On sait que les technologies numériques perturbent la concentration d'une personne dans le travail. Donc, l'intelligence "augmentée" ne peut pas se faire. Il faudrait que l'être humain devienne une intelligence artificielle dépourvue d'émotions.Cepora a écrit : ↑sam. 27 janv. 2018, 11:03Le transhumanisme voudrait en effet améliorer l'être humain, particulièrement en utilisant les progrès de la science dans le domaine de la génétique. Il s'agirait d'une augmentation ou d'une amélioration des capacités physiques et/ou cognitives de l'être humain. Or, comme nos chers agriculteurs le savent très bien, un organisme génétiquement modifié, par exemple pour devenir plus résistant à certaines maladies, devient stérile. De là provient la nécessité de la GPA pour le transhumanisme.
Je me permets de retranscrire les paroles du Cardinal Sarah, lors d'un hommage rendu au Professeur Jérôme Lejeune :
En effet, avec le transhumanisme, cela signifie que “l’humanité augmentée” sera le triomphe de l’eugénisme, et de la sélection du meilleur capital génétique parmi tous les êtres afin de créer le surhomme idéal. Le transhumanisme va réaliser, grâce aux techno-sciences, le rêve prométhéen du nazisme. Comme dans le nazisme, y aura-t-il une race de seigneur ? Si oui, sur quels critères ? Et dans ce cas que fera-t-on des “sous-hommes” selon la terminologie nazi, dont le travail aura été remplacé par les robots ?
De plus, les produits chimiques et les OGM peuvent rendre une personne stérile. De là, des remèdes sont nécessaires, mais la GPA sépare et isole l'enfant de la famille entravant ainsi l'accès l'intelligence pour le travail.
Je me répète :
Donc le transhumanisme aboutira à une dérive qui nuira à l'intelligence.
[Réflexion enrichissante sur le lien entre GPA et transhumanisme, mais veillez à ne pas faire dévier le sujet. Restez centrés sur la GPA. Pour le transhumanisme, c'est ici : http://www.cite-catholique.org/viewtopi ... me#p311760]