprendre comment vivre dans l’espérance.

Ils vivent dans l’espérance, les jeunes qui imaginent leur avenir autrement que comme une course effrénée à l’argent et au pouvoir et qui souhaitent être généreux. Heureux sont-ils si les adultes ne détruisent pas leur idéal ! Malheureux sommes-nous si nous leur communiquons nos frayeurs et notre rapacité !

Ils vivent dans l’espérance, les hommes et les femmes qui unissent leur vie en s’engageant dans le mariage pour s’aimer toujours et donner la vie à des enfants du bonheur. Heureux sont-ils si on ne les raille pas de croire à l’amour ! Malheureux sommes-nous si nous spéculons sur les crises et les risques de la fidélité !

Ils vivent dans l’espérance, les hommes qui répondent à l’appel du Christ pour devenir les prêtres et les diacres de son Église. Heureux sont-ils de collaborer à la tâche de notre unique Pasteur ! Malheureux sommes-nous si nous n’estimons pas leur ministère !

Ils vivent dans l’espérance, celles et ceux qui s’engagent pour améliorer la vie de notre société et travailler à la sécurité et au bien-être de leurs contemporains. Heureux sont-ils s’ils ne se laissent pas griser par le pouvoir et le goût de l’argent ! Malheureux sommes-nous si nous doutons que quiconque puisse faire quelque chose d’utile !

Ils vivent dans l’espérance, tous ceux qui se donnent aux soins des malades, des handicapés et des vieillards pour leur donner confiance dans la valeur de leur existence. Heureux sont-ils s’ils progressent dans le respect de l’humanité ! Malheureux sommes-nous si nous renonçons à la dignité des souffrants et si nous les abandonnons à la mort solitaire quand nous ne la hâtons pas !

Ils vivent dans l’espérance, tous ceux qui sont écrasés par les bombes et les violences de la guerre, spécialement au Moyen-Orient en ce jours de souffrance et de deuil, et qui ne s’abandonnent pas à la vengeance et à loi de la mort donnée, vie pour vie, mort pour mort. Heureux sont-ils s’ils parviennent à renverser la logique absurde de la haine ! Malheureux somme-nous si nous ne faisons pas tout ce qui dépend de nous pour faire taire les armes immédiatement !

Vous vivez dans l’espérance, vous tous qui faites face, jour après jour, aux contraintes de votre vie et qui ne baissez pas les bras. Heureux êtes-vous si vous gardez le courage de combattre matin après matin pour que la vie mérite d’être vécue, pour vous, pour les vôtres et pour tous les hommes de la terre ! Heureux êtes-vous si vous vous voyez, vous aussi, comme d’humbles serviteurs du Seigneur : « Tous les âges vous diront bienheureux ! » Aujourd’hui encore la mère du Seigneur vient jusqu’à vous, comme elle est venue jadis jusqu’à Elisabeth. Elle vous tend la main et elle vous dit : confiance, pour toi aussi Dieu a préparé une place.

Amen !

+André Vingt-Trois
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Journée du Pape en Pologne

Message non lu par jean_droit » mer. 18 oct. 2006, 10:21

De Zenit !

Associons nous tous à cet hommage !

............


Jean-Paul II a vécu pour l’amour du Christ et des hommes, déclare Benoît XVI
« Journée du pape » en Pologne

ROME, Mardi 17 octobre 2006 (ZENIT.org) – Jean-Paul II a vécu pour l’amour du Christ et des hommes, a déclaré Benoît XVI dans un message à la télévision polonaise à l’occaion de la « Journée du pape » qui marque chaque année l’anniversaire de l’élection du pape Wojtyla, le 16 octobre 1978.

Benoît XVI a exprimé son action de grâce pour le témoignage offert par Jean-Paul II à l’occasion de ce 28e anniversaire.

Le pape a évoqué cet « inoubliable jour de son élection », et « l’écho de ses paroles humbles, sages et pleines de dévouement », lorsqu’il accepta le choix des cardinaux.

Benoît XVI a également évoqué cette figure « forte » et « sereine » lors de la première bénédiction « Urbi et Orbi » depuis la loggia des bénédictions de la basilique Saint-Pierre et ce qu’il considère comme un « appel prophétique » : « N’ayez pas peur. Ouvrez tout grand les portes aux Christ ».

« Je remercie Dieu, disait Benoît XVI, pour sa vie dépensée dans l’mour du Christ et des hommes, qui a enrichi l’histoire de toute l’humanité par la grâce de l’Esprit Saint, dans une attitude de fraternité et de paix. Enfin, je remercie Dieu pour le témoignage de sa souffrance unie à la tribulation du Christ, jusqu’à la mort, un témoignage qui nous donne la force de vivre et qui nous fortifie dans l’espérance de l’éternité ».

Benoît XVI rappelle combien a été chère au cœur de Jean-Paul II « l’Eglise qui est en Pologne » : « Il l’aimait comme une mère qui lui avait donné la vie et qui l’avait éduqué dans l’amour du Christ et de ses frères ».

« Mais il l’aimait aussi, souligne le pape, comme une communauté toujours unie autour de ses pasteurs, exposée dans le passé à la souffrance de différentes persécutions, mais toujours fidèle aux valeurs évangéliques ».

« Comme il priait et comme il s’investissait pour que la Pologne retrouve sa liberté ! Et lorsque c’est arrivé, il n’a pas cessé de se dépenser pour que ses compatriotes apprennnent à vivre la liberté des enfants de Dieu et non celle des enfants de ce monde, et afin qu’ils gardent la foi ».

« Restez forts dans la foi » : Benoît XVI fait sien cet appel de saint Paul, en priant pour que « Dieu conserve la foi des générations futures de cette noble terre ».
ZF06101701

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Deux ans déjà...

Message non lu par FMD » lun. 02 avr. 2007, 10:01

Bonjour,

Ayons une prière pour Jean-Paul II qui nous a quitté il y a deux ans jour pour jour. :heart:

O Sainte Trinité,
Nous Te rendons grâce pour avoir fait don à Ton Eglise
du Pape Jean-Paul II
et magnifié en lui la tendresse de Ta paternité,
la gloire de la croix du Christ
et la splendeur de l’Esprit d’Amour.
Par son abandon sans condition à Ta miséricorde infinie
et à l'intercession maternelle de Marie,
il nous a donné une image vivante de Jésus Bon Pasteur
et nous a indiqué la sainteté,
dimension sublime de la vie chrétienne ordinaire,
voie unique pour rejoindre la communion éternelle avec Toi.
Par son intercession, accorde-nous, selon Ta volonté,
la grâce que nous implorons,
animés du vif espoir qu'il soit élevé au plus tôt
aux honneurs des autels.
Amen.


Avec approbation ecclésiastique

CARD. CAMILLO RUINI
Vicaire Général de Sa Sainteté
pour le Diocèse de Rome


En Christ,
Franck

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Message non lu par Théophane » lun. 02 avr. 2007, 10:43

Quelqu'un sait-il s'il y a aujourd'hui à Paris une messe célébrée en l'honneur du Serviteur de Dieu ?
« Être contemplatifs au milieu du monde, en quoi cela consiste-t-il, pour nous ? La réponse tient en quelques mots : c’est voir Dieu en toute chose, avec la lumière de la foi, sous l’élan de l’amour, et avec la ferme espérance de le contempler face à face au Ciel. »
Bienheureux Álvaro del Portillo (1914-1994)

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Message non lu par FMD » lun. 02 avr. 2007, 11:01

Théophane a écrit :Quelqu'un sait-il s'il y a aujourd'hui à Paris une messe célébrée en l'honneur du Serviteur de Dieu ?
Je n'ai hélas rien trouvé. :(

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