Je retrouve mes sources et les publie. Il y a un lien DIRECT entre les hormones stéroïdiennes et le genre vécu par l'individu, ne vous en déplaise.jovanni a écrit : ↑mer. 24 mai 2017, 16:36La baisse de testostérone chez les hommes modernes est en effet un sujet très intéressant. Cependant je crains qu'il n'est aucun lien avec l'homosexualité dont l'origine est aujourd’hui encore un sujet très vivement contesté. Ce qui est un fait en revanche, c'est qu'au moyen age on les cramait et qu'il a fallu attendre 1982 pour que l'homosexualité soit dépénalisée en France. Donc, pour ceux qui étaient de ce bord, il était vivement déconseillé d'aller défiler sur des chars à poil, si vous voyez ce que je veux dire. D'où l'impression qu'il y en avait moins.Pourtant de nouvelles propositions semblent impliquer l'alimentation et l'environnement dans le fait que les types masculins/féminins soient moins explicitement différenciés. Comme déjà expliqué, on n'est jamais 100% homme ou 100% femme. La proportion, basée sur le système hormonal, est plutôt du genre 95/5. Ainsi un homme est, ordinairement, 95% homme et 5% femme. Il se trouve qu'aujourd'hui, cette différenciation n'est plus aussi claire. On se balade allègrement dans un spectre beaucoup plus étalé. Et il semble que la première cause soit liée à l'alimentation (donc la présence des hormones de synthèse présentes directement dans les aliments ou bien les conteneurs).
Vous voyez donc que votre affirmation peut être remise en question.
Désolé pour la digression.
Pour ce qui est de vos digressions aussi fleuries qu’inappropriées, si cela vous mets de bonne humeur, c'est l'essentiel ...