Trump à la Maison Blanche

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etienne lorant
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Trump à la Maison Blanche

Message non lu par etienne lorant » jeu. 29 juin 2017, 9:49

La prochaine élection présidentielle américaine n'aura pas lieu avant 1.200 jours, mais Donald Trump s'occupe déjà de son financement. Il a choisi, pour ce faire, le Trump International Hotel, situé à deux pas de la Maison Blanche.

Le 45e président des Etats-Unis a participé mercredi soir à Washington à un dîner de levée de fonds en faveur de sa campagne et du parti républicain.

La Maison Blanche ne fait aucun mystère de ses ambitions pour un second mandat, en 2020: "Bien sûr qu'il sera candidat à sa réélection", a lancé sa porte-parole Sarah Huckabee Sanders, interrogée sur ce thème.

"Pour l'heure, il est concentré sur son programme, sur les élections (parlementaires) de mi-mandat et sur les levées de fonds pour son parti, rien d'anormal à mon sens pour un président", a-t-elle pris soin d'ajouter.

A plusieurs reprises, le républicain a lui-même évoqué ses projets pour les "huit années" à venir.

Le billet d'entrée pour le dîner était est de 35.000 dollars par personne (avec possibilité de financement à hauteur de 100.000 dollars pour un statut de donateur privilégié).

Si elle est régulièrement critiquée, la participation du président à des levées de fonds - pour son parti ou sa campagne - fait partie, depuis des décennies, du paysage politique américain, chez les démocrates comme les républicains.

Mais le mélange des genres entre la carrière politique de Donald Trump et son empire immobilier soulève une nouvelle fois d'innombrables questions: les riches donateurs qui viendront l'écouter contribueront aussi, de fait, au développement de son empire immobilier.

- 'Sans précédent' -

Près de 200 élus démocrates du Congrès viennent de l'assigner en justice, lui reprochant de profiter de sa fonction présidentielle pour amasser des gains financiers venus de l'étranger via son empire immobilier.

Une plainte similaire, déposée par l'Etat du Maryland (est) et la capitale Washington, soulignait par ailleurs que le Trump International Hotel faisait une concurrence déloyale aux hôtels voisins.

Pour les auteurs de ces assignations, le président Trump est coupable de conflits d'intérêt permanents, en n'ayant pas pris suffisamment de distance avec son groupe économique. Si le milliardaire a confié à ses fils le contrôle au jour le jour de ses affaires, il a conservé toutes ses parts dans la Trump Organization.


Les plaignants relèvent par exemple que des délégations étrangères ont préféré descendre à l'hôtel international Trump de Washington, que des gouvernements étrangers ont décidé d'acheter ou de louer des locaux immobiliers construits par le groupe Trump, ou encore que les autorités chinoises ont enregistré des dépôts de marques appartenant à M. Trump.

Symbole fort s'il en est: l'hôtel de luxe, né de la rénovation de l'ancienne poste de Washington, est situé sur la célèbre Pennsylvania Avenue qui relie la Maison Blanche au Capitole, siège du pouvoir législatif.

Plusieurs ONG, parmi lesquelles l'organisation "Public Citizen", avaient appelé à manifester devant l'établissement de luxe.


Publié le mercredi 28 juin 2017 à 17h33 à Paris (AFP)
«Cela ne vaut pas seulement pour ceux qui croient au Christ mais bien pour les hommes de bonne volonté, dans le cœur desquels, invisiblement, agit la grâce. En effet, puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’ëtre associés au mystère pascal ». ( Gaudium et Spes, le Concile Vatican II )

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Toujours des plaintes contre les media...

Message non lu par etienne lorant » sam. 01 juil. 2017, 17:26

Donald Trump s'en est de nouveau pris samedi matin aux médias, qu'il accuse de véhiculer la "haine" envers lui, poursuivant notamment sa passe d'armes particulièrement acrimonieuse avec deux journalistes de la chaîne MSNBC.

Sa querelle avec les présentateurs de la chaîne, dont la violence des mots a choqué jusque dans le camp républicain, a donné lieu samedi à une série de tweets matinaux avec, à la clé, une nouvelle salve d'insultes. "Le fou Joe Scarborough et Mika (Brzezinski) bête comme ses pieds ne sont pas de mauvaises personnes, mais leur mauvaise émission est dominée par leurs patrons de NBC", a écrit Donald Trump en citant la chaîne dont il dénonce régulièrement la couverture qu'il juge partiale. C'est avec ces deux journalistes, en couple à l'écran et dans la vie, que le président Trump s'est livré jeudi et vendredi à deux jours d'altercation par tweets et éditoriaux interposés. Le milliardaire a notamment reproché à "la folle Mika au faible QI" et à "Joe le psychopathe" de donner une vision biaisée de son administration à l'antenne, les intéressés dénonçant de leur côté des "insultes de cour d'école", un président "à la dérive" et mettant en doute sa santé mentales...

Publié le samedi 01 juillet 2017 à 17h01 à WASHINGTON (USA)
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Toujours les passes-d'arme avec la presse

Message non lu par etienne lorant » lun. 03 juil. 2017, 15:32

La guerre entre le président des Etats-Unis et les médias a pris un tour d'une violence inattendue dimanche 2 juillet. Donald Trump a utilisé une ancienne vidéo, dans laquelle on voit le milliardaire mettre à terre un des organisateurs d'une compétition de catch, le visage de la victime est remplacé par le sigle de la chaîne CNN.

Avec notre correspondante à Washington, Anne-Marie Capomaccio

Le président des Etats-Unis se met en scène, terrassant un adversaire, et diffuse cette vidéo sur Twitter. En arrière-plan, un combat de catch. Le milliardaire, au pied du ring, agresse et met K.O. un des membres de l'organisation. Mais lorsque le poing de Donald Trump atteint, à plusieurs reprises, le visage de la victime, c'est le sigle de la chaîne CNN qui encaisse le coup. Il ne s'agit pas d'une erreur, c'est bien la communication présidentielle, mûrement réfléchie.


http://www.rfi.fr/ameriques/20170703-et ... ump-medias
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Trump : discours du 4 juillet

Message non lu par etienne lorant » mer. 05 juil. 2017, 11:04

Plus présidentiel que jamais, Donald Trump a tenté de livrer mardi soir devant le Congrès un message d’espoir et d’optimisme. Sans pour autant lever les inquiétudes et l’imprécision autour de son agenda politique.

1) Son meilleur discours
«J’ai le sentiment que ce soir, Donald Trump est devenu président des Etats-Unis». La réaction de Chris Wallace, l’une des figures de la chaîne conservatrice Fox News, quelques minutes après le discours du président, illustre la performance réalisée par ce dernier devant le Congrès. Républicains comme démocrates, Donald Trump a pour une fois mis tout le monde d’accord : ce discours est sans conteste le meilleur de sa présidence. Sans doute aussi le meilleur depuis son entrée dans la course à la Maison Blanche, il y a près de deux ans.


Sur la forme d’abord : voix calme, regard déterminé mais apaisé, Donald Trump n’a que très rarement dévié du discours préparé et lu sur téléprompteur. Un discours très présidentiel, sans dérapage, expurgé de ses attaques récurrentes contre les médias et de ses fanfaronnades sur sa victoire contre Hillary Clinton. Sur le fond ensuite : le ton très sombre de son discours d’investiture, au cours de laquelle il avait dépeint une Amérique en plein «carnage», a laissé place à une vision plus optimiste. «Je suis ici ce soir pour délivrer un message d’unité et de force, et c’est un message délivré du fond du coeur. Un nouveau chapitre de la grandeur américaine débute. Une nouvelle fierté nationale déferle sur notre pays», a-t-il lancé dès les premières secondes de son intervention.

Avec un lyrisme très inhabituel, Donald Trump a prononcé quelques phrases que Barack Obama «l’intello» n’aurait pas reniées. A l’image de cette tirade de fin : «Nous avons besoin de trouver le courage de partager les rêves qui emplissent nos coeurs. La bravoure pour exprimer les espoirs qui agitent nos âmes. Et la confiance pour transformer ces espoirs et ces rêves en action. A partir de maintenant, l’Amérique sera portée par nos aspirations et non accablée par nos peurs. Inspirée par le futur et non soumise aux échecs du passé. Guidée par notre vision et non aveuglée par nos doutes».

2) Main tendue… sans succès
A plusieurs reprises, Donald Trump a tendu la main vers les élus démocrates. «Pourquoi ne pas joindre nos forces ? Démocrates et républicains devraient travailler ensemble et s’unir pour le bien de notre pays, et pour le bien du peuple américain», a-t-il lancé. «Le temps des combats futiles est derrière nous», a-t-il ajouté un peu plus tard, dans une volonté de rassembler une nation profondément divisée, notamment sur sa personne. Dans la salle, les démocrates lui ont pourtant réservé un accueil glacial.

A quelques rares exceptions près, les élus du parti d’opposition sont restés assis, visages fermés, bras croisés, pendant que l’autre moitié de l’hémicycle, occupée par les élus républicains, applaudissait à tout rompre. Pour marquer leur désaccord profond avec le président, une quarantaine d’élues démocrates étaient vêtues de blanc, couleur symbolisant la défense des droits des femmes. Dans un ultime désaveu, la plupart des démocrates ont quitté les bancs du Congrès sans applaudir aussitôt après la fin du discours, laissant les républicains offrir au président une dernière «standing ovation». Cette rupture avec la tradition, symbole de la profondeur des divisions, n’a pas échappé à Donald Trump.

3) Un moment poignant
Cela restera comme le moment fort de ce discours, le seul où démocrates et républicains ont affiché leur unité. Comme le veut le tradition, le président avait invité plusieurs personnes à assister à son discours. Parmi elles : Carry Owens, la veuve de Ryan Owens, soldat des forces spéciales tué fin janvier dans une opération américaine contre Al-Qaïda au Yémen. «Ryan est mort comme il a vécu : un guerrier et un héros, combattant le terrorisme et protégeant notre nation», a d’abord lancé Donald Trump. L’assistance s’est levée pour applaudir Carry Owens, assise à la droite d’Ivanka Trump, la fille du président.

Alors que le raid suscite la controverse en raison de la mort de Ryan Owens mais aussi de nombreux civils, dont des enfants, le président a assuré ensuite que l’opération avait été, selon le Pentagone, «une grande réussite ayant fourni de grandes quantités de renseignements vitaux». Puis Donald Trump a ajouté : «l’histoire de Ryan est gravée dans l’éternité». La salle s’est à nouveau levée pour rendre un hommage appuyé à Carryn Owens. Les yeux parfois levés vers le ciel, la jeune femme blonde a été submergée par l’émotion. L’ovation a duré près de deux minutes. Un moment touchant conclu par une étonnante remarque improvisée du président : «Ryan regarde depuis là-haut, vous le savez, et il est très content car je crois qu’un record vient d’être battu», a-t-il dit en référence à la longueur des applaudissements. Chez Donald Trump, l’ancien animateur de télé-réalité obsédé par la gagne et les audiences n’est jamais bien loin.

4) Le diable se cache dans les détails
Quelques heures avant son discours, Donald Trump avait confié à des journalistes qu’il était prêt au «compromis» sur le sujet sensible de l’immigration. D’après CNN, le président américain aurait laissé entendre qu’il n’était pas opposé à la régularisation d’une partie des quelques onze millions de personnes vivant aux Etats-Unis en situation irrégulière. Cette apparente inflexion politique avait été accueillie avec scepticisme par les démocrates, avec attention par les républicains modérés et avec une certaine consternation chez les plus conservateurs, catégoriquement opposés à toute régularisation.

Ceux qui espéraient des détails lors du discours au Congrès ont été déçus. Certes, Donald Trump a esquissé les contours d’un système d’immigration «basé sur le mérite», prenant l’exemple du Canada et de l’Australie. Les Etats-Unis doivent «abandonner le système actuel d’une immigration peu-qualifiée», a-t-il lancé. Certes, il a dit croire qu’une «réelle réforme positive de l’immigration» était possible, à condition de se concentrer sur l’emploi des Américains, la sécurité et le respect des lois. Confiant, il a même appelé démocrates et républicains à «travailler ensemble» sur ce sujet. L’hypothèse semble toutefois très peu probable. Et hormis ses promesses répétées de construire «un grand mur» avec le Mexique et d’expulser les «membres de gangs, les trafiquants de drogue et les criminels», il a été plutôt avare en détails.

Pour le reste, Donald Trump a réitéré ses engagements de campagne : remplacer Obamacare par quelque chose de «moins cher» et «meilleur», réduire massivement les impôts, renforcer l’armée, éradiquer l’Etat islamique, investir 1000 milliards de dollars dans un vaste plan de rénovation des infrastructures. Tout cela a un coût et sur la question du financement, Donald Trump est toujours resté discret. La bataille s’annonce rude avec un Congrès républicain largement allergique à la dépense publique.

5) Rassurer les alliés
Donald Trump a peu parlé de politique étrangère. Mais il a prévenu : sur la scène diplomatique, aussi, ce sera l’Amérique d’abord. «Mon travail, ce n’est pas de représenter le monde. Mon travail, c’est de représenter les Etats-Unis d’Amérique». Une phrase sortie tout droit du manuel nationaliste et protectionniste de son conseiller Steve Bannon. Alors qu’il avait qualifié l’Otan «d’obsolète», loué le Brexit et prédit la désintégration de l’Union européenne, Donald Trump a cherché à rassurer. «Nous soutenons fortement l’Otan», a-t-il dit, tout en répétant que les alliés des Etats-Unis «au sein de l’Otan, au Moyen-Orient ou dans le Pacifique» devaient «remplir leurs obligations financières» et «payer leur juste part du coût» des opérations militaires.

Après avoir soufflé le chaud et le froid ces derniers mois, critiquant l’interventionnisme militaire américain tout en s’entourant de militaires et en proposant une hausse historique de près de 10% du budget du Pentagone, Donald Trump a tenu à répéter qu’il n’était pas belliciste. «Nous savons que l’Amérique se porte mieux lorsqu’il y a moins de conflits», a-t-il insisté. «L’Amérique est disposée à trouver de nouveaux amis, à forger de nouveaux partenariats, lorsque nos intérêts partagés s’alignent. Nous voulons l’harmonie et la stabilité, pas la guerre et le conflit. Nous voulons la paix, partout où elle peut être trouvée», a conclu Donald Trump.

http://www.liberation.fr/planete/2017/0 ... es_1551820
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Donald Trump : le plus rapide sur le Green !

Message non lu par etienne lorant » sam. 08 juil. 2017, 17:21

On ne sait toujours pas s’il va rendre sa grandeur à l’Amérique, mais Donald Trump compte bien montrer qui est le patron au golf, quitte à tricher un peu.

Selon les informations du New York Post, le président des Etats-Unis aurait trouvé une technique imparable pour apparaître au-dessus de la mêlée sur son propre terrain de golf, le Trump National Golf Club de Westchester.

Aller plus vite sur le green suivant
Jouer mieux que tout le monde, avec un swing resplendissant ? Non, le président américain a simplement fait débrider sa voiturette de golf pour « qu’elle aille plus vite sur le green que celles des autres joueurs ».
Est-ce contraire à l’éthique ? Certes, mais cela permet de se réserver le green suivant. Les autres golfeurs ne prendraient pourtant pas ombrage de ce comportement. « C’est vrai, mais les membres adorent ça. [Donald Trump] a un grand respect pour eux, et si ils s’y étaient opposés il ne l’aurait jamais fait. »

Difficile de lui reprocher, c’est le patron


« Une des choses qu’il aime faire, quand et s’il leur passe devant, c’est de saluer les membres qu’il double. Ils adorent vraiment la plaisanterie, comme monsieur Trump », rapporte le New York Post.
Ceci dit, il est difficile de tacler le patron de l’établissement… Qui aurait d’ailleurs été aperçu à plusieurs reprises brisant une autre règle fondamentale du golf : l’interdiction de rouler sur le green....

http://www.20minutes.fr/insolite/210101 ... es-joueurs
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Affaire de famille et affaire d'Etat ?

Message non lu par etienne lorant » mer. 12 juil. 2017, 16:21

Donald Trump Jr, 39 ans, a rendu publics lui-même mardi des courriels montrant qu'il était au courant des efforts de la Russie pour aider la campagne de son père, admettant dans l'un d'eux qu'il "adorerait" obtenir des informations compromettantes de Moscou sur la rivale démocrate Hillary Clinton.

Le président américain Donald Trump a défendu mercredi matin son fils aîné, affirmant qu'il était "innocent" tandis que la publication d'un échange d'emails alimentait encore davantage les soupçons concernant le rôle de Moscou dans l'élection présidentielle de 2016.
Le père félicite le fils. Donald Trump Jr, 39 ans, a rendu publics lui-même mardi des courriels montrant qu'il était au courant des efforts de la Russie pour aider la campagne de son père, admettant dans l'un d'eux qu'il "adorerait" obtenir des informations compromettantes de Moscou sur la rivale démocrate Hillary Clinton. "Mon fils Donald a fait du bon travail hier soir", a tweeté le président tôt mercredi, faisant référence à l'entretien de son fils mardi soir sur Fox News. "Il a été ouvert, transparent et innocent", a-t-il estimé. "C'est la plus grande chasse aux sorcières de l'histoire politique. Triste !", a estimé le président, répétant une accusation qu'il a déjà émise à plusieurs reprises concernant l'affaire russe.

Une "avocate du gouvernement russe". D'après les emails, Donald Jr. a été informé par un intermédiaire britannique qu'il pourrait obtenir "des informations de très haut niveau et sensibles" dans le cadre "du soutien de la Russie et de son gouvernement pour M. Trump". Il a expliqué sur Fox que sa rencontre avec une femme identifiée dans les courriels comme une "avocate du gouvernement russe" n'avait mené à rien, assurant ne pas avoir évoqué cette discussion avec son père car elle n'avait pas fourni d'informations compromettantes concernant Hillary Clinton. Il s'est rendu à cette rencontre en juin 2016 avec Paul Manafort, directeur de la campagne Trump, et Jared Kushner, gendre de Donald Trump devenu l'un de ses plus proches conseillers à la Maison Blanche.

"Fake news". Par ailleurs, le président s'est en de nouveau pris aux médias mercredi. "Souvenez-vous, quand vous entendez 'ont indiqué des sources' dans les Faux médias, souvent ces sources sont inventées et n'existent pas", a-t-il tweeté, sans qu'il apparaisse clairement s'il faisait référence à un article en particulier, puisque les informations de presse concernant la rencontre de son fils avec l'avocate russe ont été confirmées par les intéressés.

http://www.europe1.fr/international/don ... as-3387422
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Trump à la Maison blanche

Message non lu par etienne lorant » lun. 24 juil. 2017, 11:29

Les avocats du président américain examinent les antécédents des enquêteurs embauchés par le procureur spécial, afin de dénicher de potentiels conflits d’intérêts.
Le Monde.fr avec AP | 21.07.2017 à 09h34




Le torchon brûle entre Donald Trump et Robert Mueller, nommé pour diriger une enquête indépendante sur les ingérences russes dans la campagne électorale américaine de 2016, à mesure que les investigations se rapprochent des liens commerciaux propres du président.
L’équipe juridique du président américain est en train d’examiner à la loupe les antécédents professionnels et les affiliations politiques des enquêteurs embauchés par le procureur spécial, afin de dénicher de potentiels conflits d’intérêts susceptibles de discréditer l’enquête en cours, ou de constituer un dossier pour renvoyer l’ancien dirrecteur du FBI, ou encore de récuser certains des enquêteurs, selon trois personnes ayant eu connaissance du dossier.
Le procureur Jay Sekulow, membre de l’équipe juridique externe du président, a déclaré à The Associated Press que les avocats « évaluer[aie]nt systématiquement la question des conflits et les porter[aie]nt devant les juridictions appropriées ».

Trump a contesté publiquement Mueller

Le champ des recherches est vaste, écrit le New York Times jeudi. Cela inclut aussi bien l’examen des donations aux candidats démocrates qu’une enquête sur d’anciens clients et les liens de Robert Mueller avec James. B. Comey, renvoyé de la tête du FBI alors que le directeur du bureau fédéral fait partie du conseil spécial d’enquête.
Ces révélations interviennent au moment où Mueller et son équipe, composée d’enquêteurs financiers chevronnés, s’intéressent aussi aux transactions impliquant les entreprises de Trump et de ses associés, dont Jared Kushner, son gendre et conseiller principal de la Maison Blanche, selon Bloomberg jeudi, citant une source proche du dossier.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article ... tKbTI5D.99
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L'avenir de l'Obama Care se joue maintenant...

Message non lu par etienne lorant » lun. 24 juil. 2017, 18:46

Les sénateurs américains devraient voter mardi pour décider d'ouvrir ou non les débats sur l'abrogation de la réforme du système de santé de Barack Obama, longtemps promise par les républicains. Mais le vote risque d'échouer.

"Les républicains ont une dernière chance de faire ce qu'il faut pour abroger et remplacer (Obamacare), après avoir passé des années à faire campagne sur cette promesse", a tweeté lundi le président Donald Trump, qui a repris cet engagement durant sa campagne présidentielle.

Mais l'arithmétique du Sénat est implacable. Sur les 52 membres de la majorité républicaine, trois ont déclaré la semaine dernière qu'elles voteraient non lors du vote sur la motion visant à mettre une abrogation "sèche" à l'ordre du jour.

Aucun texte ne peut être examiné sans un premier vote autorisant l'ouverture des débats.

Puisque les 48 démocrates de l'opposition voteront non, les républicains ne peuvent se permettre que deux défections. Le vice-président, selon la Constitution, peut apporter la 51e voix en cas d'égalité 50-50.

Une fois que le texte est à l'ordre du jour, les sénateurs pourront déposer des amendements et réécrire de facto toute la loi pour "remplacer" Obamacare, mais les républicains modérés font si peu confiance aux chefs de groupe qu'ils refusent, à ce stade, de laisser les débats commencer.

Les négociations, en coulisses, sont intenses pour rattraper les sénatrices qui ont torpillé l'initiative républicaine la semaine dernière en annonçant leur opposition.

L'une d'elles, Shelley Moore Capito, reçoit ainsi lundi soir la visite du président des Etats-Unis dans son Etat de Virginie occidentale, l'un des plus pauvres du pays, où les habitants ont le plus à perdre d'une abrogation d'Obamacare.

Donald Trump doit participer à une convention scout.

Le dirigeant cajole et menace à la fois ses alliés du Congrès pour les forcer à voter pour remplacer Obamacare par une réforme républicaine. Il a laissé entendre que les rebelles pourraient subir des représailles politiques au moment de leur réélection.

Les sénateurs républicains modérés, pourtant, ne veulent pas d'une réforme qui couperait fortement le budget de la santé, notamment le programme public de couverture maladie pour les plus pauvres, Medicare, dont des millions de personnes seraient radiées à terme si la réforme républicaine initiale était adoptée.



Publié le lundi 24 juillet 2017 à 17h18 à Washington (AFP)
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Trump à la Maison blanche

Message non lu par etienne lorant » lun. 31 juil. 2017, 11:10

Donald Trump a appelé dans une série de tweets rageurs les élus à se remettre au travail. Il souhaite qu’ils arrivent à faire passer cette réforme, faute de quoi ils passeraient pour des «dégonflés».
Pour autant, il n’est pas certain que ces menaces soient suivies d’effet. Des républicains ont coupé court à tout espoir de réformer rapidement l’Obamacare. Le Sénat, où ils sont majoritaires, a aussi adopté à la quasi unanimité et malgré l’opposition de Donald Trump, des sanctions contre la Russie pour avoir interféré avec l’élection présidentielle. Autant dire que le président est loin d’avoir la main-mise sur les élus de son parti.

http://www.msn.com/fr-be/actualite/mond ... spartandhp

Dépassé par ses excès, ses lubies, ses solutions à l'emporte-pièce, ces "y a qu'à", l'absence d'une idée pour ce temps. Que n'investisse-t-il pas, par exemple, dans un grand projet comme fut celui de l'exploration lunaire ? Tout ce pouvoir et si peu d'imagination ? Devenir Président avec le seul projet de défaire ce que d'autres ont fait ? Bah, c'est nul ! A côté de lui, Richard Nixon a quand même réussi à terminer la guerre du Viet-Nam...
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Christophe67
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Message non lu par Christophe67 » lun. 31 juil. 2017, 11:50

Je crois personnellement qu'il s'est retrouvé dépassé avant son élection, quand il a commencé à caracoler dans les sondages.
Le reste est presque une suite logique.

J'ai du mal à croire qu'il finisse son mandat, soit un vent de révolte, soit de destitution. Pour lui aussi la poudre de perlinpinpin a un effet limité.

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Situation politique en Amérique

Message non lu par etienne lorant » ven. 04 août 2017, 11:00

Donald Trump s'est déchaîné jeudi soir contre l'enquête sur l'ingérence présumée russe dans la présidentielle américaine de 2016, qui a franchi une étape vers de possibles poursuites pénales avec avec la constitution d'un grand jury, rapportée par les médias américains.

"L'histoire russe est une fabrication totale", a lancé Donald Trump lors d'un meeting devant une foule de ses partisans en Virginie Occidentale. "La raison pour laquelle les démocrates ne parlent que de cette histoire russe totalement inventée est qu'ils n'ont pas de message, pas d'agenda et pas de vision".

Selon le Wall Street Journal, ainsi que le Washington Post et le New York Times, le procureur spécial Robert Mueller, qui enquête sur les accusations d'ingérence russe durant la campagne présidentielle de 2016 et des soupçons de collusion entre l'équipe du candidat Trump et Moscou, a constitué un grand jury, ce qui pourrait déboucher sur des poursuites pénales à Washington.

Selon le WSJ, ce grand jury --une sorte de chambre d'instruction composée de citoyens qui délibèrent dans le secret du huis clos pour déterminer si les éléments présentés par le procureur peuvent donner lieu à une inculpation-- a été formé dans les "récentes semaines".

"Vous ne constituez pas un grand jury à moins que votre enquête ait mis en évidence assez d'éléments qui pour vous reflètent une violation d'au moins une disposition criminelle, sinon davantage", a commenté pour l'AFP Bradley Moss, avocat américain spécialisé dans les affaires de sécurité nationale.

"Escalade significative"

Pour lui, il s'agit d'une "escalade significative du processus" judiciaire dans l'affaire russe.

L'avocat du président Trump, Ty Cobb, a déclaré n'avoir pas connaissance de la constitution d'un grand jury, assurant que "la Maison Blanche est en faveur de tout ce qui peut accélérer la conclusion" de ce dossier et que l'exécutif "coopère pleinement" avec les services du procureur Mueller.

"L'ancien directeur du FBI James Comey a dit trois fois que le président n'est pas visé par l'enquête et nous n'avons aucune raison de croire que cela a changé", a pour sa part affirmé la porte-parole de la Maison Blanche, Sarah Sanders.

James Comey avait été limogé en mai par M. Trump en raison de cette affaire russe dont il chapeautait le volet de l'enquête désormais dirigé par M. Mueller.

Le dollar reculait vendredi à Tokyo après ces informations, à 110,10 yens contre 110,70 la veille.

Le président américain a toujours catégoriquement nié toute collusion avec la Russie dans le cadre de la campagne présidentielle de 2016 et a qualifié l'affaire, qui empoisonne sa présidence, de "chasse aux sorcières". Mais il a été forcé de reconnaître que son fils aîné Donald Jr, son beau-fils Jared Kushner et le directeur de sa campagne Paul Manafort avaient rencontré une avocate russe liée au Kremlin pour obtenir des informations potentiellement compromettantes sur la démocrate Hillary Clinton.

Parallèlement, M. Mueller enquêterait sur les finances de M. Trump et ses associés, selon la chaîne CNN. Le président a publiquement prévenu le procureur spécial que cela constituerait le franchissement d'une ligne rouge, faisant craindre à nombre d'observateurs qu'il ne tente d'écarter Robert Mueller de cette enquête tentaculaire.

Deux sénateurs, le démocrate Chris Coons et le républicain Thom Tillis, ont présenté jeudi une proposition bi-partisane pour protéger M. Mueller en conditionnant son renvoi éventuel à un examen par la justice.

S'il était appelé à témoigner devant un grand jury, M. Trump ne serait pas le premier président à l'être. Bill Clinton avait ainsi dû fournir des détails de sa relation avec Monica Lewinsky.

Les accusations d'ingérence russe dans l'élection présidentielle ont figuré parmi les principales motivations des nouvelles sanctions contre Moscou adoptées à une majorité écrasante par les parlementaires américains.

Promulguées mercredi par M. Trump, elles ont suscité la colère de Moscou. "Nos relations avec la Russie sont à un plus bas historique et très dangereux", a tweeté jeudi Donald Trump qui se targuait pourtant lors de sa prise de fonctions en janvier de pouvoir réchauffer les relations avec le Kremlin.


http://www.ladepeche.fr/article/2017/08 ... trump.html
«Cela ne vaut pas seulement pour ceux qui croient au Christ mais bien pour les hommes de bonne volonté, dans le cœur desquels, invisiblement, agit la grâce. En effet, puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’ëtre associés au mystère pascal ». ( Gaudium et Spes, le Concile Vatican II )

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Trump à la Maison blanche

Message non lu par etienne lorant » mar. 08 août 2017, 10:46

Suivez les actualités Trump !

ÉTATS-UNIS - Une lutte acharnée plus violente qu'un épisode de "Game of Thrones". D

Depuis qu'il s'est lancé à la conquête de la Maison Blanche, Donald Trump mène une guerre sans répit aux médias traditionnels, les accusant sans cesse de dénigrer sa campagne puis sa politique, de colporter des rumeurs infondées et de tenter de le faire choir à grands renforts de "Fake news".

Pour lutter contre ses adversaires, le président américain déploie des tactiques toujours plus variées. Via les réseaux sociaux, en générant le chaos et en n'hésitant pas à mentir de manière éhontée -notamment au moyen de ses "alternative facts"-, mais aussi depuis quelques jours grâce à des vidéos publiées directement sur sa page Facebook.

Leur contenu? Des "real news", comme le montre notre vidéo en tête d'article, c'est-à-dire de faux programmes journalistiques vantant les mérites de sa présidence et présentés alternativement par sa belle-fille Lara Trump et par Kayleigh McEnany, une présentatrice conservatrice qui vient de démissionner de CNN, le grand ennemi médiatique du milliardaire.

http://www.huffingtonpost.fr/2017/08/07 ... _23068345/
«Cela ne vaut pas seulement pour ceux qui croient au Christ mais bien pour les hommes de bonne volonté, dans le cœur desquels, invisiblement, agit la grâce. En effet, puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’ëtre associés au mystère pascal ». ( Gaudium et Spes, le Concile Vatican II )

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Ils ont plus confiance en Poutine qu'en Trump !

Message non lu par etienne lorant » ven. 18 août 2017, 16:38

La majorité des personnes dans 22 pays dont l’Allemagne, la France, la Grèce, et l’Italie éprouvent une plus grande confiance pour le président russe Vladimir Poutine que pour son homologue américain Donald Trump lorsqu’il s’agit de prendre de bonnes décisions sur la scène internationale. C’est ce qui ressort d’une étude menée par la firme de recherche Pew Research Center. Toutefois, Trump dépasse Poutine dans 13 pays, dont le Royaume-Uni, la Pologne, les Pays-Bas et Israël.
Pour chacun des 37 pays sondés, Pew a interrogé entre 800 et 1200 personnes par téléphone. Au total, près de 41 000 personnes ont participé à cette enquête.


https://fr.express.live/2017/08/18/mond ... ine-trump/
«Cela ne vaut pas seulement pour ceux qui croient au Christ mais bien pour les hommes de bonne volonté, dans le cœur desquels, invisiblement, agit la grâce. En effet, puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’ëtre associés au mystère pascal ». ( Gaudium et Spes, le Concile Vatican II )

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Trump à la Maison blanche

Message non lu par etienne lorant » ven. 18 août 2017, 18:11

Début août, Donald Trump s’était réjoui sur Twitter. « Le business va mieux que jamais avec un climat des affaires à des niveaux record.

La Bourse à son plus haut. Ça ne se fait pas tout seul ! » Depuis le temps s’est gâté.

Après la défection des patrons américains, consternés par le refus du président de condamner explicitement l’extrême droite après le drame de Charlottesville (Virginie), voici la sanction de la Bourse: Wall Street a fini jeudi 17 août sur une forte baisse, la plus forte depuis trois mois. L’indice Dow Jones a reculé de 1,24 % à 21 750 points tandis que le Nasdaq, l’indicateur des valeurs technologiques, perdait
1,94 %.

Certes, l’indice Dow Jones a gagné 21,5 % depuis la victoire électorale de M. Trump en novembre 2016, mais l’été est fébrile. Après les tensions géopolitiques sur la Corée du Nord de la semaine dernière, viennent les problèmes internes américains : sur fond de résultats d’entreprises décevants, qu’il s’agisse de ceux de Cisco ou des marges de Wal-Mart rognées par l’e-commerce au moment où Amazon vient d’émettre 16 milliards de dollars (13,6 milliards d’euros) d’obligations sur les marchés financiers pour racheter Whole Foods Market, les investisseurs s’inquiètent de l’isolement croissant de M. Trump.

Lâché par les grands patrons, le président a dû dissoudre mercredi deux groupes de PDG censés le conseiller.

Jeudi, la rumeur a aussi couru que le principal conseiller économique de Donald Trump, Gary Cohn, considéré comme un gage de stabilité, avait donné sa démission, dégoûté selon ses proches par les propos présidentiels. La rumeur a été démentie par la Maison Blanche aux médias américains sans vraiment rassurer les marchés

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... jPFutW6.99
«Cela ne vaut pas seulement pour ceux qui croient au Christ mais bien pour les hommes de bonne volonté, dans le cœur desquels, invisiblement, agit la grâce. En effet, puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’ëtre associés au mystère pascal ». ( Gaudium et Spes, le Concile Vatican II )

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Re: Ils ont plus confiance en Poutine qu'en Trump !

Message non lu par Cinci » sam. 19 août 2017, 22:41

Quelle est la bonne réponse finalement?

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