J'ai connu plusieurs couples qui ont vécu le grand amour en concubinage (du moins est-ce ce qu'ils renvoyaient) mais qui vers la soixantaine se sont séparés. A chaque fois cela a été une immense surprise pour l'entourage (et pour moi-même). Devant la stupéfaction des amis et de la famille, la réponse a toujours été la même : "si nous n'étions pas mariés, c'est ce n'est pas sans raison".
Cela montre que le concubinage est choisi justement parce qu'il n'est pas un engagement.
Je précise qu'ils étaient soit athées, soit agnostiques.
Ce que j'ai pu constater à postériori, c'est que dans ces couples il y a toujours un déséquilibre sur la question du non engagement. Le concubinage n'est certes pas subi, mais il est toujours voulu davantage par l'un que par l'autre (plus généralement par les hommes).