Trinité,
Je dirais que le trouble obsessionnel et compulsif prend le pas sur la conscience.
Le désir que l’on ressent nous pousse à vouloir reproduire le plaisir que nous avons vécu.
En fait l’inhibition provient du ressenti en l’âme, et s’imprègne dans le cerveau ensuite.
N'est ce pas le contraire?
« J’ai envie de toucher la flamme qui m’attire, ne connaissant pas le résulta je commet l’acte, je me brûle, je suis averti de ne pas recommencer. »
Dans le cas d’une correction reçu après une bêtise, la correction qui est inhibitrice, est vécu avant que le cheminement ne ce face dans les méandres du cerveau.
Cela c'est le language "psy" je n'en suis pas convaincu!
Pourtant nos raisonnement son aussi le produit de notre psychologie.
Nous sommes le fruit d’une histoire, mais nous ne tombons pas tous du même arbre, certain on connu la grêle, d’autre un temps radieux.
Mais il y a une chose commune à tous, nous péchons par plaisir, et ce plaisir doit être punit quand il est délictueux. Si vous n’êtes pas punis quand vous faite le mal, si rien ne vient corriger le défaut, vous recommencer, car vous vous sentez à l’abris. Ce qu’il y a d’important ce sont les valeurs que l’on nous a inculquer et la façon dont elles sont assimilés, le respect de la liberté d’autrui en est une grande, quand elle est comprise elle permet de ne pas imposé sa volonté à l’autre, de le laissé vivre lui aussi.
Mais on peut penser que nous ne soyons pas tous créés avec les mêmes aptitudes, face aux contingences de la vie, nous sommes le produit de notre individualité, et nous y sommes soumis. Nous réagissons donc tous différemment devant un même événement et cela malgré le fait que nous ayons la même éducation, dans le cas de jumeaux par exemple. Si Dieu le fait comme ça, c'est par ce que nous avons tous des épreuves différentes à vivre en vue de notre progression, jusqu'à accomplissement de notre perfection, et notre union avec Lui.
C'est là qu'intervient mon questionnement!
Pouquoi tant de différences ? Ces toubles obsessionnels et incontrôlables sont tellement dramatiques!
En fait, nous ne sommes pas tous sur un même pied d’égalité face à la sagesse.
Dans Job 28-28 il y est dit : La crainte du seigneur, c’est la sagesse. S’écarter du mal, c’est l’intelligence.
La sagesse se compose de la conscience de soi et des autres, de la justice, la prudence et de la tempérance, elle s’appuie sur la raison donc la connaissance du bien et du mal, elle se renforce avec l’age par l’apprentissage.
Mais revenons à l’origine, la faute fut commise par nos premiers parents, ils ont désobéis, poussé par le mensonge de Satan. Ils n’ont fait confiance qu’à leur jugement sans connaître les valeurs de bien et de mal, comme le petit enfant quand il est insensé. Ne reproduisons nous pas aussi la faute première pour assouvir notre plaisir, nous mentant à nous même, en niant l’avertissement donner par les plus grands ?
Adam et Ève ont été corrigés, mais le somme nous à chaque fois que nous le méritons, devenons nous sage avec le temps ?!
Mais vous allez me dire :
Pourquoi tant de différence ?
Je vous répondrais tout simplement que c’est par ce que Dieu nous veut tous
« unique » !
Nous sommes tous le produit de nos défaut !