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Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : jeu. 09 mars 2017, 11:57
par Alizee
Le problème d'avortement vient en grande partie de la société toute entière.
Si la maman élève seule son enfant, elle aura à faire face au regard négatif : "elle a lui a fait un gamin dans le dos, bien fait pour elle", "elle n'a pas su garder le père", "elle sera trop souvent absente pour s'occuper de son enfant malade, je ne peux pas l'embaucher", "elle a péché". Si elle le garde puis le donne en adoption, elle est mère indigne, incapable d'aimer etc. Si elle avorte, peu de gens finalement seront au courant, elle peut cacher cet épisode de sa vie, cela paraît bien plus facile...
Maintenant, comparons avec une mère veuve. Là, les gens sont plutôt admiratifs et plus charitables : "elle a du courage", "elle a besoin de soutien, aidons-là" etc. Tant mieux ! Transposons ce regard sur les autres mamans seules contre leur gré, ça ira déjà beaucoup mieux et ouvrira des perspectives. En parallèle, éduquons : non, coucher avec quelqu'un n'est pas la même chose que s'amuser lors d'une sortie, il y a des vies en jeu ! non, il n'y a pas de moyen de contraception 100% fiable, et non, l'avortement n'est pas un acte anodin aussitôt fait, aussitôt oublié. Non, il n'y a pas besoin de coucher pour se sentir exister et non, on ne doit pas nécessairement tout faire comme les autres pour être quelqu'un de bien. Eduquons au courage du refus, que ce soit le sexe à la légère, la cigarette, la drogue, la vitesse excessive, l'avortement... avoir le courage de dire NON, je n'en veux pas. Plus facile à dire qu'à faire et à réussir.

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : jeu. 09 mars 2017, 23:13
par Dominus vobiscum
Belin a écrit :
sam. 16 nov. 2013, 15:13
Fée Violine a écrit : Non, Peccator, je ne pense pas que l'Eglise condamne les femmes qui avortent ! D'abord l'Eglise ne condamne personne, et surtout pas les personnes qui souffrent. Et puis il y a des tas de mouvements d'Eglise (mais sûrement pas assez, certes) qui aident les femmes qui sont dans cette situation.
Le problème c'est que Elle excommunie en faisant comprendre à ces femmes qu'elles ont fait quelque chose de très graves ( ce qui est vrai), mais on l'entend très peu dire quelque chose comme ceci. "Les femmes violés, abandonnés, et en difficultés peuvent recourir à tels services de notre diocèse pour rechercher de l'aide".
[/quot

Exact.
On dit a ces femmes:"allez voir un psychiatre!ce n est pas.de notre.ressort."

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : ven. 10 mars 2017, 16:17
par Kerniou
Vous avez raison, Alizée, il n'est pas facile de dire non et de ne pas se conformer aux comportements habituels.
mais nous sommes tous responsables de nos actes à fortiori quand une vie est en jeu.L'avortement n'est pas une solution miracle, loin s'en faut. Si certaines femmes s'en remettent "bien", d'autres, au contraire, se sentent coupables et ne peuvent guère parler de ce sentiment de culpabilité qui ne peut que difficilement être entendu. Cette situation reste très inconfortable et laisse des séquelles psychologiques...
Dans cette situation où l'on est deux au départ, la jeune femme se retrouve à tout assumer toute seule ...

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : mar. 14 mars 2017, 20:36
par axellepetit
Sur l'IVG qui est une question de société complexe, j'aimerais soulever deux points.
Premièrement, je m'interroge quant au droit a ne pas avorter et je constate que ce droit est bafoué quand une jeune fille est enceinte et qu'elle ne souhaite PAS avorter malgré la pression exercée par la société qui, au nom de la liberté de la femme, contraint ces dernieres a ne pas garder l'enfant. Cette société la ne respecte pas la liberté des femmes et impose une vérité qui ne peut être considérée comme universelle.
Deuxièmement, et c'est pour cela que je dis que cette question est complexe, je trouve malaisant le fait que des hommes prennent des décisions pour les femmes. Chacun a le droit d'avoir son avis mais ca me gêne de voir des catholiques de sexe masculin ordonner catégoriquement qu'il est immoral d'avorter et ce, au nom de Dieu. Je defenderai toujours la vie mais j'attends des hommes qu'ils me conseillent et respectent ma décision pour le cas ou par exemple j'aurais été violée.
Jésus par exemple n'aurait pas été pour l'avortement mais aurait manifester d'une compassion sans borne et d'une miséricorde infinie l'amenant presque a respecter qu'une femme prenne une décision contraire à ses principes. C'est dommage que ce comportement ne se retrouve pas dans celui des hommes catholiques.

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : ven. 17 mars 2017, 7:13
par Altior
axellepetit a écrit :
mar. 14 mars 2017, 20:36
Premièrement, je m'interroge quant au droit a ne pas avorter et je constate que ce droit est bafoué quand une jeune fille est enceinte et qu'elle ne souhaite PAS avorter malgré la pression exercée par la société qui, au nom de la liberté de la femme, contraint ces dernieres a ne pas garder l'enfant. Cette société la ne respecte pas la liberté des femmes et impose une vérité qui ne peut être considérée comme universelle.
Mais absolument, et ce n'est pas le seule cas où ce concept flou de «liberté» va dans un seul sens. Combien de foi la «liberté de la conscience» est invoquée pour empêcher la prière, tendis qu'elle n'est jamais invoquée pour permettre la prière ?

Par ailleurs, je ne connaît pas de cas où «la société» contraint à ne pas garder l'enfant. Certes, une pression existe souvent et il arrive qu'elle soit forte, mais jamais elle n'arrive à l'avortement sous contrainte, il y a toujours la possibilité de choisir. La preuve est que pas mal de femmes choisissent la vie, en dépit de cette pression. Généralement parlant, nos ennemis (le malin, le monde et nous-mêmes) peuvent faire et font souvent des pressions vers le mal, mais cela n'annule pas le fait que devant nous il reste toujours deux options, deux chemins: vers le bien ou vers le mal. Sans tentation, pas de mérite. Et le mérite est d'autant plus grand que la tentation est plus forte.
Deuxièmement, et c'est pour cela que je dis que cette question est complexe, je trouve malaisant le fait que des hommes prennent des décisions pour les femmes.
Ici, permettez-moi de ne pas être d'accord. Vous oubliez qu'il faut être deux pour un tango. Un enfant n'est pas seulement le problème de la mère, mais le problème de la mère et du père. Je trouve regrettable que jamais l'opinion du père n'est prise en compte lorsqu'on fait une demande d'avortement. On parle des méchants hommes qui font pression pour que les bonnes femmes avortent, mais on ne parle jamais des cas où les pères voudraient sauver leur bébés, mais il sont dépourvu de tout moyen de le faire. En fin, j'en ai marre de tout ce féminisme qui proie la tuerie des enfants au nom du droit des femmes de disposer de leurs corps, comme si l'enfant serait leur propriété et leur propriété exclusive, j'en ai marre de toute cette guerre des sexes qui n'a rien à voir avec le plan de Dieu lorsqu'Il a créé Adam et Eve.
Jésus par exemple n'aurait pas été pour l'avortement mais aurait manifester d'une compassion sans borne et d'une miséricorde infinie l'amenant presque a respecter qu'une femme prenne une décision contraire à ses principes. C'est dommage que ce comportement ne se retrouve pas dans celui des hommes catholiques.
Mais c'est justement pour cela que Jésus a crée l'enfer. L'enfer existe parce qu'Il nous respecte. Il respecte nos décisions. Jésus ne contraint pas et soyons rassuré: on a toujours la possibilité de vivre loin de Lui et de ne séparer de Lui pour toujours. Il nous appelle tous, il nous a mis en garde tous sur les conséquences de Lui dire «non», il a la possibilité de sauver tout le monde par son sacrifice infini, mais il ne contrait personne.

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : sam. 18 mars 2017, 22:23
par axou
axellepetit a écrit :
mar. 14 mars 2017, 20:36
Deuxièmement, et c'est pour cela que je dis que cette question est complexe, je trouve malaisant le fait que des hommes prennent des décisions pour les femmes. Chacun a le droit d'avoir son avis mais ca me gêne de voir des catholiques de sexe masculin ordonner catégoriquement qu'il est immoral d'avorter et ce, au nom de Dieu. Je defenderai toujours la vie mais j'attends des hommes qu'ils me conseillent et respectent ma décision pour le cas ou par exemple j'aurais été violée.
Jésus par exemple n'aurait pas été pour l'avortement mais aurait manifester d'une compassion sans borne et d'une miséricorde infinie l'amenant presque a respecter qu'une femme prenne une décision contraire à ses principes. C'est dommage que ce comportement ne se retrouve pas dans celui des hommes catholiques.
Entièrement d'accord avec vous,

Axou

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : sam. 18 mars 2017, 22:36
par Suliko
je trouve malaisant le fait que des hommes prennent des décisions pour les femmes. Chacun a le droit d'avoir son avis mais ca me gêne de voir des catholiques de sexe masculin ordonner catégoriquement qu'il est immoral d'avorter et ce, au nom de Dieu.
Mais ce ne sont pas des hommes catholiques qui déclarent qu'il est immoral d'avorter et que le gouvernement ne doit pas admettre un tel crime, c'est Dieu lui-même, dans le Décalogue. On n'est donc vraiment pas dans un cas de figure où se seraient des hommes qui refuseraient à des femmes d'accomplir tel ou tel acte.
Jésus par exemple n'aurait pas été pour l'avortement mais aurait manifester d'une compassion sans borne et d'une miséricorde infinie l'amenant presque a respecter qu'une femme prenne une décision contraire à ses principes.
Alors là, j'avoue que votre avis me dépasse. Comment pouvez-vous imaginer de la part du Christ une quelconque tolérance du péché, lui qui est le "chemin, la vérité et la vie" ? Rien, dans les Evangiles, ne permet d'affirmer une telle chose !

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : dim. 19 mars 2017, 10:32
par Jeremy43
Bonjour,

Et la Loi a été transmise aux hommes, c'est le rôle de l'homme (et du père) de tenir la Loi et d'être ferme dans celle-ci. C'est l'homme qui est responsable de la femme, pas l'inverse.

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : dim. 19 mars 2017, 12:55
par Le Fils Prodigue
L'avortement et sa banalisation sont, il me semble, le produit d'une société qui, dans son ensemble, va très mal. Autant je désapprouve l'avortement, autant je crois aussi qu'il sera toujours trop facile d'aller culpabiliser les femmes qui font cela. Je ne cautionne pas du tout cette démarche. Mais derrière une femme qui attend un enfant, il y a un homme. Et souvent, en la matière, la "liberté de choix" de la femme arrange bien l'homme qui ne veut pas assumer sa paternité. C'est le genre de péché structurel, dont parlait Saint Jean-Paul II, qui existe et se banalise parce qu'au final, tout le monde est un peu responsable aussi. Beaucoup de femmes le font, je pense, parce que le père de l'enfant ne veut pas entendre parler de cet enfant et parce que dans leur milieu, mais aussi dans la société (chrétiens compris) personne ne les aidera. C'est dur à avaler, mais nous en sommes comptables. C'est un peu la même chose que pour les injustices sociales. Nous versons tous des larmes de crocodile là-dessus mais nous sommes bien souvent complices de la financiarisation et du capitalisme sans frein qui broie bien des vies (et l'IVG fait d'ailleurs bien partie de la question parce qu'elle enrichit des actionnaires d'entreprises "pharmaceutiques" qui s'engraissent sur le dos de la détresse humaine tout en faisant la promotion d'une vision affreusement utilitariste de l'humanité...).

En fin de compte, cela me fait de plus en plus penser que le plus grand gagnant de Mai 68 n'aura été ni le peuple, ni les jeunes, ni les femmes, mais bien plutôt les gros capitalistes qui ont compris que l'illusion de la libération des mœurs et du consumérisme allait remplir leurs comptes en banque comme jamais auparavant, et cela en laissant des milliers de gens dans la détresse la plus totale. Mammon sera toujours le principal concurrent de Dieu, et bien des péchés sont cautionnés par lui, car souvent, le péché, ça rapporte (Cf Las Vegas). C'est pour ça que le jeune homme riche n'a pas voulu suivre Jésus, contrairement à Marie-Madeleine, qui certes était pécheresse, mais n'avait pas d'argent pour lui boucher la vue...

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : mar. 21 mars 2017, 16:39
par axellepetit
Suliko a écrit :
sam. 18 mars 2017, 22:36
Alors là, j'avoue que votre avis me dépasse. Comment pouvez-vous imaginer de la part du Christ une quelconque tolérance du péché, lui qui est le "chemin, la vérité et la vie" ? Rien, dans les Evangiles, ne permet d'affirmer une telle chose !
C'est précisément parce que j'ai lu les Évangiles et que j'y ai trouvé dans la Parole du Christ un amour sans limite que je me permets d'affirmer que Jésus aurait pu accepter qu'une décision d'une proche qui viendrait à l'encontre de ses principes, le touche et qu'il en vienne à l'accepter. Il ne faut pas voir en Dieu un arbitre qui juge sans comprendre. Aussi je dois rappeler que Dieu est miséricorde et qu'on a tendance à l'oublier.
Jeremy43post_id=360968time=148912379 a écrit : Et la Loi a été transmise aux hommes, c'est le rôle de l'homme (et du père) de tenir la Loi et d'être ferme dans celle-ci. C'est l'homme qui est responsable de la femme, pas l'inverse.
Alors la je ne suis pas d'accord Jeremy. Je crois en l'individualité de l'être humain. Les femmes sont capables de prendre des décisions aujourd hui sans que leurs maris interviennent. Et en plus dans le couple, l'union de deux être qui s'aiment, chacun doit veiller sur l autre et le protéger.

Dans le cas de l'avortement l'homme n'a pas l'expérience d'une grossesse. A mon sens il doit laisser la femme user de son libre arbitre et décider en fonction de ses convictions morales et/ou religieuses. Ce n'est que ma pensée.

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : ven. 21 avr. 2017, 10:35
par Christophe67
Bonjour,

Ce qui me trouble dans tout cela, j'y avais fais allusion au début de ce fil mais j'y reviens, c'est qu'on se positionne la plupart du temps dans la situation de la mère ou du père (moins fréquemment). Très rarement à la place de l'enfant.

Bien qu'il y ait des situations terribles que je rencontre dans mon milieu professionnel, je ne peux m'empêcher de me poser cette question face aux raisons invoquées :

Et cet enfant ? Qu'a t'il fait lui ?

Cet humain en devenir doit-il en permanence être perçu comme un bien matériel ? Cela fait il parti de notre nature blessée ou des influences existentialistes ? Si cet être humain n'est pas défini au commencement de son existence, est-il fondamentalement « rien » ?


Cordialement.

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : sam. 22 avr. 2017, 10:42
par Belin
Christophe67 a écrit :
ven. 21 avr. 2017, 10:35

Et cet enfant ? Qu'a t'il fait lui ?
Ce n'est pas (encore) un enfant
Cet humain en devenir doit-il en permanence être perçu comme un bien matériel ?
Par contre c'est bien un humain et non un humain "en devenir". C'est un humain dans son état embryonnaire, après il sera un humain dans un état fœtal, puis dans un état de "bébé", "d'enfant" etc.

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : sam. 22 avr. 2017, 14:57
par Cinci
Bonjour,

Les termes bébé ou enfant sont des termes assez polyvalents. Habituellement, on les emploiera indistinctement pour qualifier le rejeton des parents et peu importe que celui-ci soit encore dans le ventre de sa mère ou pas.

La mère et son bébé qui en est rendu à son sixième mois, ne pas fumer durant la grossesse pour éviter de nuire à l'enfant, "Maman a un bébé dans son ventre", etc.

39 En ces jours-là, Marie se levant, s'en alla en hâte au pays des montagnes, en une ville de Juda.
40 Et elle entra dans la maison de Zacharie, et salua Elisabeth.
41 Or, dès qu'Elisabeth eut entendu la salutation de Marie, l'enfant tressaillit dans son sein, et elle fut remplie du Saint-Esprit.
42 Et élevant la voix, elle s'écria : " Vous êtes bénie entre les femmes, et le fruit de vos entrailles est béni.
43 Et d'où m'est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne à moi ?
44 Car votre voix, lorsque vous m'avez saluée, n'a pas plus tôt frappé mes oreilles, que mon enfant a tressailli de joie dans mon sein.
45 Heureuse celle qui a cru ! car elles seront accomplies les choses qui lui ont été dites de la part du Seigneur ! "

- Évangile selon saint Luc, chapitre 1 (traduction Crampon)

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : mar. 25 avr. 2017, 9:39
par Christophe67
Belin a écrit :
sam. 22 avr. 2017, 10:42
Ce n'est pas (encore) un enfant
Cet humain en devenir doit-il en permanence être perçu comme un bien matériel ?
Par contre c'est bien un humain et non un humain "en devenir". C'est un humain dans son état embryonnaire, après il sera un humain dans un état fœtal, puis dans un état de "bébé", "d'enfant" etc.
Bonjour Belin,

Je suis d'accord avec vos propos, j'ai juste utilisé ces termes selon le hasard syntaxique que suivait ma pensée, des termes polyvalents tels que le précisait Cinci.

Ce que nous sommes véritablement n’est pas encore accompli, autant à notre conception qu'à notre naissance. Aristote distinguait l’être en puissance et l’être en acte : dans l'embryon ainsi que dans le bébé il y a déjà tout l’humain, mais cela n’est pas encore actualisé.

Donc je redéfinirai par le fait que dès la conception on a affaire avec un être humain; terme employé dans ma dernière phrase.
L'enfant anticipait sur la forme première, postnatale, de l'homme en devenir; le terme humain définissait l'aspect corporel à venir en opposition avec le terme matériel.

Merci pour cette juste précision sur la forme.

Re: I.V.G. : le totalitarisme idéologique du gouvernement

Publié : mar. 09 mai 2017, 12:10
par Index
Jeremy43 a écrit :
dim. 19 mars 2017, 10:32
Bonjour,

Et la Loi a été transmise aux hommes, c'est le rôle de l'homme (et du père) de tenir la Loi et d'être ferme dans celle-ci. C'est l'homme qui est responsable de la femme, pas l'inverse.
Les femmes ne sont pas des enfants. Elles n'ont pas besoin de quelqu'un derrière elles qui leur dicte leur propre vie.

C'est quand même bien d'étudier le contexte dans lequel a du se créer la religion catholique pour éviter de sortir ce genre d'argument spécieux.