Contraception et régulation des naissances
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- Tribunus plebis
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Re: Contraception et Régulation des naissances
Je ferais une petite remarque dans le cadre de la relation sexuelle. L'envie sexuelle d'accouplement ou le désir, me paraissent êtres des besoins créés par DIEU. Dieu dans son infinie sagesse a créé cet état de fait. Au demeurant, cet envie (ou besoin) a été créé pour tout le vivant! En l'absence d'un tel besoin, il y a bien longtemps que nous aurions assister à l'extinction de toute vie sur cette terre!
- Milla
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Re: Régulation des naissances
Bonjour Cepora,
Non, ce n’est pas le seul. Vous donnez vous-même un autre motif pour lequel on peut vouloir différer, voire empêcher à long terme une grossesse (les risques pour la santé).
Le désir joue. On peut cocher toutes les cases de la situation parfaite pour faire un enfant et ne pas en vouloir, pour le moment ou définitivement, et je ne suis pas sûr qu'il est mieux de se forcer. Ceci dit, le désir, c'est une donnée assez neutre. On peut désirer quelque chose pour de bonnes ou de mauvaises raisons, voire désirer quelque chose de mauvais.
Reste que transmettre la vie pour transmettre la vie, donc faire des enfants pour faire des enfants, cela ne me parle pas. Ça ressemble trop à du « la quantité pour la quantité, le reste suivra (ou pas...) ».
Je serais curieuse de voir ce que dit l’Église catholique de la régulation des naissances et des motifs qui la légitiment. Vous parlez d'une situation exceptionnelle, temporaire, pour des motifs graves.
Dire que Dieu se détourne des méchants revient à dire que le soleil se cache des aveugles.
Philocalie des pères neptiques
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Re: Contraception et régulation des naissances
Trinité,
Vous avez raison. Et le Créateur a si bien prévu les choses qu'une femme a plus d'envie les jours où elle est féconde. Manque de bol, c'est pile poil le moment où l'abstinence est de mise avec les méthodes dites naturelles type Billings. Ça fait 15 ans à peu près que j'en pâtis. J'attends de voir ce que ça donnera à la ménopause.
Vous avez raison. Et le Créateur a si bien prévu les choses qu'une femme a plus d'envie les jours où elle est féconde. Manque de bol, c'est pile poil le moment où l'abstinence est de mise avec les méthodes dites naturelles type Billings. Ça fait 15 ans à peu près que j'en pâtis. J'attends de voir ce que ça donnera à la ménopause.
Re: Régulation des naissances
Bonjour,
Avez-vous lu le lien que j'ai donné ci-dessus ? C'est la position de l'Eglise sur les méthodes de régulation naturelle. En résumé :
le croyant se doit d'être ouvert à la vie, la contraception est condamnée.
il est légitime d'espacer les naissances, temporairement ou définitivement pour des raisons matérielles, psychologiques ou autres, à condition que ces raisons soient graves et sérieuses.
En cela, les méthodes naturelles de régulation des naissances sont compatibles avec la vision de l'Eglise.
Cgs
Mes propos qui apparaissent en vert comme ceci indiquent que j'agis au nom de la modération du forum.
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Re: Contraception et régulation des naissances
compliqué à mettre en place , surtout pour obtenir le résultat recherché (absence d'enfant). sauf à ne pratiquer que deux fois par an .
pour moi la contraception vient juste contrebalancer le fait qu'avant on observait bcp de mortalité infantile , de grossesses qui n'allaient pas au bout , etc etc , plus mode de vie plus dangereux (maladies, etc etc) qui font que c'était limite un exploit d'avoir un ou deux enfants qui arrivaient à la puberté ...
en gros ce que la nature ne peut plus limiter, la contraception le fait
pour moi la contraception vient juste contrebalancer le fait qu'avant on observait bcp de mortalité infantile , de grossesses qui n'allaient pas au bout , etc etc , plus mode de vie plus dangereux (maladies, etc etc) qui font que c'était limite un exploit d'avoir un ou deux enfants qui arrivaient à la puberté ...
en gros ce que la nature ne peut plus limiter, la contraception le fait
Re: Contraception et régulation des naissances
J'ai l'impression, mais je peux me tromper, que le problème vient du fait que cette position de l'Eglise est très difficile à mettre en pratique pour beaucoup.
Pour expliquer cela simplement, la plupart des couples veulent avoir des relations sexuelles fréquentes, mais peu d'enfant. Or la régulation "naturelle" ne permet pas de concilier les deux bien souvent.
Qu'en pensez-vous ?
Pour expliquer cela simplement, la plupart des couples veulent avoir des relations sexuelles fréquentes, mais peu d'enfant. Or la régulation "naturelle" ne permet pas de concilier les deux bien souvent.
Qu'en pensez-vous ?
Re: Contraception et régulation des naissances
Bonjour,Elric a écrit : ↑mar. 13 mars 2018, 14:14J'ai l'impression, mais je peux me tromper, que le problème vient du fait que cette position de l'Eglise est très difficile à mettre en pratique pour beaucoup.
Pour expliquer cela simplement, la plupart des couples veulent avoir des relations sexuelles fréquentes, mais peu d'enfant. Or la régulation "naturelle" ne permet pas de concilier les deux bien souvent.
Qu'en pensez-vous ?
La position de l'Eglise n'est pas difficile à suivre, mais elle est, il est vrai, exigeante. Ceci pour une raison très simple : l'Eglise ne dissocie pas la fonction procréatrice et la fonction unitive de l'acte sexuel. En gros, pour l'Eglise, le sexe est fait pour jouir et pour éventuellement accueillir la vie.
Les méthodes naturelles permettent, par l'observation des cycles, de savoir si l'acte peut engendrer ou pas. En moyenne, les couples qui pratiquent une méthode de régulation naturelle n'ont pas moins de relations que d'autres.
Contrairement à ce que l'on pense souvent, la femme n'est pas féconde si souvent dans le cycle. Etre bien formé permet d'être en confiance avec une méthode naturelle et de vivre sa sexualité de belle façon.
Cgs
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Re: Contraception et régulation des naissances
Vous partez du principe que dans ne famille "ouverte à la vie", où l'homme et la femme travaillent, ils sont prêts à chaque relation sexuelle à la possibilité d'accueillir un nouvel enfant.
Les femmes en France, et souvent en occident, veulent deux, trois enfants maximum. Cela n'est absolument pas compatible statistiquement avec les méthodes naturelles (nous sommes d'accord qu'il y a des cas particuliers, des couples moins fertiles que d'autres...), à partir du moment où vous avez ne serait-ce que dix rapports par mois.
Je pense donc que sur ce point le message demeure inaudible, sauf à recréer des communautés chrétiennes avec des rythmes de vie et de travail permettant à chacun d'assumer la charge d'une famille nombreuse.
Quand vous êtes un couple aujourd'hui, souvent assez isolé, avec des frais de garde dépassant rapidement vos possibilités, l'un des conjoints doit s'arrêter de travailler, sauf à pouvoir payer des crèches/nounous pour sept enfants ou avoir de la famille qui prend le relais.
Les femmes en France, et souvent en occident, veulent deux, trois enfants maximum. Cela n'est absolument pas compatible statistiquement avec les méthodes naturelles (nous sommes d'accord qu'il y a des cas particuliers, des couples moins fertiles que d'autres...), à partir du moment où vous avez ne serait-ce que dix rapports par mois.
Je pense donc que sur ce point le message demeure inaudible, sauf à recréer des communautés chrétiennes avec des rythmes de vie et de travail permettant à chacun d'assumer la charge d'une famille nombreuse.
Quand vous êtes un couple aujourd'hui, souvent assez isolé, avec des frais de garde dépassant rapidement vos possibilités, l'un des conjoints doit s'arrêter de travailler, sauf à pouvoir payer des crèches/nounous pour sept enfants ou avoir de la famille qui prend le relais.
- Milla
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Re: Régulation des naissances
Je n'avais pas vu le paragraphe concerné. Merci Cgs !
Ceci étant, je reste un peu sur ma faim : qu'est-ce que le magistère considère comme "de graves motifs" ? Ce n'est pas précisé parce que c'est au cas par cas ?
Dire que Dieu se détourne des méchants revient à dire que le soleil se cache des aveugles.
Philocalie des pères neptiques
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Re: Contraception et régulation des naissances
Elric,
« Que » 10 rapports ? Un tous les trois jours...bien plus que la moyenne des couples
Évidemment un peu compliqué avec les MN si on n’accepte aucun risque. Car la plupart des jours infertiles se situent dans la deuxième moitié du cycle.
Quant au graves motifs, j’ai retenu : motifs de santé (mère et enfant), motif économique et motif « équilibre familial des membres déjà présents ». Ce dernier est très vaste et sujet à interprétation large.
« Que » 10 rapports ? Un tous les trois jours...bien plus que la moyenne des couples
Évidemment un peu compliqué avec les MN si on n’accepte aucun risque. Car la plupart des jours infertiles se situent dans la deuxième moitié du cycle.
Quant au graves motifs, j’ai retenu : motifs de santé (mère et enfant), motif économique et motif « équilibre familial des membres déjà présents ». Ce dernier est très vaste et sujet à interprétation large.
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- Barbarus
Re: Régulation des naissances
Bonjour Milla,
Vous avez raison, un couple ne devrait pas se sentir forcé de procréer. Il devrait, normalement, toujours y avoir un consentement au sein du couple à ce sujet, ou au moins, une décision préalable de ne pas s’y opposer. Pour les croyants, ce consentement est exprimé lors du mariage.
Concernant les motifs qui légitiment la régulation des naissances par des méthodes naturelles, on peut se référer, je crois, aux propos de Pie XII lors d’un discours au congrès de l’union catholique des sages-femmes :
Que faut-il penser de la continence périodique, basée sur la pratique de l'acte conjugal réservée aux périodes stériles.
En outre, de nos jours, se présente le grave problème de savoir si et quand l'obligation de disponibilité au service de la maternité est conciliable avec ce recours toujours plus fréquent aux époques de stérilité naturelle (périodes agénésiques chez la femme), recours qui semble une claire expression de la volonté contraire à la disponibilité.
Mais ensuite, il faut faire appel à la morale qui a son mot à dire sur l'usage de ces méthodes:
Mais dans ce domaine encore, votre apostolat réclame de vous, comme femmes et comme chrétiennes, que vous connaissiez et défendiez les règles de la morale auxquelles est soumise l'application de cette théorie. Et ici, l'Eglise est compétente.
Or la morale déclare:
- Que les époux qui ne refusent pas d'avoir des enfants, peuvent user de l'acte conjugal aussi bien durant les périodes stériles que pendant les périodes fécondes:
Il faut tout d'abord considérer deux hypothèses: Si l'application de cette théorie ne veut signifier rien d'autre chose que les époux puissent faire usage de leur droit conjugal même les jours de stérilité naturelle, il n'y a rien à redire. De cette façon, en effet, ils n'empêchent ni ne gênent en aucune façon la consommation de l'acte naturel et de ses conséquences naturelles ultérieures. Précisément, en cela, l'application de la théorie dont nous parlons se distingue essentiellement de l'abus déjà signalé, qui consiste dans la perversion de cet acte.En effet:
- Que les époux qui n'usent de l'acte conjugal que durant les périodes stériles peuvent commettre une faute:
Si au moment du mariage les époux ont décidé de ne poser l'acte conjugal que durant les périodes stériles: le mariage lui-même est invalide.
Si, au contraire, on va plus avant, c'est-à-dire qu'on permette l'acte conjugal exclusivement en ces jours, alors la conduite des époux doit être examinée plus attentivement. Et ici, de nouveau, deux hypothèses se présentent à notre attention:
- Si déjà, au moment de la conclusion du mariage, au moins l'un des époux avait eu l'intention de restreindre au moment de stérilité le droit conjugal, et non seulement l'usage de ce droit, de telle sorte que, les autres jours, l'autre époux n'aurait pas non plus le droit de réclamer l'acte, cela impliquerait un défaut essentiel de consentement matrimonial, qui comporterait de soi l'invalidité du mariage, pour la raison que le droit dérivant du contrat matrimonial est un droit permanent ininterrompu et non intermittent, de chacun des époux vis-à-vis de l'autre.
Seuls des motifs graves peuvent dans certains cas permettre l'usage exclusif de ces périodes stériles:
- Si, au contraire, c'est au cours de la vie conjugale, qu'on décide de n'user de l'acte conjugal que durant les périodes stériles, en général, on se met en opposition avec la loi morale: D'autre part, si cette limitation de l'acte aux jours de stérilité naturelle se rapporte non au droit lui-même mais à l'usage du droit, la validité du mariage reste hors de discussion, cependant, la licéité morale d'une telle conduite des époux serait à affirmer ou à nier, selon que l'intention d'observer constamment ces périodes est basée ou non sur des motifs moraux suffisants et sûrs. Le seul fait que les époux ne violent pas la nature de l'acte et sont même prêts à accepter et élever l'enfant, qui, malgré leurs précautions, viendrait au monde, ne suffirait pas à soi seul à garantir la rectitude des intentions et la moralité absolue de ces motifs.
La raison est que le mariage oblige à un état de vie qui, de même qu'il confère certains droits, impose également l'accomplissement d'une oeuvre positive en rapport avec ce même état. Dans ce cas, on peut appliquer le principe général qu'une prestation positive peut être omise si de graves motifs, indépendants de la bonne volonté de ceux qui y sont obligés, établissent que cette prestation est inopportune ou prouvent qu'elle ne peut être en justice réclamée par le requérant de l'espèce, le genre humain.
Le contrat matrimonial qui accorde aux époux le droit de satisfaire l'inclination de la nature, les établit en un état de vie, l'état conjugal. Or, aux époux qui en font usage, avec l'acte spécifique de leur état, la nature et le Créateur imposent la fonction de pourvoir à la conservation du genre humain. Telle est la prestation caractéristique qui fait la valeur propre de leur état, le bonum prolis. L'individu et la société, le peuple et l'Etat, l'Eglise elle-même, dépendent pour leur existence, dans l'ordre établi par Dieu, du mariage fécond.
Par suite, embrasser l'état du mariage, user constamment de la faculté qui lui est propre et qui n'est licite que dans ses limites et, d'autre part, se soustraire toujours et délibérément, sans un motif grave, à son devoir principal, sera un péché contre le sens même de la vie conjugale.
Seuls des motifs sérieux peuvent dispenser à obéir à cette exigence:
On peut être dispensé de cette prestation positive obligatoire même pour longtemps, pour la durée entière du mariage, par des motifs sérieux, comme ceux qu'il n'est pas rare de trouver dans ce qu'on appelle l'«indication» médicale, eugénique, économique et sociale. D'où il suit que l'observance des époques infécondes peut être licite sous l'aspect moral et, dans les conditions indiquées, l'est réellement. Cependant, s'il n'y a pas d'après un jugement raisonnable et juste, de semblables raisons, soit personnelles, soit découlant des circonstances extérieures, la volonté d'éviter habituellement la fécondité de leur union, tout en continuant à satisfaire pleinement leur sensualité, ne peut venir que d'une fausse appréciation de la vie et de motifs étrangers aux règles de la saine morale.
Source : Centre Catholique des Médecins Français
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- Barbarus
Re: Contraception et régulation des naissances
Dans un couple marié ( bien sur) , la sexualité est une chose importante mais ce n'est pas une raison pour mettre de coté ses croyances
je ne pense pas que la contraception soit une bonne chose car elle enlève la réalité de la procréation lors du rapport alors que c'est la fonction première de l'union physique entre l'homme et la femme.
J’accepte uniquement la régulation des naissance par l'observation des périodes de fertilité. Avec mon mari nous refusons aussi le système du retrait qui est frustrant pour l'homme comme pour la femme et symboliquement ''gaspille '' la semence masculine.
Enfin, quelques périodes d'abstinence ne sont pas insurmontables et au contraire renforce le véritable amour dans le couple qui n'est pas seulement basé sur le plaisir physique.
je ne pense pas que la contraception soit une bonne chose car elle enlève la réalité de la procréation lors du rapport alors que c'est la fonction première de l'union physique entre l'homme et la femme.
J’accepte uniquement la régulation des naissance par l'observation des périodes de fertilité. Avec mon mari nous refusons aussi le système du retrait qui est frustrant pour l'homme comme pour la femme et symboliquement ''gaspille '' la semence masculine.
Enfin, quelques périodes d'abstinence ne sont pas insurmontables et au contraire renforce le véritable amour dans le couple qui n'est pas seulement basé sur le plaisir physique.
Re: Régulation des naissances
Bonjour,
Paul VI ne détaille pas vraiment. C'est en lisant Saint Jean-Paul II que l'on peut se faire une idée. Je vous fournis 2 autres sources :
Familiaris consortio : http://w2.vatican.va/content/john-paul- ... ortio.html
Un site sur la théologie du corps de Jean-Paul II : https://www.theologieducorps.fr/
Bonne lecture,
Cgs
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- Barbarus
Re: Peut-on être catholique et pro-choix ?
C'est le seul sujet sur lequel les Catholiques ont toujours été - et seront toujours - en désaccord tacite avec l’Église. Un désaccord tacite, c'est-à-dire que les catholiques respectent l'enseignement de l’Église sur ce point mais refusent de l'appliquer. Car s'il n'y avait pas dans le couple la possibilité d'actes sexuels à volonté et en tout temps, sans restrictions d'aucune sorte, la procréation ne serait pas une motivation suffisante pour inciter les gens au mariage, particulièrement la gent masculine.
- Milla
- Quæstor
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Re: Contraception et régulation des naissances
Bonjour Cepora,
Je sais que l’Église catholique regarde l'ouverture à la fécondité comme essentielle au mariage, mais justement : avoir un, deux, trois enfants, ce n'est pas exactement, à mon sens, être "fermé à la fécondité".
Merci pour le discours !
Merci Cgs pour les sources. Je connais les deux mais il faudrait que je prenne (enfin) le temps de lire sérieusement Familiaris Consortio.
On peut consentir à avoir des enfants sans consentir à en avoir dix.Cepora a écrit :Vous avez raison, un couple ne devrait pas se sentir forcé de procréer. Il devrait, normalement, toujours y avoir un consentement au sein du couple à ce sujet, ou au moins, une décision préalable de ne pas s’y opposer. Pour les croyants, ce consentement est exprimé lors du mariage.
Je sais que l’Église catholique regarde l'ouverture à la fécondité comme essentielle au mariage, mais justement : avoir un, deux, trois enfants, ce n'est pas exactement, à mon sens, être "fermé à la fécondité".
Merci pour le discours !
Merci Cgs pour les sources. Je connais les deux mais il faudrait que je prenne (enfin) le temps de lire sérieusement Familiaris Consortio.
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