Peut t-on l'affirmer lorsqu'on sait la similitude de vocabulaire qui existe entre les 2? Prenez un film de Fantasy de votre choix, notez les formules magiques puis faites une recherche sur le net de ces formules magiques et revenez poster votre découverte.Héraclius a écrit :La distinction essentielle à faire, c'est que la magie d'un univers de Fantasy n'a rien à voir avec celle de notre réalité.
Cette magie n'a pas besoin de mettre explicitement en évidence un pacte avec les démons pour influer sur le subconscient et sur les forces de l’âme du spectateur. Il s'agit de lire entre les lignes de ce qui visualiser. Je dirais plutôt "voir" entre les images.Elle est souvent tenu comme une chose naturelle, une réalité semblable à la présence de l'eau et de l'air, et non le fruit d'un pacte plus ou moins conscient avec les démons.
On pourrait extrapoler plus en longueur en parlant de ceux qui guérissent avec des plantes naturelles. Cela n'apporte pas grand chose à la discussion sauf à reconnaitre que Dieu donne à certaines personnes le don de guérison que ce soit avec des pierres énergétiques ou avec des plantes ou même avec de la salive comme Notre Seigneur Jésus-Christ le faisait.Lorsque Sainte Hildegarde utilisait des pierres énergétiques pour guérir, pratiquait-elle la magie ? Non. Précisément parce qu'elle considérait les energies de ses pierres comme purement naturelle.
Cette citation de St Cyprien de Carthage est selon vous hors-sujet mais c'est parce que la réponse à sa question ne vous caresse pas. Voici sa question en version simple: Pensez vous être autorisé à vous délecter de ce qui vous est interdit de pratiquer?Votre citation de St Cyprien est hors-sujet. Ce qui préoccupe Saint Cyprien, c'est que les spectacles sont en son temps systématiquement associé au paganisme ; du théatre au combat de gladiateurs, tout est consacré aux dieux païens.
Je vois votre réponse mais je préfère attendre patiemment.
De quelle morale parlez vous mon cher Héraclius? De la morale du monde ou de la morale Catholique?D'autre part, les films en notre temps sont la plupart du temps inscrits dans un contexte moral. Il y a les gentils, et les méchants. Et plus les méchant sont monstrueux, plus les gentils sont héroïques en les combattant....Lorsque le gentil tue, dans un blockbuster américain basique, il le fait pour le plus grand bien, pour combattre le méchant et ses sbires et mettre fin à une oppression.
Mais ce n'est pas cela que Notre Seigneur Jésus-Christ nous appris. Ce n'est pas cela son enseignement.
Nous avons appris de notre Maitre et Seigneur qu'il faut tendre la joue gauche lorsqu'on reçoit un soufflet sur la droite
Nous avons appris de notre Maitre et Seigneur qu'il faut aimer ses ennemis et priez pour eux
Nous avons appris de notre Maitre et Seigneur qu'il faut être doux et humble de cœur. Heureux les Miséricordieux disait t-il.
Notre Maitre et Seigneur criait haut et fort: "A moi la rétribution, A moi la vengeance, Ne rendez pas le mal par le mal etc..."
Je vous repose donc la question: De quelle morale parlez vous lorsque comme vous le dites on voit des "gentils" tuer pour se venger ?
Pardonnez moi mais c'est une erreur de lecture de votre part. Je ne rejette pas la mort surtout lorsqu'on sait la délivrance qu'elle représente pour le Chrétien. Ce que je rejette c'est l'apologie des tueries, de l'horreur, du sang, de la magie, de la sorcellerie etc... dans les films quelque soit le bout par lequel on veut l'expliquer.De la même manière, lorsque vous évoquez les morts dans les films ; rejettez-vous pour autant la mort dans les livres ? Car l'élément essentiel est que la mort est généralement au coeur des processus narratifs, quels qu'ils soient, et y compris au coeur même des hagiograpghies des martyrs.
Union de Prières
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xTheo