Olivier C a écrit :jpm a écrit :J'accepte volontiers les critiques motivées.
Ce n'est pas difficile : en présentant une manière d'interpréter l'Écriture qui se coupe totalement de la Tradition et de la culture d'origine, vous êtes à côté de la plaque, et ce quelque soit le niveau d' "intellectualisme" dont vous tenter de vous revêtir. C'est comme si je cherchais à interpréter une lettre avec un symbolisme totalement différent de celui utilisé par son auteur d'origine.
Conclusion : aucun intérêt.
bonjour,
Les termes quels qu'ils soient, comme Tradition, culture d'origine, restent généraux et bien souvent larges de sens. sont des fourre-tout échappatoires en général défensifs, quand on manque d'arguments soi-même.
Quoique vague je reprends le terme culture d'origine. Si existe une culture d'origine liée au texte hébraïque de la Genèse, c'est celui ayant permis de construire le texte, et plus particulièrement sa grammaire, en sa syntaxe les racines constituant les mots, son architecture globale.
Il ni a pas d'intellectualisme en faisant référence à un grammaire quelconque.
Que cela puisse vous surprendre, j'en conviens, d'autant que le texte en français ne permette pas , par sa grammaire d'appliquer les mêmes règles. En effet, su j'interprétais par exemple le nom propre Platon avec les règles hébraïques, vous auriez raison. Mais cela n'a jamais été le cas.
Ces règles sont méconnues ici, je m'en suis rendu compte.
Pour pallier un peu à cela en faisant "toucher du doigt", la profondeur d'une approche totalement différente de la nôtre, je m'efforce de présenter des illustrations grammaticales.
Le terme Tradition, doit quand même être examiné avec soin.
En effet, vu la multiplicité des courants à l'intérieur d'un seul document, il conviendrait de dire laquelle. Celle de l'Eglise catholique et romaine a variée aux cours des deux millénaires, et de fait les caractères immuable et statique du mot Tradition perdent de leurs substances.
Conclusion : aucun intérêt..
Vous changerez d'avis; je l'espère.
Salutations