Une belle évocation de la musique des westerns italiens de Leone. Original. On réécoute cette musique avec plaisir.

En effet! En outre,il est très intéressant de voir la conception du morceau par l'orchestre!Cinci a écrit : ↑lun. 07 août 2017, 1:56https://www.youtube.com/watch?v=790ch_bt5kU
Une belle évocation de la musique des westerns italiens de Leone. Original. On réécoute cette musique avec plaisir.
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Bonne interprétation ,un peu timide... mais dans le style!Cinci a écrit : ↑jeu. 10 août 2017, 18:31Des jeunes qui exécutent une reprise de "Be not too hard" de Joan Baez
https://www.youtube.com/watch?v=ZCFaASh5jLs
Pas mal!![]()
J'aime tellement cette chanson. Sa haute valeur spirituelle ajoutée a le don de nous mettre derechef en communion avec l'esprit des Dorothy Day, Daniel Berrigan et cie; tous les contestataires du "désordre établi"aux États-Unis à une époque, et alors une facette des États-Unis plus aimable que celle du pouvoir et d'une certaine raison d'État.
Ces paroles sont pleines de compassion!Cinci a écrit : ↑ven. 11 août 2017, 18:28![]()
Je n'osais pas.
Je trouve que les traductions sont horribles. On les dirait faite par un robot. Ce qui donne un truc du genre :
http://paroles-traductions.com/chanson/ ... -too-hard/
Vous aurez la ligne générale. Ouf! Mais enfin, c'est une sorte d'hymne dans le fond. La fameuse force dans sa mouture féminine.
Une bonne chanson résulte habituellement d’une mélodie efficace, d’un texte sensible, accrocheur ou dense, d’arrangements appropriés et d’une interprétation vocale qui met en valeur ces trois éléments. Or, on a trop souvent surestimé l’importance du rôle du parolier en comparaison de celui du compositeur de la chanson. Pourtant, on retient plus souvent la mélodie et rarement les paroles complètes d’une chanson entendue pour la première fois. Il existe souvent un malentendu dans l’impression qui reste d’une chanson célèbre et de sa postérité : dans beaucoup de cas, on porte aux nues le parolier alors qu’en fait, on aime la mélodie, le tempo, les sonorités, la performance vocale ou les harmonies, qui ont peu à voir avec le texte. C’est le cas par exemple pour les chansons d’Elton John et de Bernie Taupin, mais aussi pour celles de tant d’autres dont on louange les textes alors qu’en fait, on s’attarde principalement aux aspects musicaux.
Mais à l’époque des premières pièces de Réjean Ducharme et Robert Charlebois, souvent le public s’étonnait d’entendre, pour la première fois, des mots ou des expressions courantes de la vie quotidienne, inusitées dans une chanson ; quelquefois, certains passages en joual (le « slot d’la clock ») semblaient incompréhensibles ou indéchiffrables à la première écoute.
https://www.erudit.org/fr/revues/nb/201 ... 5143ac.pdf
Le mystère demeure entier
Après Les enfantômes, ce sera un long silence romanesque de presque 15 ans, mais Réjean Ducharme ne chômera pas pour autant. Il est d'ailleurs à l'origine de la plus belle «toune de shop», chantée par Charlebois: Mon pays (ce n'est pas un pays c'est une job), reconnaissable dès les premiers mots sur un air de blues: «Ça arrive à manufacture, les deux yeux farmés ben duuuur...»
http://www.lapresse.ca/arts/livres/2017 ... -mythe.php
Vous êtes très "branché" pop rock!Cinci a écrit : ↑jeu. 07 sept. 2017, 5:04https://www.youtube.com/watch?v=bz2jN7bnNJ4
Every day I'm shuffling
(Le plaisir coupable de visionner ce que l'on ne devrait pas)
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