Petites Soeurs de Bethléem

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Héraclius
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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par Héraclius » lun. 08 déc. 2014, 18:56

Il est fascinant, je trouve, de voir que l'hétérodoxie fraye assez naturellement avec le sectarisme.

En tout cas, prions pour ces soeurs. :(
''Christus Iesus, cum in forma Dei esset, non rapínam arbitrátus est esse se æquálem Deo, sed semetípsum exinanívit formam servi accípiens, in similitúdinem hóminum factus ; et hábitu invéntus ut homo, humiliávit semetípsum factus oboediens usque ad mortem, mortem autem crucis. Propter quod et Deus illum exaltávit et donávit illi nomen, quod est super omne nomen, ut in nómine Iesu omne genu flectátur cæléstium et terréstrium et infernórum.'' (Epître de Saint Paul aux Philippiens, 2, 7-10)

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Héraclius
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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par Héraclius » lun. 08 déc. 2014, 19:02

Et bien je pense qu'il n'est pas anodin que la congrégation soutienne des pratiques très peu orthodoxes (pendules, etc...) et soit en même temps sujette à des dérives sectaires.

Héraclius -
''Christus Iesus, cum in forma Dei esset, non rapínam arbitrátus est esse se æquálem Deo, sed semetípsum exinanívit formam servi accípiens, in similitúdinem hóminum factus ; et hábitu invéntus ut homo, humiliávit semetípsum factus oboediens usque ad mortem, mortem autem crucis. Propter quod et Deus illum exaltávit et donávit illi nomen, quod est super omne nomen, ut in nómine Iesu omne genu flectátur cæléstium et terréstrium et infernórum.'' (Epître de Saint Paul aux Philippiens, 2, 7-10)

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par mellissa » lun. 08 déc. 2014, 21:25

Mon amie ex soeur m'a dit que sur la bande annonce de la vidéo à 1m27 elle a reconnue une fille qui est sortie de la communauté il y a quelque mois. Dans le séquence du feu nouveau qui se passe à Pâques m'a-t-elle dit, la 2eme soeur en partant de la gauche. C'est étonnant, car à Bethleem j'avais entendu dire qu'on effaçait toute trace photo ou vidéo des soeurs qui sortent. Sans doute une maladresse. Ou bien son visage sera peut être floqué au moment de la diffusion. Je suis impatiente de voir ce film pour le comparer au Grand Silence des Chartreux qui m'avait beaucoup plu. Mais sans doute cela va être très différent comme approche.

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par mellissa » lun. 08 déc. 2014, 22:12

Je pense aussi que ce film a été voulu pour contrer les témoignages négatifs qui sont en train de sortir. Pour soigner leur image écornée en quelque sorte.

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AncienBethléem
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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par AncienBethléem » jeu. 11 déc. 2014, 13:17

De mémoire, Jésus parle de beauté à deux ou trois endroits de l’Evangile :

Au sujet des lys des champs : « Salomon, dans toute sa gloire, n’était pas vêtu comme l’un deux ».
Lorsque d’autres ventent en sa présence les beautés du Temple: « De tout ce que vous voyez, il ne restera pas pierre sur pierre ».
Il y a aussi la parabole de la maison nettoyée, rangée et bien ornée, mais totalement vide, et je me demande si cette parabole ne serait pas à rapprocher de ce que Jésus prophétise sur le Temple.

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par mellissa » mar. 16 déc. 2014, 1:07

Je me permets d'ajouter un post de l'ex-rère Fabio Barbero tiré du site où sont publiés les témoignages. Cela explique bien le problème de l'obéissance à Bethléem et cette spiritualité qui va piocher dans l'occident et l'orient sans arriver à en tirer une identité propre et pour un résultat qui sonne creux. C'est un peu long mais assez bien vu.
[+] Texte masqué
Je remercie vivement Babeth pour son témoignage. Quelqu’un a dit qu’il pourrait paraître surréaliste, mais le réel de Bethléem est ainsi, il ne ressemble en rien au réel et à la vie qu’on mène partout ailleurs.

Je voudrais d’abord confirmer point par point les affirmations de Babeth, et en profiter pour rajouter quelques exemples. Je ne reprendrai que certains points, juste pour continuer à essayer de donner une idée de ce qu’est vivre dans un monastère de Bethléem.

Babeth parle du jeûne. Quand je suis sorti le menu type d’une semaine de carême (et les frères étaient censés manger plus que les sœurs), était à peu près celui-ci. Lundi et mercredi : fruits (pommes) à manger le matin en sortant de Matines (vers 8h30), puis la nourriture était servie en une seule fois vers 10h45 et comprenait du riz (la plupart du temps complet) non assaisonné, ni sel ni huile – on avait du sel et de l’huile en cellule – des grains de sésame grillés ou pas grillés, des carottes râpées et du pain. Le mardi et le jeudi, on y ajoutait du fromage et parfois de pommes de terre, le samedi un protide animal, genre œuf et des galettes. Le vendredi par contre on jeûnait au pain et à l’eau, et rien d’autre, ni fruits ni riz. Tout cela était porté aux portes des cellules, dans un grand sac du genre de ceux qui servent pour le transport des produits surgelés (on avait trouvé ce stratagème offert par un couple de parents) avec dedans un glaçon plastique. Le glaçon et le sac devaient servir à garder « au frais » le peu de nourriture qui restait et qui était consommée vers 17h30 ou après les vêpres vers 19h. Il faut compter que je parle du monastère en Terre Sainte, où les chaleurs étaient souvent torrides. Le dimanche on avait deux repas sobres mais complets, dont un au réfectoire (le seul repas de la semaine pris tous ensemble).

Babeth parle des excès dans la prière personnelle. Je confirme tout ce qu’elle dit et je rajoute un détail qui pourra paraître loufoque, mais qui va de soi à Bethléem où il se prétend d’une tradition monastique millénaire. Je parle du « Canon de prière de Carême ». Avant le carême, chaque frère doit présenter à son prieur un « canon », c’est-à-dire une liste de bonnes résolutions. Elles comprennent notamment la prière et un point d’ascèse et de conversion personnelle. Pour la prière, il est de coutume de présenter une liste où on doit chiffrer un certain nombre de « prières de Jésus » (Seigneur Jésus Christ, Fils du Dieu Vivant, aie pitié de moi pécheur – selon cette formule ou dans ses nombreuses variantes), le frère s’engage à en dire au moins 300 par jour, il y en avait qui en disait beaucoup plus, jusqu’à 1500 ou davantage. Cela signifie très concrètement que le frère doit pouvoir compter ces prières, il le fait se servant de son chapelet (en laine, comme les chapelet orthodoxe, pouvant aller jusqu’à 300 grains) En plus des prières de Jésus, le frère doit indiquer aussi un certain nombre de « grandes métanies » (genre de génuflexion où on va jusqu’à toucher terre avec son front – très musclé comme exercice de pitié). Si le frère n’arrive pas à respecter ses résolutions, il en demande pardon lors du chapitre des coulpes hebdomadaire.

Babeth évoque encore les grandes liturgies et leurs excès. Peut-être que des lecteurs de ce site ont participé aux liturgies de grandes fêtes liturgiques à Bethléem, ou même à la Semaine Sainte. Il faut savoir que la communauté sort de ces tours de force complétement épuisée. Il est fort rare qu’en Semaine Sainte le moine ou la moniale s’enfoncent dans le silence et la prière. Il est beaucoup plus probable qu’il ou qu’elle soient réquisitionnés pour l’immense préparation que ces liturgies demandent. Ménages, repas, scénographies à préparer et à peaufiner jusqu’à la perfection, répétitions de chant harassants pour les frères et les sœurs chantres, heures et heures de travail pour les chargés de la sacristie… A la fin, on a passé bien plus de temps dans le « paraître », même si liturgiquement impeccable, que dans « l’être ».

Pour finir, je voudrais approfondir un instant un sujet qui a été souvent évoqué au fil des témoignages et des commentaires parus sur ce site, celui de l’obéissance. A Bethléem on a une conception très particulière de l’obéissance (on aura bien compris que tout tourne autour de ce mot, on obéit jusqu’à la mort, et il est vrai qu’on pourrait objecter que saint Paul dans la lettre aux Philippiens, utilise justement ce mot « il fut obéissant jusqu’à la mort et à la mort de la croix », d’ailleurs ce passage biblique du Nouveau Testament est cité à temps et à contre temps à Bethléem).

Je voudrais juste raconter une anédocte. Quand il s’est agi de trouver un grand cours de théologie propédeutique, que tous les moines et toutes les moniales auraient eu à suivre dans les premières années de leur vie monastique, l’enseignement sur la vertu d’obéissance s’est présenté comme un cas particulier. Pour tous les autres éléments de la doctrine de la foi, mais vraiment pour tous, la sœur qui a écrit ce méga-cours, s’est inspirée de saint Thomas d’Aquin.

La doctrine sur Dieu, Trinité, Création, la doctrine sur l’homme, nature, grâce, vertus, péchés, la doctrine sur la révélation, Incarnation, Rédemption, Sacrements, etc, tous ces aspects étaient traités à la lumière de la doctrine de Saint Thomas d’Aquin. Tous, sauf un, justement la vertu d’obéissance. Arrivée à cette partie de son cours, la sœur, je m’en souviens parfaitement, notait que pour la vertu d’obéissance on quittait pour un instant la doctrine du Docteur Angélique pour se référer à l’enseignement des pères du désert et des sœurs et des frères prieurs.

Pourquoi cela ? Tout simplement parce que sur ce point précis la doctrine de Bethléem a peu à voir avec l’enseignement du Docteur Commun, qui est celui qui fonde la pratique de l’obéissance religieuse dans l’Eglise Catholique et en particulier qui constitue le soubassement théologique des articles la concernant dans le Droit Canon.

Qu’est-ce que dit Saint Thomas ? Il distingue clairement deux types d’obéissance, celle de l’intelligence que lui il appelle « spéculative » (ce que nous pensons par nous-mêmes et au plus intime de nous-mêmes) et celle de l’intelligence que lui il appelle « pratique » (ce que nous décidons de faire dans le concret de notre vie). Or, pour lui ça ne fait pas de doute, seule l’intelligence pratique est concernée quand on parle d’obéissance religieuse.

Le religieux obéit à son responsable dans les limites de l’autorité que celui-ci a sur lui, les limites de l’action pratique, et donc du for externe (et sans que cela aille contre sa conscience). Un religieux ne pourra jamais adhérer à ce que son supérieur pense, ce qu’à Bethléem on appelle « faire sienne l’intention de sa prieure ou de son prieur », cette obéissance n’est due qu’à Dieu seul (autrement, dit Saint Thomas, l’intelligence du religieux serait comme une girouette, car un supérieur, les circonstances étant changées, peut très bien lui demander une chose que son prédécesseur lui avait interdite). C’est cet enseignement du Docteur Angélique qui fonde la distinction séculaire dans l’Eglise Catholique entre for interne et for externe, distinction que Bethléem se refuse de reconnaître, sinon dans les propos, du moins dans la pratique.

D’où donc Bethléem prétend tirer sa doctrine de l’obéissance ? Elle dit « des pères du désert ». Il est vrai que la pratique de la transparence des pensées est né dans les déserts d’Orient, au début de l’expérience monastique. Il est vrai qu’on lit dans les récits des pères du désert que le disciple doit rendre compte à son père spirituel du nombre de gouttes d’eau qu’il boit dans sa cellule et du nombre de pas qu’il fait dans sa journée. On y retrouve exactement la comptabilité des prières de Jésus ou des métanies que j’évoquais tout à l’heure. Comment résoudre ce problème ?

Ce que je vais dire maintenant est le fruit de mon expérience et de ma réflexion personnelle. Je le partage ici sans prétendre l’imposer à personne mais plutôt comme une suggestion qui pour moi s’est révélée bénéfique.

Je crois qu’en parlant de l’obéissance on touche à une des déviances majeures de Bethléem. Comme le disait si bien Hélène dans son témoignage, Bethléem n’est ni l’Orient ni l’Occident, ou mieux elle est l’Orient quand ça l’arrange et elle est l’Occident quand ça lui convient. Bethléem a pris à droite et à gauche dans différentes traditions ecclésiales, catholiques ou orthodoxes, et les a fondues ensemble dans un creuset qui, les décontextualisant, a fini par les dénaturer.

Pour illustrer tout ceci, je vais tout simplement raconter ce qui a constitué le premier declic qui m’a porté à décider de partir de Bethléem. C’était en juin-juillet 2008. J’avais été envoyé (ce serait trop long d’expliquer par qui et comment cela s’est fait) passer trente-quarante jours de retraite dans un monastère copte en Egypte, pour ceux qui fréquentent un peu la littérature monastique, chez le monastère de Matta el Meskin, connu aussi comme Matthieu le Pauvre, (moine mort en 2005 qui a refondé le monachisme copte et qui a écrit un grand nombre de livres spirituels devenus des bestsellers du genre en Occident). Or, une des raisons pour lesquelles j’allais là-bas était surtout pour que j’y apprenne l’obéissance, la vraie, celle des pères du désert.

Quelle n’a été donc ma surprise la première fois que j’ai rencontré le fils spirituel de Matta el Meskin, l’héritier de son esprit et de sa doctrine, un moine qui parlait parfaitement le français et qui avait accepté de me suivre spirituellement pendant la retraite. Je garde encore dans un petit cahier les paroles qu’il m’a adressées lors de notre première rencontre. Pour lui la distinction entre for interne et for externe était fondamental. Le for interne était au Christ, et le père spirituel n’avait rien à y faire. Il se montrait farouche sur ce point, et il ne comprenait pas qu’on puisse entendre la tradition spirituelle des pères du désert d’une autre façon. Je me souviens parfaitement du petit sourire qu’il arborait en me disant : « un égyptien ne peut pas supporter les règles, c’est l’Occident qui les a inventées ».

Ces paroles et d’autres, qui petit à petit ont commencé à miner en moi tout « l’édifice spirituel » appris à Bethléem, je ne les ai jamais oubliées. Elles m’ont aidé à réfléchir et m’ont fait petit à petit comprendre que cette tradition monastique tant mise en avant à Bethléem, dont elle se sert comme d’un bouclier pour justifier ses manières d’agir, n’est pas la vraie tradition du monachisme telle qu’encore aujourd’hui est vécue chez les moines d’Orient. Bethléem en a coupé les racines, comme elle l’a fait avec tant d’autres traditions ecclésiales. Elle a coupé et a essayé de tout transplanter chez elle, dans le jardin de « la Vierge ».

On peut raisonnablement se demander si, ce faisant, elle n’a pas été fait d’une source de vie, ces plantes florissantes, un lieu de mort.

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par Thaïs » mar. 24 févr. 2015, 11:36

Il y a du bon et du très mauvais dans cette communauté, comme un peu partout. J'ai déjà passé plusieurs jours dans différents monastère (trois au total). On ne peut dénier la charité et l'accueil des soeurs et des prêtres aumôniers. Cependant, c'est "trop" ils en font des caisses et ça ne fait pas du tout "naturel" (ni surnaturel d'ailleurs), il y a un côté séducteur qui me met mal à l'aise. Et dès qu'ils vous ont "eu" vous n'êtes plus intéressant...

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par AncienBethléem » mer. 15 avr. 2015, 13:26

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par Bernard Gui » mer. 15 avr. 2015, 14:35

« Projet de la Vierge », peut-être ; Projet du dominicain, c’est sûr …
Exactement ce que j'avais pu imaginer comme scénario possible à l'origine de la famille de Bethléem !

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par AncienBethléem » jeu. 16 avr. 2015, 16:25

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par mariemacrine » ven. 17 avr. 2015, 10:28

Ancien de Bethléem a écrit : La seule différence, c’est le sommeil en deux fois, et je ne dirais même pas le lever de nuit parce qu’à Bethléem, on se levait à trois heures du matin (en se couchant très tôt).

Je voudrais préciser que le lever à 3 h du matin n'a pas duré très longtemps, en tout cas dans le monastère où je vivais, et que depuis plus de 15 ans, l'Office de Matines n'est plus à 4h ni même à 5 heures du matin mais autour de 6h30, 7 h.
Il est vrai qu'on était censé se lever pour dire, en cellule, l'Office de l'Attente, un office plus ou moins" inventé" ...
Ainsi sur les horaires officiels le lever était vers 4 h du matin, mais combien de sœurs se levaient ?
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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par Bernard Gui » ven. 17 avr. 2015, 12:50

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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par mariemacrine » sam. 18 avr. 2015, 11:12

@ Bernard Gui,
Vous avez tout à fait raison, l'Office de l'Attente participe de la Liturgie orthodoxe.
Ce que je voulais exprimer, mais je l'ai fait trop rapidement, c'est qu’à Bethléem on a "pioché" dans l'office orthodoxe pour en faire l'office dont on avait besoin.
Le véritable office de l'Attente a été modifié, amputé.
De très belles prières ont disparu : si mes souvenirs sont bons dès le Trisagion on disait les psaumes.
Cet office avait été instauré pour maintenir un lever officiel très matinal..
il y avait tant de stalles vides
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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par Bernard Gui » sam. 18 avr. 2015, 12:02

Bonjour,

L'extrait que j'ai donné est tiré du petit Horologion, Office de minuit.
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Re: Petites Soeurs de Bethléem

Message non lu par AncienBethléem » jeu. 23 avr. 2015, 11:54

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