Bonne année chère Kerniou!
Bloavez mad!
Bonsoir Briscard (je vous ai déja présenteé mes bons voeux... Mais je vous les renouvelle)
Assurément vous n'avez pas de chance avec les prêtres que vous rencontrez!Bassmeg a écrit : ↑ven. 04 janv. 2019, 5:10Bonsoir Briscard (je vous ai déja présenteé mes bons voeux... Mais je vous les renouvelle)
Je partage votre point de vue. Sans être une vagabonde de clocher, je voyage beaucoup (trop à mon gout) et il m' arrive moi aussi de me heurter à une certaine distance ou manque de compréhension de la part de certaines personnes, surtout quand j' aborde des sujets qui ne me paraissent pas inopportuns, mais qui ont apparemment le don de rappeler les gens à des obligations pressantes. Tous ne fuient pas, j' ai trois amis qui sont avides de discuter, mais la plupart des prêtres que je fréquente épisodiquement au gré de mes tribulations ne recherchent pas mon contact, voire m' esquivent si ils le peuvent.
Si on veut régénérer l' Eglise, nous pourrions réfléchir sur ce point. Un prêtre pourrait-il être tenu de parler avec X, sans dire qu' il n' a "pas le temps" ?
Si on veut régénérer l' Eglise, nous pourrions réfléchir sur ce point.
Un prêtre pourrait-il être tenu de parler avec X, sans dire qu' il n' a "pas le temps" ?
Voici ce qu'il en est exactement de ces "servants d'autel" qui peuvent aussi bien être garçons ou filles, selon l'avis du curé de la paroisse.Carhaix a écrit : ↑dim. 06 janv. 2019, 14:45En revanche, je me suis toujours demandé pourquoi l'enfant était autant sollicité dans l'Église. Je sais qu'on a besoin d'enfants pour le chœur. Mais, normalement, ils viennent seulement à la sacristie prendre une aube, et ressortent en procession devant toute la foule. Donc je ne vois pas à quel moment ils peuvent être en présence d'un prêtre en tête à tête. Voire pour chanter (même si depuis Vatican II, il n'y a quasiment plus de maîtrises, remplacées par des animatrices qui agitent inutilement leurs bras pendant la messe). Mais dans ce cas, c'est l'affaire d'un chef de chœur. Et encore une fois, ça se passe de façon collective. Aucun tête à tête avec un prêtre ici. Il y a le catéchisme, mais il est assuré par des dames patronesses.
Alors à quel moment un enfant se retrouve seul avec un prêtre ? Pendant les activités organisées durant les vacances, j'imagine. Mais est-ce vraiment la responsabilité de l'Église d'organiser des camps de vacances ? C'est ça, que je ne comprends pas. Quel est l'objectif ? Est-ce que ça sert à préparer des chrétiens adultes ? Même pas ! Est-ce que l'Église ne peut pas se recentrer sur sa vraie mission, et arrêter de faire le zouave ?
Mais quel est leur rôle ? « Il n’y a pas de statut parfaitement défini des servants d’autel », affirme Chantal de Thoury, responsable des servants d’autel au Service national de pastorale liturgique et sacramentelle (SNPLS) à la Conférence des évêques de France (CEF).
« Leur rôle est d’aider à la prière de l’assemblée et de servir la liturgie, principalement pendant les eucharisties dominicales, mais aussi lors des baptêmes et même des mariages », poursuit-elle, en rappelant que, depuis les années 1980, on ne parle plus d’enfants de chœur mais de servants d’autel.
« Le service de l’autel s’est développé à partir du Concile de Trente », rappelle le père Jean-Baptiste Sèbe, curé de la paroisse Saint-Jean-XXIII à Rouen et enseignant de théologie sacramentaire à l’Institut catholique de Paris.
extrait de : https://www.la-croix.com/Religion/Catho ... 1200958633L’instruction de Jean-Paul II Redemptionis Sacramentum (2004) énonce d’ailleurs que « les filles ou les femmes peuvent être admises à ce service de l’autel, au jugement de l’évêque diocésain ; dans ce cas, il faut suivre les normes établies à ce sujet » (n° 47).
En septembre 2011, lors d’une messe présidée par Benoît XVI à Fribourg-en-Breisgau (Allemagne), le Saint-Siège avait ainsi autorisé que des filles servent la messe du pape.
Mais personne n' a parlé de gens qui rabachent, Foxy, à part vous. Nous parlions de la distance avec laquelle certains prêtres traitent certains fidèles (et il semble que nous sommes plusieurs à en souffrir et à le regretter). Pour réduire cette distance, recommander aux gens d' aller à confesse, de prendre rendez-vous ou encore de faire des réunions ou l' info cheminera verticalement par voie d' émissaire, c' est exactement ce qui est rejeté. Nous voulons plus de proximité, pas plus d' intermédiaires, de rendez-vous ou de confessionnal. On devrait quand même pouvoir parler à nos prêtres sans devoir au préalable confessé qu' on a repris deux fois de la buche à Noël, quand même. Outre que c' est très infantilisant, ce n' est pas fait pour faire gagner du temps, puisque vous disiez que les prêtres étaient très occupés.Foxy a écrit : ↑sam. 05 janv. 2019, 11:52Je ne crois pas que ça régénèrerait l'Eglise d'écouter un tas de personnes qui rabâchent les mêmes histoires : c'est peut-être la raison pour laquelle un prêtre dit "qu'il n'a pas de temps"...Si on veut régénérer l' Eglise, nous pourrions réfléchir sur ce point.
Un prêtre pourrait-il être tenu de parler avec X, sans dire qu' il n' a "pas le temps" ?
Car effectivement, le temps leur est compté, ils ne se tournent pas les pouces du matin au soir...
Pour discuter des problèmes qui se posent par exemple dans une paroisse, il y a des réunions et quelqu'un fait remonter.
Quant à voir un prêtre pour un problème particulier, il suffit de prendre rendez-vous. De même pour une confession où l'on souhaite un échange.
Qui vous parle de confession ? c'est vous qui dites cela, pas moi.Bassmeg a écrit : ↑dim. 06 janv. 2019, 17:27Mais personne n' a parlé de gens qui rabachent, Foxy, à part vous. Nous parlions de la distance avec laquelle certains prêtres traitent certains fidèles (et il semble que nous sommes plusieurs à en souffrir et à le regretter). Pour réduire cette distance, recommander aux gens d' aller à confesse, de prendre rendez-vous ou encore de faire des réunions ou l' info cheminera verticalement par voie d' émissaire, c' est exactement ce qui est rejeté. Nous voulons plus de proximité, pas plus d' intermédiaires, de rendez-vous ou de confessionnal. On devrait quand même pouvoir parler à nos prêtres sans devoir au préalable confessé qu' on a repris deux fois de la buche à Noël, quand même. Outre que c' est très infantilisant, ce n' est pas fait pour faire gagner du temps, puisque vous disiez que les prêtres étaient très occupés.Foxy a écrit : ↑sam. 05 janv. 2019, 11:52
Je ne crois pas que ça régénèrerait l'Eglise d'écouter un tas de personnes qui rabâchent les mêmes histoires : c'est peut-être la raison pour laquelle un prêtre dit "qu'il n'a pas de temps"...
Car effectivement, le temps leur est compté, ils ne se tournent pas les pouces du matin au soir...
Pour discuter des problèmes qui se posent par exemple dans une paroisse, il y a des réunions et quelqu'un fait remonter.
Quant à voir un prêtre pour un problème particulier, il suffit de prendre rendez-vous. De même pour une confession où l'on souhaite un échange.
La régénération de l' Eglise ne peut pas se faire en perpétuant des habitudes millénaires qu' on voudrait justement modifier. Le changement par l' immobilisme n' est pas un concept prometteur, à mon humble avis.
Effectivement, je suis d'accord avec Foxy . Votre remarque est étrange. De quelle proximité parlez-vous ? Les prêtres se comportent normalement lorsqu'on est en leur présence. On peut leur parler, s'entretenir avec eux. J'imagine juste que c'est un peu plus compliqué en province où ils sont peu nombreux. Mais si on se rend à une messe, on peut y voir des prêtres, et leur parler. Il y a des permanences qui sont affichées. Que peut-on demander de plus ? De quelle distance parlez-vous ? Ce n'est pas clair.Bassmeg a écrit : ↑dim. 06 janv. 2019, 17:27Mais personne n' a parlé de gens qui rabachent, Foxy, à part vous. Nous parlions de la distance avec laquelle certains prêtres traitent certains fidèles (et il semble que nous sommes plusieurs à en souffrir et à le regretter). Pour réduire cette distance, recommander aux gens d' aller à confesse, de prendre rendez-vous ou encore de faire des réunions ou l' info cheminera verticalement par voie d' émissaire, c' est exactement ce qui est rejeté. Nous voulons plus de proximité, pas plus d' intermédiaires, de rendez-vous ou de confessionnal. On devrait quand même pouvoir parler à nos prêtres sans devoir au préalable confessé qu' on a repris deux fois de la buche à Noël, quand même. Outre que c' est très infantilisant, ce n' est pas fait pour faire gagner du temps, puisque vous disiez que les prêtres étaient très occupés.Foxy a écrit : ↑sam. 05 janv. 2019, 11:52
Je ne crois pas que ça régénèrerait l'Eglise d'écouter un tas de personnes qui rabâchent les mêmes histoires : c'est peut-être la raison pour laquelle un prêtre dit "qu'il n'a pas de temps"...
Car effectivement, le temps leur est compté, ils ne se tournent pas les pouces du matin au soir...
Pour discuter des problèmes qui se posent par exemple dans une paroisse, il y a des réunions et quelqu'un fait remonter.
Quant à voir un prêtre pour un problème particulier, il suffit de prendre rendez-vous. De même pour une confession où l'on souhaite un échange.
La régénération de l' Eglise ne peut pas se faire en perpétuant des habitudes millénaires qu' on voudrait justement modifier. Le changement par l' immobilisme n' est pas un concept prometteur, à mon humble avis.
Autrement dit, le prêtre doit être à votre entière disposition, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.Bassmeg a écrit : ↑dim. 06 janv. 2019, 17:27Bassmeg a écrit:
Nous voulons plus de proximité, pas plus d' intermédiaires, de rendez-vous ou de confessionnal. On devrait quand même pouvoir parler à nos prêtres sans devoir au préalable confessé qu' on a repris deux fois de la buche à Noël, quand même. Outre que c' est très infantilisant, ce n' est pas fait pour faire gagner du temps, puisque vous disiez que les prêtres étaient très occupés.
En général, c'est affiché, mais parfois, comme chez nous, c'est avant la messe du soir le jeudi, dans une seule église du doyenné.La seule chose que je regrette, c'est l'absence d'affichage, dans les églises de province, concernant les confessions. Il devrait y avoir des horaires de confessions.
Et puis, la guidance n'est pas la confession. Et si l'on demande à un prêtre d'être son "directeur de conscience", il y a une relation qui permet parfois d'aboutir à la confession.Kerniou a écrit : ↑lun. 07 janv. 2019, 10:45Rien n'oblige à se confesser avant de parler à un prêtre ... Par ailleurs, il faut dire qu'ils sont peu nombreux et que leur emploi du temps est, pour certains, très chargé ...
Ne pourrions-nous pas leur accorder un peu de la compréhension que nous attendons de leur part ? ...
Chez nous c'est aussi mentionné dans la feuille des célébrations de la semaine à venir, que nous prenons à la sortie de la messe du dimanche.Foxy a écrit : ↑lun. 07 janv. 2019, 12:32@ CarhaixEn général, c'est affiché, mais parfois, comme chez nous, c'est avant la messe du soir le jeudi, dans une seule église du doyenné.La seule chose que je regrette, c'est l'absence d'affichage, dans les églises de province, concernant les confessions. Il devrait y avoir des horaires de confessions.
Autrement dit, il faut tout lire et si le papier n'est pas mis à jour, c'est parfois illisible.
Vous avez aussi des communautés religieuses qui sont plus faciles à avoir des confessions régulières, mais il faut le leur demander.
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