il est impossible qu'une provocation ne soit en aucun cas une part des causes, bien que non principale.Cinci a écrit :
Alors ici la «cause» qui entraîne la mort d'innocents se trouve du côté des journalistes, à raison de leur immaturité, leur inconscience. Pas mal, pas mal ...
Non
La liberté de parole, d'expression ou de publication n'a de sens, pour moi, que si vous permettez justement aux
iconoclastes (... dissidents, athées, hérétiques, malpolis, roturiers, etc.) de s'exprimer sans conséquence
sérieuses pour leur vie, leur famille, leurs enfants, etc.
Les conséquences ? Un droit c'est un droit. La religion n'a rien à voir là-dedans.
s.
Ensuite toute liberté légale, comme de trahir un ami, n'est pas morale. Quand on parle de comportement irresponsable dans le cadre de liens avec une guerre civile, on parle moralité d'abord.
Enfin non, moralement un droit n'est pas un droit. Il y a les circonstances et les conséquences (ici, politiques, plus que religieuses).
C'est ce que Max Weber appelle la distinction entre l'éthique de conviction et l'éthique de responsabilité.