Eveil à la Foi de vos enfants
Règles du forum
Forum d'échange entre chrétiens sur la façon de vivre l'Évangile au quotidien, dans chacun des domaines de l'existence
Forum d'échange entre chrétiens sur la façon de vivre l'Évangile au quotidien, dans chacun des domaines de l'existence
Re: Bénédiction des petits enfants et du pain
Bonjour,
Un laïc peut tout à fait bénir ses enfants en traçant une croix sur le front. Je le fais chaque soir, après avoir béni mon épouse. La bénédiction du pain tombe en désuétude, mais c'est une façon de rappeler la symbolique du pain pour les chrétiens.
Un laïc peut tout à fait bénir ses enfants en traçant une croix sur le front. Je le fais chaque soir, après avoir béni mon épouse. La bénédiction du pain tombe en désuétude, mais c'est une façon de rappeler la symbolique du pain pour les chrétiens.
Cgs
Mes propos qui apparaissent en vert comme ceci indiquent que j'agis au nom de la modération du forum.
Mes propos qui apparaissent en vert comme ceci indiquent que j'agis au nom de la modération du forum.
-
- Tribunus plebis
- Messages : 1896
- Inscription : mer. 22 juin 2011, 22:49
Re: Bénédiction des petits enfants et du pain
Je vous remercie de vos réponses.
C'est en effet un très beau geste dont je garde un souvenir ému et que je vais m'autoriser à reproduire.
C'est en effet un très beau geste dont je garde un souvenir ému et que je vais m'autoriser à reproduire.
"Aussi, croyez-moi, vous pratiquerez beaucoup mieux la vertu en considérant les perfections divines, qu'en tenant le regard fixé sur votre propre limon"
(Thérèse d'Avila)
(Thérèse d'Avila)
- Jean-Mic
- Pater civitatis
- Messages : 4092
- Inscription : mar. 07 févr. 2012, 20:17
- Localisation : Nevers
Re: Bénédiction des petits enfants et du pain
la bénédiction des enfants :
En tout cas, vous le voyez : ce n'est pas un geste du passé !
En toute fraternité
Jean-Mic
- Lorsque nos enfants étaient plus petits, je leur donnais quotidiennement la bénédiction, en traçant une croix sur leur front à l'heure du coucher.
Maintenant qu'ils sont grands, cela m'arrive encore (très) occasionnellement, en posant ma main sur leur front, sans tracer de croix et en invoquant brièvement et silencieusement le Seigneur.
J'utilise souvent ce même geste de l'imposition de la main pour les jeunes enfants de mon entourage, généralement discrètement et silencieusement. La plupart du temps, ni eux ni l'entourage ne s'en rendent compte, mais cela n'est pas un obstacle à la grâce de Dieu.
- Lorsque c'est mon tour de couper le pain, et quel que soit mon entourage, je prends le temps de marquer le pain d'une croix avec la pointe du couteau, toujours avec une invocation silencieuse et discrète sur le thème du bénédicité et du pain partagé.
- Tous les samedis et dimanches midi, je dis un bénédicité improvisé à voix haute pour toute la famille, parfois avec un court refrain repris par tous. Lorsque ça n'est pas possible, ou difficile (en public, avec un entourage ou des invités qui ne suivrait pas), je le dis silencieusement en traçant "mentalement" une grande et large croix sur les convives.
En tout cas, vous le voyez : ce n'est pas un geste du passé !
En toute fraternité
Jean-Mic
Heureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes. Ils n'ont pas fini de s'amuser !
-
- Tribunus plebis
- Messages : 1896
- Inscription : mer. 22 juin 2011, 22:49
Re: Bénédiction des petits enfants et du pain
En effet, ce n'est pas un geste du passé.
Et je suis heureuse de le constater.
Merci Jean Mic!
Et je suis heureuse de le constater.
Merci Jean Mic!
"Aussi, croyez-moi, vous pratiquerez beaucoup mieux la vertu en considérant les perfections divines, qu'en tenant le regard fixé sur votre propre limon"
(Thérèse d'Avila)
(Thérèse d'Avila)
- Jean-Mic
- Pater civitatis
- Messages : 4092
- Inscription : mar. 07 févr. 2012, 20:17
- Localisation : Nevers
Re: Bénédiction des petits enfants et du pain
Je me rends compte que je me suis un peu étalé de manière impudique. Pardonnez-moi cet exhibitionnisme maladroit. J'ai écrit :
En toute fraternité
Jean-Mic
alors que j'aurais dû dire :Jean-Mic a écrit :ce n'est pas un geste du passé !
- ce n'est pas une question de gestes,
ni du passé, ni d'aujourd'hui,
c'est une attitude permanente du coeur.
En toute fraternité
Jean-Mic
Heureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes. Ils n'ont pas fini de s'amuser !
-
- Tribunus plebis
- Messages : 1896
- Inscription : mer. 22 juin 2011, 22:49
Re: Bénédiction des petits enfants et du pain
Vous ne vous êtes pas "étalé de manière impudique" comme vous le dites, au contraire.
Je vous remercie sincèrement de votre franchise et de la simplicité de votre intervention. Cela m'a libérée d'une idée fausse, d'une retenue inutile
Je vous remercie sincèrement de votre franchise et de la simplicité de votre intervention. Cela m'a libérée d'une idée fausse, d'une retenue inutile
"Aussi, croyez-moi, vous pratiquerez beaucoup mieux la vertu en considérant les perfections divines, qu'en tenant le regard fixé sur votre propre limon"
(Thérèse d'Avila)
(Thérèse d'Avila)
- Arzur
- Seminarius
- Messages : 839
- Inscription : jeu. 18 oct. 2007, 17:11
- Localisation : Breiz / Bretagne
Re: Bénédiction des petits enfants et du pain
Oui, c’est très beau la bénédiction familiale, les parents qui bénissent leurs enfants et pourquoi pas aussi les enfants qui bénissent les parents. En tout cas, c’est un geste fort, noble et bon, à encourager. De même pour le pain même comme le rappel Cgs cela est quelque peu tombé en désuétude en France. Il m’arrive par moment de le faire, mais cela n’est pas systématique …
Mais, j’avais compris que dans cet exemple précis, vous n’imposez pas les mains à la manière du sens de la compréhension de l’Eglise. Continuez à faire ce que vous faîtes, mais sans utiliser le terme « imposition des mains »
Imposition des mains : eglise.catholique.fr Imposition des mains : croire.com Imposition des mains : Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie Ps : Certes, je n'ai pas trouvé le document du droit canon qui confirme mes dires sur l’interdiction fait aux laïcs d’imposer les mains, mais je suis sûr de moi. Si quelqu’un ayant de la science pouvait donner la preuve de ce que j’affirme, cela serait bien !
Je vais passer pour un redresseur de tord, mais je crains que l’utilisation de ce terme « imposition des mains » soit utilisé de manière inapproprié. « L’imposition des mains » pour les catholiques est réservée aux seuls ministres ordonnés (Diacres, prêtres, évêques).Jean-Mic a écrit :J'utilise souvent ce même geste de l'imposition de la main
Mais, j’avais compris que dans cet exemple précis, vous n’imposez pas les mains à la manière du sens de la compréhension de l’Eglise. Continuez à faire ce que vous faîtes, mais sans utiliser le terme « imposition des mains »
Imposition des mains : eglise.catholique.fr Imposition des mains : croire.com Imposition des mains : Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie Ps : Certes, je n'ai pas trouvé le document du droit canon qui confirme mes dires sur l’interdiction fait aux laïcs d’imposer les mains, mais je suis sûr de moi. Si quelqu’un ayant de la science pouvait donner la preuve de ce que j’affirme, cela serait bien !
Ar brezoneg hag ar feiz a zo breur ha c'hoar e Breiz !
La langue Bretonne et la foi sont frère et soeur en Bretagne !
La langue Bretonne et la foi sont frère et soeur en Bretagne !
- Jean-Mic
- Pater civitatis
- Messages : 4092
- Inscription : mar. 07 févr. 2012, 20:17
- Localisation : Nevers
Re: Bénédiction des petits enfants et du pain
C'est évidemment un abus de langage . J'aurais au moins dû mettre l'expression entre guillemets afin d'éviter la confusion.
Toutefois, vous conviendrez avec moi qu'il est conforme aux commandements et à l'Evangile d'appeler (non sacramentellement, bien sûr) la bénédiction de Dieu et d'en appeler à l'Esprit-Saint sur ceux que l'on aime, comme sur ceux que l'on n'aime pas assez.
Mais je le reconnais, ma formulation était ambigüe.
En toute fraternité
Jean-Mic
Toutefois, vous conviendrez avec moi qu'il est conforme aux commandements et à l'Evangile d'appeler (non sacramentellement, bien sûr) la bénédiction de Dieu et d'en appeler à l'Esprit-Saint sur ceux que l'on aime, comme sur ceux que l'on n'aime pas assez.
Mais je le reconnais, ma formulation était ambigüe.
En toute fraternité
Jean-Mic
Heureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes. Ils n'ont pas fini de s'amuser !
Vos enfants vos neveux savent-ils prier le "Notre Père" ?
Vos enfants et vos neveux savent-ils prier le "Notre Père" ? (Pape François)
05/03/2014
Copié d'après "Aletaia"
Paroles du Pape François :
« Je vous le demande : vos enfants, vos neveux… savent-ils faire le signe de croix, savent-ils réciter le Notre Père ? Savent-ils prier la Vierge avec le Je vous salue Marie ? Le leur avez-vous appris ? »
Selon une habitude désormais bien ancrée et propre aux audiences générales, le Pape s’est adressé aux fidèles présents place Saint Pierre mercredi 5 mars 2014, à travers un jeu de questions. De ces questions simples auxquelles chacun est invité à « réfléchir et répondre dans son cœur », étant ainsi renvoyé à sa conscience et ses responsabilités de baptisé.
C’est justement - à nouveau et toujours - du baptême dont il était (notamment) question ce 5 mars. Un beau jour ensoleillé pas tout à fait comme les autres, car mercredi des Cendres, c'est-à-dire premier des quarante jours du Carême. « Un temps où l’Eglise nous invite à vivre à fond notre baptême, ce qui signifie notamment ne pas s’habituer aux situations de dégradation et de misère que nous rencontrons en marchant dans les rues de nos villes et de nos pays », a affirmé le Pape. Un rappel de l’exigence, pour tout baptisé, de vivre l’amour évangélique du prochain, à fortiori du prochain dans le besoin.
Réagir face à la réalité du mal qui nous entoure et nous défie
« Il y a le risque d’accepter passivement certains comportements et de ne plus s’étonner face aux tristes réalités qui nous entourent » a-t-il poursuivi. Et de lister : la violence, les frères et sœurs qui vivent et dorment dans la rue, les réfugiés pas assez bien accueillis, les parents qui n’enseignent plus à leurs enfants à prier.
« Réagir face à la réalité de ce mal qui nous défie », voilà ce à quoi le Pape invite les chrétiens pour ce carême, qu’il définit comme un « temps fort », un « tournant», qui peut « nous aider à sortir de nos vieilles habitudes et de la paresse à laquelle on s’est accoutumé ». C’est là un des aspects de cette fameuse conversion, à laquelle nous sommes tous appelés. « Nous avons tous besoin de nous améliorer, de changer en mieux », a-t-il insisté, lâchant ses notes.
Prendre plus vivement conscience de l’œuvre rédemptrice du Christ
Mais avant, le Pape avait rappelé le sens du Carême : « un itinéraire qui conduit au Triduum pascal, mémoire de la passion, de la mort et de la résurrection du Seigneur, cœur et centre du mystère de notre salut ». D’où cette autre invitation : « prendre plus vivement conscience de l’œuvre rédemptrice du Christ ». Une invitation à une autre conversion : « La conscience des merveilles que le Seigneur a opéré pour notre salut oriente notre esprit et notre cœur vers une attitude de gratitude envers Dieu, pour ce qu’il nous a donné, pour tout ce qu’il accomplit en faveur de son Peuple et de l’humanité toute entière. C’est de là que part notre conversion. Elle est la réponse reconnaissante au fabuleux mystère de l’amour de Dieu ».
« Quand nous voyons l’amour que Dieu a pour nous, nous sentons l’envie de nous rapprocher de Lui : c’est cela, la conversion ».
J'ajoute seulement : Il y a dans ma famille deux enfants que j'aime particulièrement car on ne leur parle pas de Dieu : une fille de 14 ans et son frère de 11 ans. Alors vous comprenez mon rôle...
05/03/2014
Copié d'après "Aletaia"
Paroles du Pape François :
« Je vous le demande : vos enfants, vos neveux… savent-ils faire le signe de croix, savent-ils réciter le Notre Père ? Savent-ils prier la Vierge avec le Je vous salue Marie ? Le leur avez-vous appris ? »
Selon une habitude désormais bien ancrée et propre aux audiences générales, le Pape s’est adressé aux fidèles présents place Saint Pierre mercredi 5 mars 2014, à travers un jeu de questions. De ces questions simples auxquelles chacun est invité à « réfléchir et répondre dans son cœur », étant ainsi renvoyé à sa conscience et ses responsabilités de baptisé.
C’est justement - à nouveau et toujours - du baptême dont il était (notamment) question ce 5 mars. Un beau jour ensoleillé pas tout à fait comme les autres, car mercredi des Cendres, c'est-à-dire premier des quarante jours du Carême. « Un temps où l’Eglise nous invite à vivre à fond notre baptême, ce qui signifie notamment ne pas s’habituer aux situations de dégradation et de misère que nous rencontrons en marchant dans les rues de nos villes et de nos pays », a affirmé le Pape. Un rappel de l’exigence, pour tout baptisé, de vivre l’amour évangélique du prochain, à fortiori du prochain dans le besoin.
Réagir face à la réalité du mal qui nous entoure et nous défie
« Il y a le risque d’accepter passivement certains comportements et de ne plus s’étonner face aux tristes réalités qui nous entourent » a-t-il poursuivi. Et de lister : la violence, les frères et sœurs qui vivent et dorment dans la rue, les réfugiés pas assez bien accueillis, les parents qui n’enseignent plus à leurs enfants à prier.
« Réagir face à la réalité de ce mal qui nous défie », voilà ce à quoi le Pape invite les chrétiens pour ce carême, qu’il définit comme un « temps fort », un « tournant», qui peut « nous aider à sortir de nos vieilles habitudes et de la paresse à laquelle on s’est accoutumé ». C’est là un des aspects de cette fameuse conversion, à laquelle nous sommes tous appelés. « Nous avons tous besoin de nous améliorer, de changer en mieux », a-t-il insisté, lâchant ses notes.
Prendre plus vivement conscience de l’œuvre rédemptrice du Christ
Mais avant, le Pape avait rappelé le sens du Carême : « un itinéraire qui conduit au Triduum pascal, mémoire de la passion, de la mort et de la résurrection du Seigneur, cœur et centre du mystère de notre salut ». D’où cette autre invitation : « prendre plus vivement conscience de l’œuvre rédemptrice du Christ ». Une invitation à une autre conversion : « La conscience des merveilles que le Seigneur a opéré pour notre salut oriente notre esprit et notre cœur vers une attitude de gratitude envers Dieu, pour ce qu’il nous a donné, pour tout ce qu’il accomplit en faveur de son Peuple et de l’humanité toute entière. C’est de là que part notre conversion. Elle est la réponse reconnaissante au fabuleux mystère de l’amour de Dieu ».
« Quand nous voyons l’amour que Dieu a pour nous, nous sentons l’envie de nous rapprocher de Lui : c’est cela, la conversion ».
J'ajoute seulement : Il y a dans ma famille deux enfants que j'aime particulièrement car on ne leur parle pas de Dieu : une fille de 14 ans et son frère de 11 ans. Alors vous comprenez mon rôle...
- Jean-Mic
- Pater civitatis
- Messages : 4092
- Inscription : mar. 07 févr. 2012, 20:17
- Localisation : Nevers
Re: Vos enfants vos neveux savent-ils prier le "Notre Père"
Réponse en ce qui concerne ma propre famille : oui ! Enfants, neveux et nièces, petits neveux et petites nièces, tous connaissent leurs prières, ce qui ne veut pas dire qu'ils les pratiquent couramment ...
Fraternellement
Jean-Mic
Fraternellement
Jean-Mic
Heureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes. Ils n'ont pas fini de s'amuser !
Re: Vos enfants vos neveux savent-ils prier le "Notre Père"
Quelle question! Il devait plutôt demander aux adultes s'ils savent prier le notre Père ou l'Ave Maria. Beaucoup savent les "réciter" mais combien savent les prier?
On est à l'Eglise on est assis avec des gens qu'on ne connait pas, mais on dit ensemble "notre père" ce qui signifie qu'on est tous des frères, mais personne ne s'intéresse à l'autre, on ne sait même pas comment notre voisin qui est notre frère s'appelle. Donc on ne comprend même pas le sens de l'expression "Notre Père" qu'on "récite" chaque fois ensemble! et vous demandez aux enfants d'apprendre à "rabâcher" comme leurs parents font?
On est à l'Eglise on est assis avec des gens qu'on ne connait pas, mais on dit ensemble "notre père" ce qui signifie qu'on est tous des frères, mais personne ne s'intéresse à l'autre, on ne sait même pas comment notre voisin qui est notre frère s'appelle. Donc on ne comprend même pas le sens de l'expression "Notre Père" qu'on "récite" chaque fois ensemble! et vous demandez aux enfants d'apprendre à "rabâcher" comme leurs parents font?
-
- Pater civitatis
- Messages : 2230
- Inscription : mar. 10 sept. 2013, 21:38
- Localisation : Près de Paris
Re: Vos enfants vos neveux savent-ils prier le "Notre Père"
... et encore, bien souvent, il n'y a que le prêtre à dire "Notre Père" : l'assemblée n'enchaîne qu'à partir de "qui êtes aux cieux"...kisito a écrit :On est à l'Eglise on est assis avec des gens qu'on ne connait pas, mais on dit ensemble "notre père"
Non pas ce que je veux, mais ce que Tu veux. Mc 14, 36
-
- Tribunus plebis
- Messages : 5032
- Inscription : ven. 26 déc. 2008, 20:02
- Conviction : chrétien non catholique
- Localisation : Le Chambon sur Lignon (France)
Re: Vos enfants vos neveux savent-ils prier le "Notre Père"
_______
Bonsoir,
Effectivement, Dieu notre Père est dans les cieux. Mais les chrétiens sont aussi, au moins spirituellement, dans les lieux célestes, comme nous le voyons en Ephésiens 1 et en Ephésiens 2.
_________
Bonsoir,
Effectivement, Dieu notre Père est dans les cieux. Mais les chrétiens sont aussi, au moins spirituellement, dans les lieux célestes, comme nous le voyons en Ephésiens 1 et en Ephésiens 2.
_________
Comment installer des habitudes chrétiennes pour des enfants?
Bonjour,
je sais que ma question peut sembler très très naïve mais elle est sincère. Ceux qui me connaissent un peu depuis 2012 savent que la mort de mon père fut un véritable tsunami dans ma foi chrétienne. Mes enfants avaient seulement 19 mois, Pour le coup, n'ayant trouvé aucun soutien spirituel à l'époque près de la paroisse de mon quartier, j'ai fait une très longue traversée du désert spirituelle ( 3 ans exactement) avant de sentir la flamme se rallumer. Et puis encore un an d'errance à me dire "Oui mais comment?" vis a vis de mes enfants.
Je leur parle un peu de Dieu, de Jésus, de sa vie, mais cela s'arrête là. Je fais parfois une prière le soir avec eux s'il y a une demande ou une anxiété chez eux.
Je les emmène à une paroisse anglicane certains dimanches matins car c'est le seul endroit assez accueillant pour des enfants, avec des groupes prévus pour eux pendant l'office. Mais le hic, c'est que tout cela est en anglais, langue que mes enfants comprennent un tout petit peu, mais le niveau est bien trop élevé et surtout très centré sur l'Ancien Testament (domaine où je brille moi même par mon ignorance shame on me! ).
Bref, j'ai été récemment invitée à déjeuner chez un couple de parents de cette paroisse et quand ils ont fait la prière avant de commencer le repas, j'ai rougi de honte, car je n'ai jamais fait cela à la maison, et même mes parents, qui étaient très croyants (messe tous les dimanches, prière tous les soirs) ne m'ont jamais initiée étant enfant à ce rituel.
J'aurais besoin d'idées pour instaurer de petites habitudes dans ma vie de maman pour initier mes enfants qui ont 5 ans et demi déjà à une vie chrétienne plus ancrée dans leur vie quotidienne. Merci d'avance.
ps: je voudrais aussi commencer à poser des jalons pour la première communion qui se fait à 7 ans, sauf erreur de ma part?
[Re-bienvenue parmi nous, Expatria! Votre message a été fusionné avec ce fil sur l'Éveil à la foi des enfants. La Modération]
je sais que ma question peut sembler très très naïve mais elle est sincère. Ceux qui me connaissent un peu depuis 2012 savent que la mort de mon père fut un véritable tsunami dans ma foi chrétienne. Mes enfants avaient seulement 19 mois, Pour le coup, n'ayant trouvé aucun soutien spirituel à l'époque près de la paroisse de mon quartier, j'ai fait une très longue traversée du désert spirituelle ( 3 ans exactement) avant de sentir la flamme se rallumer. Et puis encore un an d'errance à me dire "Oui mais comment?" vis a vis de mes enfants.
Je leur parle un peu de Dieu, de Jésus, de sa vie, mais cela s'arrête là. Je fais parfois une prière le soir avec eux s'il y a une demande ou une anxiété chez eux.
Je les emmène à une paroisse anglicane certains dimanches matins car c'est le seul endroit assez accueillant pour des enfants, avec des groupes prévus pour eux pendant l'office. Mais le hic, c'est que tout cela est en anglais, langue que mes enfants comprennent un tout petit peu, mais le niveau est bien trop élevé et surtout très centré sur l'Ancien Testament (domaine où je brille moi même par mon ignorance shame on me! ).
Bref, j'ai été récemment invitée à déjeuner chez un couple de parents de cette paroisse et quand ils ont fait la prière avant de commencer le repas, j'ai rougi de honte, car je n'ai jamais fait cela à la maison, et même mes parents, qui étaient très croyants (messe tous les dimanches, prière tous les soirs) ne m'ont jamais initiée étant enfant à ce rituel.
J'aurais besoin d'idées pour instaurer de petites habitudes dans ma vie de maman pour initier mes enfants qui ont 5 ans et demi déjà à une vie chrétienne plus ancrée dans leur vie quotidienne. Merci d'avance.
ps: je voudrais aussi commencer à poser des jalons pour la première communion qui se fait à 7 ans, sauf erreur de ma part?
[Re-bienvenue parmi nous, Expatria! Votre message a été fusionné avec ce fil sur l'Éveil à la foi des enfants. La Modération]
Re: Eveil à la Foi de vos enfants
Bonjour Expatria,
Je ne suis peut être pas le mieux placé pour vous répondre (n'étant moi même qu'un Chrétien encore débutant et essayant de faire du mieux que je peux avec mes enfants, sans la moindre certitude), mais comme les réponses n'affluent pas pour le moment, je vais essayer de vous répondre :
- Si cela existe près de chez vous, à cet âge l'idéal est de les inscrire à l'Eveil à la Foi (c'est ce qui précède le caté proprement dit, lequel ne commence en général que vers 7/8 ans et permet de faire cheminer les enfants vers le première communion au bout de deux ans).
- La prière avant les repas (bénédicité), j'ai essayé et abandonné car avec des petits c'est difficile (déjà que les repas ne sont pas un moment simple).
- Par contre, j'ai obtenu plus de succès avec la prière du soir (il faut dire que les enfants ne sont en général pas pressés d'aller dormir, donc ils sont toujours partant si on leur propose quelque chose à faire avant le dodo). Il y a plein de petits livres de prières adaptés aux enfants (Voir aux éditions Mame, les livres de Maite Roche...), ça permet d'avoir de la variété, on peut aussi ajouter un Notre Père ou un Je vous salue Marie. Dans tous les cas, c'est très rapide (5 minutes), l'objectif a cet âge est plus d'instaurer un rituel, une habitude (de prévoir un petit moment pour le Seigneur dans leur journée).
- La Messe, le mieux est d'y aller le plus souvent possible. Peu importe que rien ne soit prévu pour les enfants là ou on va, ce qui compte c'est de les habituer, au début ils râlaient après quelques semaines l'habitude est prise.
Si rien n'est prévu pour les enfants, à cet âge il est difficile d'attendre d'eux qu'ils suivent. Je leur ai acheté "Mon évangile du dimanche à colorier" (un coloriage de l'évangile au recto, une prière au verso), ils colorient et dessinent, ça les occupent une partie de la Messe et permet qu'ils restent calme.
- Pour qu'ils comprennent plus facilement ce qui se passe à la Messe et les "évangéliser" un peu, il existe plein de livres pour enfant du type ma première bible, mon premier évangile illustré... Cela permet de leur faire découvrir les principaux personnages de l'ancien testament (Adam/Eve, Noé, Abraham, Moise, David...) et l'essentiel du nouveau testament.
En espérant que cela pourra vous aider un peu.
Je ne suis peut être pas le mieux placé pour vous répondre (n'étant moi même qu'un Chrétien encore débutant et essayant de faire du mieux que je peux avec mes enfants, sans la moindre certitude), mais comme les réponses n'affluent pas pour le moment, je vais essayer de vous répondre :
- Si cela existe près de chez vous, à cet âge l'idéal est de les inscrire à l'Eveil à la Foi (c'est ce qui précède le caté proprement dit, lequel ne commence en général que vers 7/8 ans et permet de faire cheminer les enfants vers le première communion au bout de deux ans).
- La prière avant les repas (bénédicité), j'ai essayé et abandonné car avec des petits c'est difficile (déjà que les repas ne sont pas un moment simple).
- Par contre, j'ai obtenu plus de succès avec la prière du soir (il faut dire que les enfants ne sont en général pas pressés d'aller dormir, donc ils sont toujours partant si on leur propose quelque chose à faire avant le dodo). Il y a plein de petits livres de prières adaptés aux enfants (Voir aux éditions Mame, les livres de Maite Roche...), ça permet d'avoir de la variété, on peut aussi ajouter un Notre Père ou un Je vous salue Marie. Dans tous les cas, c'est très rapide (5 minutes), l'objectif a cet âge est plus d'instaurer un rituel, une habitude (de prévoir un petit moment pour le Seigneur dans leur journée).
- La Messe, le mieux est d'y aller le plus souvent possible. Peu importe que rien ne soit prévu pour les enfants là ou on va, ce qui compte c'est de les habituer, au début ils râlaient après quelques semaines l'habitude est prise.
Si rien n'est prévu pour les enfants, à cet âge il est difficile d'attendre d'eux qu'ils suivent. Je leur ai acheté "Mon évangile du dimanche à colorier" (un coloriage de l'évangile au recto, une prière au verso), ils colorient et dessinent, ça les occupent une partie de la Messe et permet qu'ils restent calme.
- Pour qu'ils comprennent plus facilement ce qui se passe à la Messe et les "évangéliser" un peu, il existe plein de livres pour enfant du type ma première bible, mon premier évangile illustré... Cela permet de leur faire découvrir les principaux personnages de l'ancien testament (Adam/Eve, Noé, Abraham, Moise, David...) et l'essentiel du nouveau testament.
En espérant que cela pourra vous aider un peu.
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 88 invités