Re: [Débat] Moralité de la vie homosexuelle
Publié : mar. 17 janv. 2017, 21:54
Bonjour Cinci,
Tenez, je reprends quelques extraits du petit "manuel de confession" que vous citez dans un autre fil :
Pour mieux m'adapter à l'esprit du monde et à la mode, j'ai été infidèle à la morale de l'Église et aux valeurs réellement chrétiennes.
Je n'ai accepté dans le Magistère de l'Église que ce qui correspond à mes idées ou ce qui flatte ma sensibilité ou encore ce qui favorise les positions que j'ai déjà prises.
J'ai accepté l'esprit du monde en matière de sexualité et j'ai refusé de reconnaître la notion de péché en ce domaine
C'est de cela dont nous parlons, Cinci : du fait de nier le caractère peccamineux de certains actes que l'Eglise a toujours réprouvés. Il ne s'agit pas de blâmer les pécheurs ou les fidèles peu convaincus, mais néanmoins soumis au Magistère (ou du moins, ne le contestant pas son bien-fondé).
(Petit HS pour Cinci (encore) : c'est amusant, mais je retrouve tous ces conseils pour la confession dans un de mes missels datant de 1956 ! Lorsque je vous ai lu, cela m'a donc tout de suite interpellé.)
Ce n'est pas jute une crainte, mais une constatation. Vous en connaissez beaucoup, des paroisses non traditionalistes ou n'appartenant pas à divers communautés nouvelles qui enseignent clairement la morale catholique dans les sermons, la catéchèse, la préparation aux sacrements. Moi non !Et vous avez une petite crainte que l'enseignement de l'Église soit édulcoré.
Vous êtes sérieux ? Un péché qui ferait du bien à l'âme ?! On aura tout vu. En réalité, nul besoin d'un doctorat en théologie morale pour savoir qu'il n'est jamais juste de commettre un péché mortel dans le but de se préserver d'un autre péché mortel. Cela coule de source. Le découragement que l'on peut ressentir à un moment ou à un autre de notre vie ne peut être en aucun cas une excuse pour se laisser aller à pécher.Une petite incartade nous autorisant le partage d'un beau moment de tendresse qui soit comblant pour le corps et l'âme
Tenez, je reprends quelques extraits du petit "manuel de confession" que vous citez dans un autre fil :
Pour mieux m'adapter à l'esprit du monde et à la mode, j'ai été infidèle à la morale de l'Église et aux valeurs réellement chrétiennes.
Je n'ai accepté dans le Magistère de l'Église que ce qui correspond à mes idées ou ce qui flatte ma sensibilité ou encore ce qui favorise les positions que j'ai déjà prises.
J'ai accepté l'esprit du monde en matière de sexualité et j'ai refusé de reconnaître la notion de péché en ce domaine
C'est de cela dont nous parlons, Cinci : du fait de nier le caractère peccamineux de certains actes que l'Eglise a toujours réprouvés. Il ne s'agit pas de blâmer les pécheurs ou les fidèles peu convaincus, mais néanmoins soumis au Magistère (ou du moins, ne le contestant pas son bien-fondé).
(Petit HS pour Cinci (encore) : c'est amusant, mais je retrouve tous ces conseils pour la confession dans un de mes missels datant de 1956 ! Lorsque je vous ai lu, cela m'a donc tout de suite interpellé.)