PaxetBonum a écrit : Can. 988 - § 1. Le fidèle est tenu par l'obligation de confesser, selon leur espèce et leur nombre, tous les péchés graves commis après le baptême, non encore directement remis par le pouvoir des clés de l'Église et non accusés en confession individuelle, dont il aura conscience après un sérieux examen de soi-même.
Le texte dit plus que nécessaire : c'est une obligation à laquelle le pénitent est tenu.
Obligation pour le pénitent pas pour le prêtre. Vous devez vous arrêtez au stop pas le gendarme. Le gendarme lui juge : peut vous sanctionner, ne pas vous sanctionner. Si vous ne vous êtes pas arrêter parce que quelqu'un arrivait derrière vous à une vitesse folle pour vous percuter, il ne vous sanctionnera pas, puisque c'est lui qui juge. Avec votre approche, le gendarme doit vous sanctionner, sans réfléchir.
Le texte qui fait autorité est le droit canon. La catéchisme n'en est qu'une reformulation.
Reformulez une chose ne veut pas dire des chose différentes. Or le CEC ne peut pas dire autre chose que ce que dit le droit canon.
Le CEC exprime la même chose avec moins de détails c'est tout, aucune contradiction.
Et cela est totalement conforme au droit canon.
Pas forcément avec moins de détail, des fois c'est plus de détails, des fois les formulations peuvent être préciser,des fois le texte n'est pas repris , puisqu'on ne vit plus dans l'ancien temps. Ainsi l'art 976 du droit can concernant le danger de mort a été modifié par l'ajout d'une précision.
De toute façon ces articles sont limpides
L'article 966 énonce ce qui rend une absolution valide.
l'article 980 enonce l'obligation du prêtre pour donner l'absolution - le pénitent doit être sincèrement repentant.
l'art 956 précise que tous péché est pardonné par Dieu pour celui qui est repentant.
Les obligations du pénitent ne constituent pas un empêchement pour le prêtre (il juge), ni pour Dieu. Et cela est conforme à l'Evangile.
Vu le nombre d'amalgames que vous avez déjà fait, ce n'est pas l'absolution de ces prêtres que vous devriez remettre en cause, mais bien votre compréhension du droit canon.
Bref vous êtes juste bien obstiné plus que de raison, pour preuve votre exemple sur le permis de conduire où vous avez bien compris votre amalgame grotesque. N'ayant pas que mon temps à perdre avec vos amalgames et absurdité, le sujet est clos de mon côté et pour de bon puisque c'est du temps inutile qui vous est consacré.
Bien fraternellement.