Re: Faire la volonté de Dieu
Publié : sam. 05 juil. 2014, 18:43
L'homme qui s'est abandonné à la volonté de Dieu ne craint rien: ni l'orage, ni les brigands, rien. Et quoi qu'il arrive, il dit : "Cela plaît à Dieu". S'il est malade, il pense : "C'est le signe que cette maladie m'est nécessaire, sinon Dieu ne l'aurait pas envoyée.
Dieu qui envoie des maladies, qui trouve plaisant que des brigands puisse dépouiller des enfants de Dieu ou que l'avion aille s'écraser sur la cathédrale pour faire 450 morts. Tout de même ... Non mais tout de même ...
http://www.maldevivre-therapeute.com/volonte-humaine_et_volonte-divine-par-saint-Silouane.html
Celui qui accomplit la volonté de Dieu est content de tout, parce que la grâce du Seigneur le rend joyeux. Mais celui qui est mécontent de son sort, qui se plaint de sa maladie ou de celui qui l'a offensé, celui-là qu'il comprenne bien qu'il se trouve dans un esprit d'orgueil qui lui a enlevé la gratitude de Dieu.
... ou quand les hébreux employés aux travaux forcés en Égypte sont coupables de geindre et d'aspirer à autre chose comme après le pays de Canaan. Ils auraient dû être joyeux pour commencer, reconnaissant ensuite à Yahweh pour chacun des coups de fouet administrés par la garde-chiourme.
On se demanderait presque de quel droit les infirmes pouvaient courir au devant de Jésus de Nazareth à l'époque. Quel orgueil ! Dieu les avait voulu ainsi : paralysés, déformés, couvert d'ulcères.
Dieu qui envoie des maladies, qui trouve plaisant que des brigands puisse dépouiller des enfants de Dieu ou que l'avion aille s'écraser sur la cathédrale pour faire 450 morts. Tout de même ... Non mais tout de même ...
http://www.maldevivre-therapeute.com/volonte-humaine_et_volonte-divine-par-saint-Silouane.html
Celui qui accomplit la volonté de Dieu est content de tout, parce que la grâce du Seigneur le rend joyeux. Mais celui qui est mécontent de son sort, qui se plaint de sa maladie ou de celui qui l'a offensé, celui-là qu'il comprenne bien qu'il se trouve dans un esprit d'orgueil qui lui a enlevé la gratitude de Dieu.
... ou quand les hébreux employés aux travaux forcés en Égypte sont coupables de geindre et d'aspirer à autre chose comme après le pays de Canaan. Ils auraient dû être joyeux pour commencer, reconnaissant ensuite à Yahweh pour chacun des coups de fouet administrés par la garde-chiourme.
On se demanderait presque de quel droit les infirmes pouvaient courir au devant de Jésus de Nazareth à l'époque. Quel orgueil ! Dieu les avait voulu ainsi : paralysés, déformés, couvert d'ulcères.